
Ce titre, ironique et grinçant, jeu de mots pour désigner « l’art contemporain« , a été utilisé, maintes et maintes fois ; il est tellement vrai ! Tout a été dit et bien dit sur la vulgarité d’exposer, dans un lieu aussi prestigieux que le château de Versailles, quintessence de l’art classique français, des « artistes » comme Jeff Koons avec ses homards en plastique, en passant par Joana Vasconcelos et son lustre monumental composé de milliers de tampons hygiéniques, pour finir avec l’inénarrable « vagin de la reine » d’Anish Kapoor, provocation ultime d’un « art » à la dérive.


