En six mois elles ont massacré près de 40 000 personnes, hommes, femmes, enfants ou vieillards. De janvier à mai 1794, les colonnes infernales de la République ont semé la terreur et la désolation en Vendée. Ces crimes et ces destructions ne furent pas l’œuvre de militaires devenus fous ou assoiffés de sang mais au contraire le résultat d’une politique d’extermination décidée au plus au niveau de l’État. C’est ce que démontre notre invité de ce jour Jacques Villemain, auteur d’une “Histoire politique des colonnes infernales”, parue aux éditions du Cerf.
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Ukraine : les États-Unis ont-ils perdu une nouvelle guerre par procuration ?
Réponse courte, OUI !! Tout comme le proverbial poulet sans tête, les États-Unis courent sans tête et sont incapables de trouver une issue à une confrontation avec la Russie. Une confrontation que les États-Unis ne peuvent pas gagner.
Mais, d’après le discours de Biden ce soir, les États-Unis vont redoubler d’efforts après avoir perdu. L’équipe Biden a apparemment décidé qu’elle ne pouvait pas se permettre une perte en Ukraine avant les élections et elle est donc susceptible de donner son feu vert à des attaques terroristes plus risquées en Russie, inconscientes des avertissements répétés de Poutine et de son équipe de sécurité nationale selon lesquels la Russie riposterait.
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Une loi liberticide et totalitaire réprimant les propos privés a été votée
« Proposition de loi visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire ». Voilà l’intitulé d’une loi, votée en première lecture par l’Assemblée nationale et dont tous les médias et tous les politiciens devraient parler. Il s’agit d’une nouvelle loi scélérate, destinée à museler toujours plus la liberté d’expression, dont les implications sont cauchemardesques. Nous reproduisons ici le fil Twitter de Xavier Van Lierde, journaliste à Radio Courtoisie, qui décrypte l’incroyable mécanisme liberticide derrière cette loi.
Polémia -
[Point de vue] Réchauffement climatique et décroissance : la métaphore du Titanic
Ce 14 avril 1912 à 23h40, l'officier de quart n’aperçoit l’iceberg que trop tard : le calme plat régnant cette nuit-là sur l'Atlantique Nord l'a privé de la frange blanche des vagues qui se brisent usuellement sur ses flancs et, pour des raisons inexplicables, les veilleurs ne disposent pas de jumelles ! De surcroît, il s’agit d’un « iceberg bleu », un bloc de glace qui, en se détachant de la banquise, s'est retourné et présente à l'air libre son fond bleuâtre, peu visible. Il est à moins de 500 mètres sur la route directe du navire de 46.000 tonnes lancé à plus de 22 nœuds. Pour prendre une décision rationnelle, il manque à l'officier deux informations essentielles : la distance précise le séparant encore de l’iceberg ainsi que la distance nécessaire pour stopper le géant des mers.