Communiqué de Génération Identitaire :
anti-national - Page 648
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Le procureur de Gap devrait s'attacher à assurer le respect de la loi et le contrôle des frontières
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RAMADAN 2018, LES SUPERMARCHÉS CONTRIBUENT À L’ISLAMISATION DE LA FRANCE !
La période du mois de jeûne pour les musulmans va commencer, la viande halal va donc inonder nos commerces. Pour obtenir l’agrément halal, l’abattage des animaux doit se faire selon des règles archaïques et, en période de ramadan, ce sont des dizaines de milliers de moutons qui vont être égorgés dans les conditions les plus violentes, aboutissant à de véritables rivières de sang.
Et pourtant, à l’approche du ramadan, certains supermarchés inondent nos boîtes aux lettres de prospectus faisant en quelque sorte allégeance à l’islamisme, ne manquant pas de les estampiller du logo halal à chaque coin de page.
N’oublions pas que l’islamisme impose à ses fidèles cinq piliers incontournables, dont « le jeûne du mois de ramadan ». Cette pratique islamique n’est pas culturelle mais cultuelle.
Certaines enseignes dédient des allées entières aux produits islamiques, nous contraignant à un prosélytisme visuel incontournable. Tout y est, chameaux, décoration orientale, l’inscription halal en calligraphie bédouine, couleurs du désert… Cela contribue, semble-t-il, à encourager la multiplication des signes vestimentaires de communautarisme tant chez les hommes que chez les femmes dans les espaces publics… On ressent même, chez certains d’entre eux, une certaine fierté de voir nos supermarchés islamisés leur dérouler le tapis rouge.
Cette attitude commerciale en faveur de l’islamisme dérange. De plus, elle favorise le communautarisme et renforce l’identitarisme musulman ; la plupart des « fidèles » se comportent comme en terre conquise jusque dans les commerces, faisant fi des lois républicaines et brandissant leurs accoutrements tel des étendards.
Parmi les propositions du SIEL, en voici deux qui prennent ici tout leur sens :
– Affirmation, dans le préambule de la Constitution de 1958, de la prééminence du fait judéo-chrétien qui doit bénéficier d’un privilège de civilisation ;
– Acceptation du principe de traitement différencié du culte musulman en France, impliquant notamment de modifier la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État.La France est de civilisation chrétienne et nos traditions, qui incarnent à la fois notre modèle de société, nos mœurs, nos règles de vie et notre histoire, ont toute légitimité à perdurer sans n’être jamais altérées par d’autres cultures, surtout quand celles-ci se montrent incompatibles avec la République !
Tant que le culte musulman et ses fidèles n’auront pas accepté, par l’intermédiaire de leur instance représentative, les termes d’une charte fondatrice qui consignera la prééminence des droits, mœurs, us et coutumes français à observer, nous avons le devoir de nous opposer à tout prosélytisme islamique afin que les supermarchés y compris ne pratiquent aucunement le culte musulman, car ici, c’est la France !
http://www.bvoltaire.fr/ramadan-2018-supermarches-contribuent-a-lislamisation-de-france/
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Macron doit nommer le terrorisme islamiste !, par Ivan Rioufol
Non, Emmanuel Macron n’est pas à la hauteur de la menace islamiste. Son choix de ne pas écourter son week-end à Brégançon (Var) a fait comprendre qu’il relativisait l’attentat au couteau perpétré à Paris (quartier de l’Opéra), samedi soir. Un jeune français y a trouvé la mort, sous les coups d’un “compatriote” d’origine tchétchène. Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement. Dans deux tweets datés du 12 mai, le chef de l’Etat a dénoncé un “terroriste”, puis il a écrit : “La France ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté”.
A aucun moment, le président n’a voulu nommer le caractère islamiste du meurtre, commis aux cris d’Allah Akbar. La veille, il n’avait pourtant pas eu de réserve pour désigner le nationalisme comme son adversaire : “Pour vaincre les nationalistes : assumer d’avoir une solidarité européenne”. Pour vaincre les islamistes, il faudra donc attendre avant d’avoir la recette élyséenne. Elle tardera à venir, car Macron redoute visiblement d’avoir à offenser une idéologie totalitaire. Dans le même temps, samedi, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, évoquait d’ailleurs une “agression”, avant d’employer ensuite, néanmoins, le juste mot d’”attaque”. Quant au député LREM Jean-Michel Fauvergue, ancien patron du Raid, il se risquait dans un débat télévisé à comparer les prêches en arabe dans les moquées aux prêches en latin dans les églises…Bref, ce qui ressort de ces quelques exemples est une volonté de banaliser le terrorisme islamique, compris comme une fatalité. Une telle attitude de renoncement est bien plus dangereuse que la guerre déclarée à la France par l’islam conquérant.
Israël, qui fête ce lundi les soixante-dix ans de sa renaissance, devrait être un exemple pour la France, ventre mou devenu cible principale du djihad en Europe. La résistance de l’Etat hébreu à l’islamisme ne s’embarrasse pas d’états d’âme. Macron pourrait déjà apprendre d’Israël à désigner l’adversaire par son nom, en se libérant de l’islamiquement correct devant lequel la France se plie. Le président pourrait aussi mesurer la puissance que peut dégager un Etat-nation, même minuscule, quand il retrouve sa langue, sa mémoire, ses frontières, ses racines, son identité.
Tout ce qu’Israël assume, dans son combat pour sa survie, est vu comme une provocation par le politiquement correct qui tient le haut du pavé en France et qui sévit encore à l’Elysée. Or la capitulation est un état d’esprit qui se corrige, pour peu que les dirigeants en donnent l’exemple. Les mentalités françaises sont prêtes à s’émanciper de la léthargie du bien pensisme. Très rares ont été ceux qui se sont offusqués de voir le tueur abattu par des gardiens de la paix, moins de dix minutes après avoir commencé sa course à la mort. Dans cette intifada des couteaux, sans doute est-il possible d’ailleurs d’écourter encore le temps de la riposte, en s’inspirant du savoir-faire israélien. Il est temps aussi de revoir l’accès à la nationalité, les conditions d’expulsion, la fermeture effective des mosquées salafistes, etc. Le tweet que Macron devrait écrire : “L’islamisme ne passera pas !”.
Ivan Rioufol
Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol
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Attentat de l’Opéra : Khamzat Azimov, un terroriste comme les autres - Journal du lundi 14 mai 2018
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L’ATTAQUE TERRORISTE DU 12 MAI À PARIS : UN BRILLANT RÉSULTAT DU DROIT D’ASILE RÉPUBLICAIN !
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Le 12 mai vers 22 heures, on apprenait que plusieurs personnes avaient été poignardées dans le quartier de l'Opéra à Paris. A minuit, CNews annonçait que l'attentat venait d’être revendiqué par l'Etat islamique, qu’un jeune homme de 29 ans avait été tué et deux personnes grièvement blessé, et que le terroriste avait été abattu.
Fort d’une trop longue expérience de ce genre d’événement, on pouvait penser que le terroriste était, comme quasiment toujours, une racaille « radicalisée » issue de l’immigration. Eh bien, pas tout à fait cette fois-ci, où l’on a eu droit à une variante, que CNews nous dévoilait le 13 mai à 14 heures : le terroriste, nommé Azimov, était le fils de deux « réfugiés politiques » tchétchènes ; il avait, bien entendu, été naturalisé « Français » en 2010.
En l’occurrence, ce n’était donc pas la démentielle politique d’immigrationnisme de masse qui était à mettre en cause, mais son petit-frère, le droit d’asile républicain, qui consiste à accueillir n’importe qui et à accorder la nationalité française n’importe comment, car, lorsque l’on accorde l’asile politique à des Tchétchènes indépendantistes, comme c’était ici le cas, on doit bien se douter qu’il s’agit d’islamistes qui ne vont certainement pas mettre leurs convictions en sourdine une fois installés en France.
Les « autorités » qui ont ainsi accordé l’asile à des djihadistes et naturalisé leur rejeton sans sourciller devaient donc rendre des comptes maintenant, car c’est leur nullité pleurnicharde qui est responsable du drame d’hier. Jamais de tels individus, par définition dangereux et fanatiques, n’auraient dû être ainsi admis à séjourner en France, et jamais leur fils, fiché « S » comme il se doit, n’aurait dû être naturalisé. On se demande d’ailleurs à quel titre il a obtenu cette naturalisation, car, comme le disait le Front national il y a quelques années, « être Français, ça s’hérite ou ça se mérite » : à quel « mérite » le jeune terroriste Azimov devait-il sa naturalisation ?
CONTRE LE TERRORISME, SEPT MESURES INDISPENSABLES
Mais nous posons ces questions et faisons ces remarques pour la forme, bien entendu, car nous savons très bien que, comme d’habitude, les républicains n’y répondront pas, qui se contenteront de mettre en place des « cellules de soutien psychologique » et vont attendre bien sagement le prochain attentat.
Car pourquoi la République prendrait-elle cette fois-ci les mesures qui s’imposent pour assurer la sécurité des Français, alors qu’elle ne l’a pas fait après les précédents attentats ? Ces mesures sont au nombre de six, que nous avions rappelées dans notre article du 24 mars, et que nous rappellerons une nouvelle fois sans nous lasser, en les complétant par une septième, pour tenir compte de la question du droit d’asile :
1 - rétablissement de la double-peine, lâchement abandonnée par le pitre Sarkozy ;
2 - mise en place d’un contrôle solide de nos frontières ;
3 - mise en œuvre d’une sécurisation sérieuse des rassemblements de foule ;
4 - ratissage intégral des soi-disant « zones de non-droit », lâchement abandonnées par la République aux racailles « radicalisables » ;
5 - réarmement du peuple français, qui fut un grand peuple combattant et dont une large partie ne sait plus, aujourd’hui, ni se battre, ni utiliser une arme à feu (ce qui était évidemment le résultat recherché par la République castratrice) ;
6 - lancement d’une politique d’inversion des flux migratoires, seule capable de rendre au peuple français sa sécurité et le respect de son identité ;
7 - vérification approfondie de la personnalité et des idées des demandeurs d’asile, afin de s’assurer que ceux-ci ne seront pas susceptibles de mettre en danger la sécurité de nos concitoyens.
Tel est, une fois encore, le minimum que nous devons exiger de la part de ceux qui prétendent nous gouverner : il ne faut pas les lâcher !
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Centre de formation pour migrants à Jouy : de l’intérêt de rester vigilants et réactifs
Samedi, nous apprenions que le préfet de la région Île de France ajournait le projet d’installer à Jouy en Josas un centre de formation pour immigrés, en partenariat avec Emmaüs. Il s’agissait d’accueillir et d’héberger, par roulement semestriel, des « promotions » de 300 migrants venant se former aux rudiments de notre langue.
Avec un très faible taux d’encadrement en dehors des heures de formation, ces migrants livrés à eux-mêmes, majoritairement masculins, ne maîtrisant pas le français, auraient probablement erré en ville. Dans ce contexte, le projet pouvait légitimement inquiéter cette petite ville d’à peine plus de 8000 habitants.
Il est intéressant d’analyser comment les autorités préfectorales et municipales ont révisé la décision qu’elles avaient promue à l’insu de la population.
Tout est parti du refus d’un conseiller municipal d’opposition de voter en faveur d’une demande du maire. Ce dernier a en effet soumis à son conseil la renonciation d’exercer un droit de préemption sur l’ex-centre de formation Thales, afin de rendre possible l’accord entre la préfecture de région, le propriétaire et Emmaüs. En l’absence d’information complète, le conseiller municipal d’opposition s’est abstenu et a demandé de plus amples informations, lesquelles ont été données le 12 avril lors d’une réunion publique.
Malgré les vacances scolaires d’avril puis les jours fériés de mai, plusieurs réunions d’information des habitants ont eu lieu, débouchant sur la signature d’une pétition et la programmation d’une manifestation. Il convient également de signaler que le FN est le seul parti politique à s’être impliqué dans cette réaction, bien que n’ayant aucun élu à Jouy. La responsable départementale du FN a ainsi écrit au préfet des Yvelines, sollicité l’ensemble des élus de l’agglomération « Versailles Grand Parc », participé avec des responsables de circonscription à une réunion publique. Enfin, ses militants se sont mobilisés, par l’affichage et la distribution massive de tracts (copie ci-contre), dans le but d’informer la population et de l’inviter à se mobiliser et à interpeler les élus municipaux sensés les défendre.
Nous retiendrons de cette affaire que l’on ne peut se contenter d’accorder une confiance aveugle à nos élus sur ces sujets où le politiquement correct a facilement raison de leur courage… Puisque le problème de l’accueil des immigrés n’est pas prêt de se résoudre, il est donc nécessaire que les citoyens restent vigilants sur ce qui se discute dans les conseils municipaux, surtout si certains partis ne sont pas représentés !
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U.N.E, grande et libre: contre leur “eurovision” !
L’Etat islamique (EI) a immédiatement revendiqué l’attentat au couteau commis samedi soir dans le second arrondissement de Paris (un passant tué, quatre autres blessées dont deux grièvement) L’agresseur a été abattu par la police. Il s’agit de Khamzat Azimov, un tchétchène de 21 ans, français de papier (naturalisé) en 2010, fiché S en 2016 et dont le nom figurait aussi, comme près de 20 000 autres individus présents sur le territoire français, à l’instar de Radouane Lakdim notamment, dans le Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation islamiste (FSPRT) créé en mars 2015. A quoi servent ces fichiers divers et variés sans volonté politique de mettre préventivement hors d’état de nuire la racaille islamiste? Sur un mode évidemment festif, il s’agit pourtant encore et toujours de célébrer le vivre-ensemble, la diversité et la différence. Ce sont les termes qui ont été employés par la chanteuse israélienne Netta Barzilai qui, surfant sur la vague #metoo et devant des médias en pâmoison, a remporté samedi avec son titre Toy le concours de l’eurovision, ce spectacle réunissant parait-il les pays européens (?). Une chanson pourtant très médiocre, chantée en sabir anglophone par une femme qui n’est pas vraiment un modèle de féminité et d’élégance… un exemple à imposer en Europe de ce début de millénaire? Certes nous avons échappé à la victoire du duo français Madame Monsieur (il se classe treizième, ouf!) qui célébrait l’invasion migratoire clandestine avec sa pathétique ritournelle Mercy… pitié en anglais pour ceux qui n’auraient pas encore compris ce message d’une légèreté éléphantesque.
Grossière propagande comme les critiques adressées à Valeurs actuelles pour sa une sur le trouble milliardaire George Soros: « Artisan du déracinement, encourageant les flux migratoires massifs pour mieux fragiliser les États, George Soros déploie sa stratégie par l’argent, aussi discrète que cynique et destructrice. » Une une aux relents implicitement antisémites selon un Raphael Glucksman, un Claude Askolovitch ou un Edwy Plenel au motif que M. Soros est de culture et/ou de confession juive. Un procès de très mauvaise foi tant il est vrai que les origines de ce dernier n’en font pas un intouchable et ne peuvent le mettre à l’abri des critiques. De plus, VA n’est pas spécialement réputé pour son antisionisme et sa ligne éditoriale épingle les immigrationnistes de tout poil. Il suffirait en outre que ceux qui crient à l’antisémitisme lisent les commentaires sur George Soros que l’on peut découvrir sur les sites droitiers pro-israéliens et/ou dans l’orbite de la communauté juive pour constater que ce milliardaire américano-hongrois est critiqué, vilipendé et même profondément détesté par beaucoup de ses coreligionnaires, à commencer par les sympathisants du Likoud.
Immigration qui reste la question clé, capitale, pour jauger de la sincérité du patriotisme de la classe politique, en France comme en Europe. Aussi le site Russia Today a t-il eu raison de noter que le gouvernement italien « anti immigration et eurosceptique » qui devrait finalement voir le jour entre les nationalistes de la Ligue de notre ami Matteo Salvini et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles (M5S) de Luigi Di Maio est « un cauchemar pour Bruxelles » qui inquiète aussi «les marchés. »
Après les législatives de mars qui ont laminé les vieux partis bruxellois, « c’était le pire des scénarios pour Bruxelles » est-il rapporté. « Les tractations entre le M5S et la Ligue ont finalement débuté, après que Silvio Berlusconi, allié de la Ligue mais dont le parti a recueilli moins de voix que celle-ci, a finalement donné son accord à des négociations. Les chefs de file des deux formations, qui à elles deux disposent d’une courte majorité au Parlement, Luigi Di Maio et Matteo Salvini se sont rencontrés en début de matinée le 10 mai à la Chambre des députés.»
«Signe de la fébrilité de l’UE à l’égard des évolutions politiques en cours sur la péninsule : des responsables européens avaient confié à l’AFP, avant les élections, s’activer en coulisses pour favoriser une alliance Renzi-Berlusconi. Si l’UE est loin de tenir ce dernier dans son cœur, elle semblait toutefois estimer que sa présence au sein d’une alliance gauche-droite était préférable au péril que représenterait une victoire du M5S ou de la Ligue (…). La question la plus épineuse que doivent désormais trancher le M5S et la Ligue est désormais celle du nom du futur chef de gouvernement. » Et surtout ajouterons-nous, ils devront rester sur la bonne voie, maintenir la cohésion de cette coalition ce qui ne sera pas forcément un mince affaire car les difficultés commencent maintenant! Mais ne désespérons pas de l’avenir, des bonnes volontés et saluons avec Bruno Gollnisch l’espoir créé par notre sœur latine avec cette arrivée au pouvoir des nationaux et des populistes, nouveau coup porté au calamiteux Système bruxellois à tuer les peuples.
Bruxellois qui célébraient le 10 mai l’un des leurs, en remettant à Aix-la-Chapelle et le jour de l’Ascension comme il se doit, le prix Charlemagne (créé en 1950) à Emmanuel Macron, « un homme d’État de dimension européenne », «un précurseur courageux du renouvellement du rêve européen » selon le directoire de la société du Prix international Charlemagne. La remise de ce prix coïncide avec la date en France de la « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. » Une journée imposée par la très sectaire militante Christiane Taubira dans la foulée de sa loi de 2001, afin de culpabiliser les gaulois pour des crimes qu’il n’ont (très largement ) pas commis.
Le prix Charlemagne recompense lui « des personnalités qui se sont engagées pour l’unification européenne », le premier honoré par ce prix il y a 68 ans fut ainsi le comte Richard Coudenhove-Kalergi, exemple parfait de l’idéologue mondialiste parfaitement assumé. La chancelière allemande fut elle même décorée en son temps pour ses bons et loyaux services, tout comme le pape François pour son immigrationnisme, les suzerains américains Bill Clinton et Barack Obama, les grand seigneurs bruxellois Jean-Claude Trichet (président de la BCE) , Jean-Claude Juncker (ex Premier ministre du paradis fiscal du Luxembourg, actuel président de la Commission européenne), l’ancien président du Parlement européen, le socialiste allemand persécuteur du FN Martin Schulz, l’ancien secrétaire général de l’OTAN et représentant de la politique étrangère de l’UE, Javier Solana , l’atlantiste du même métal, ex Premier ministre polonais et actuel président du Conseil européen, Donald Tusk…
D’un esclavage, d’une soumission l’autre, culpabiliser les Européens pour leur manque d’enthousiasme pour ladite unification fut aussi un exercice qui a été tenté ce 10 mai par Emmanuel Macron aux côtés d’Angela Merkel. Certes dans l’indifférence générale. Ils ont dénoncé de concert la résistance grandissante, de la Vistule au Tibre, aux oukases bruxelloises, le populisme, le nationalisme, le repli identitaire… Bref le refus par les Européens du libre échangisme sans frontièriste, des sociétés (béatement) ouvertes… Réflexe de survie que le duo a conspué comme des dérives « illibérales » , le comble de l’abjection dans leur bouche.
Il serait temps que nos élites qui s’évertuent depuis des décennies à travestir, déformer, trahir le génie et les valeurs constitutives de notre civilisation comprennent enfin que leur eurovision laide et sans âme, le renouvellement de leur rêve européen vire au cauchemar pour les peuples de notre continent. Qu’ils admettent également que leur UE totalitaire est une étoile déjà morte même si elle luit encore faiblement et qu’il est grand temps de lui substituer cette grande et libre Union des Nations Européennes (U.N.E) que les nationaux et des Européens sans cesse plus nombreux, appellent de leurs vœux.
https://gollnisch.com/2018/05/14/u-n-e-grande-et-libre-contre-leur-eurovision/
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Attaque au couteau par un islamiste à Paris: “Nommer l’ennemi fait partie de la bataille”, affirme Patrick Pelloux
Patrick Pelloux, urgentiste et ancien chroniqueur à Charlie Hebdo, était ce dimanche soir l’invité d’Apolline de Malherbe sur le plateau de BFMTV.
Il a réagi au choix du gouvernement de ne pas qualifier d’”islamiste” l’attaque terroriste qui a frappé Paris ce samedi soir, en la personne de Khamzat Azimov, qui a tué une personne et en a blessé quatre autres à l’arme blanche dans le quartier de l’Opéra, avant d’être abattu par la police.
La première chose, c’est la sémantique. Dire que nous avons un problème avec l’Islam radical, pour savoir comment doit évoluer cette religion et comment réagir par rapport à ces attentats.
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Prêches radicaux en arabe dans les mosquées ? L’ex-patron du RAID répond “prêches en latin dans les églises”
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Jets de mortiers et cocktails Molotov sur un commissariat
La nuit a été agitée à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Une cinquantaine de personnes, réparties en plusieurs petits groupes, s'en sont pris aux forces de l'ordre peu après minuit.
Trois policiers se trouvaient à l'intérieur du bâtiment. Un véhicule de police arrive alors en renfort, et tire en direction des différents groupes. Sept tirs de lanceur de balles de défense et deux grenades de type MP7 sont lancées par les forces de l'ordre. Au même moment, une équipe de la BAC (Brigade anti-criminalité) est prise à partie place Rodin. Les policiers essuient plusieurs jets de mortiers, cocktails Molotov, cailloux et bouteilles de verres. L'abribus situé sur la place est explosé, et deux voitures prennent feu, tandis que deux autres véhicules sont dégradés un peu plus loin. Les effectifs de police arrivés en renfort font alors usage à dix reprises du lanceur de balles de défense et de quatre grenades de désencerclement.
Le groupe de 50 individus cagoulés met finalement le feu à deux grandes poubelles, avant de lancer ces dernières sur l'un des véhicules de police, alors que les forces de l'ordre annoncent sur les ondes être à court de munitions... La BAC arrive sur les lieux et prend à revers les assaillants, qui finissent par prendre définitivement la fuite. Aucun blessé n'est à déplorer du côté des policiers, qui ont retrouvé des mortiers, bombes avec acide et cocktails Molotov après le départ du groupe d'individus.