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anti-national - Page 652

  • Centre de formation pour migrants à Jouy : de l’intérêt de rester vigilants et réactifs

    6a00d83451619c69e20224df32b5aa200b-200wi.jpgSamedi, nous apprenions que le préfet de la région Île de France ajournait le projet d’installer à Jouy en Josas un centre de formation pour immigrés, en partenariat avec Emmaüs. Il s’agissait d’accueillir et d’héberger, par roulement semestriel, des « promotions » de 300 migrants venant se former aux rudiments de notre langue.

    Avec un très faible taux d’encadrement en dehors des heures de formation, ces migrants livrés à eux-mêmes, majoritairement masculins, ne maîtrisant pas le français, auraient probablement erré en ville. Dans ce contexte, le projet pouvait légitimement inquiéter cette petite ville d’à peine plus de 8000 habitants.

    Il est intéressant d’analyser comment les autorités préfectorales et6a00d83451619c69e20223c84b04fa200c-200wi.jpg municipales ont révisé la décision qu’elles avaient promue à l’insu de la population.

    Tout est parti du refus d’un conseiller municipal d’opposition de voter en faveur d’une demande du maire. Ce dernier a en effet soumis à son conseil la renonciation d’exercer un droit de préemption sur l’ex-centre de formation Thales, afin de rendre possible l’accord entre la préfecture de région, le propriétaire et Emmaüs. En l’absence d’information complète, le conseiller municipal d’opposition s’est abstenu et a demandé de plus amples informations, lesquelles ont été données le 12 avril lors d’une réunion publique.

    Malgré les vacances scolaires d’avril puis les jours fériés de mai, plusieurs réunions d’information des habitants ont eu lieu, débouchant sur la signature d’une pétition et la programmation d’une manifestation. Il convient également de signaler que le FN est le seul parti politique à s’être impliqué dans cette réaction, bien que n’ayant aucun élu à Jouy. La responsable départementale du FN a ainsi écrit au préfet des Yvelines, sollicité l’ensemble des élus de l’agglomération « Versailles Grand Parc », participé avec des responsables de circonscription à une réunion publique. Enfin, ses militants se sont mobilisés, par l’affichage et la distribution massive de tracts (copie ci-contre), dans le but d’informer la population et de l’inviter à se mobiliser et à interpeler les élus municipaux sensés les défendre.

    Nous retiendrons de cette affaire que l’on ne peut se contenter d’accorder une confiance aveugle à nos élus sur ces sujets où le politiquement correct a facilement raison de leur courage… Puisque le problème de l’accueil des immigrés n’est pas prêt de se résoudre, il est donc nécessaire que les citoyens restent vigilants sur ce qui se discute dans les conseils municipaux, surtout si certains partis ne sont pas représentés !

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  • U.N.E, grande et libre: contre leur “eurovision” !

    europe-des-nations-276x300.jpgL’Etat islamique (EI) a immédiatement revendiqué l’attentat au couteau commis samedi soir  dans le  second arrondissement de Paris (un passant  tué, quatre autres blessées dont deux grièvement) L’agresseur a été abattu par la police. Il s’agit de Khamzat Azimov,  un  tchétchène de 21 ans, français de papier (naturalisé) en 2010, fiché S en 2016 et dont le nom figurait aussi, comme près de 20 000 autres individus présents sur le territoire français, à l’instar de Radouane Lakdim notamment,  dans le  Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation islamiste (FSPRT) créé en mars 2015. A quoi servent ces fichiers divers et variés  sans volonté politique de mettre préventivement hors d’état de nuire la racaille islamiste?  Sur un mode évidemment festif,  il s’agit pourtant encore et toujours de célébrer le vivre-ensemble,  la  diversité et la différence. Ce sont les termes qui ont été employés  par  la chanteuse israélienne Netta Barzilai qui, surfant sur la vague #metoo  et  devant des médias en pâmoison, a remporté  samedi avec son titre Toy le concours de l’eurovision, ce spectacle réunissant parait-il les pays européens (?).  Une chanson pourtant très médiocre, chantée  en sabir anglophone par une femme qui  n’est pas vraiment un modèle de féminité et d’élégance… un exemple à imposer   en Europe de ce début  de millénaire? Certes nous avons échappé  à la  victoire du duo français Madame Monsieur (il se classe treizième, ouf!) qui célébrait l’invasion migratoire clandestine avec sa pathétique ritournelle Mercy… pitié en anglais pour ceux qui n’auraient pas  encore compris ce message d’une légèreté éléphantesque.

    Grossière propagande  comme les critiques adressées à Valeurs actuelles pour sa une sur le trouble  milliardaire George Soros:  « Artisan du déracinement, encourageant les flux migratoires massifs pour mieux fragiliser les États, George Soros déploie sa stratégie par l’argent, aussi discrète que cynique et destructrice. » Une une aux relents implicitement antisémites selon un Raphael Glucksman,  un Claude Askolovitch ou un Edwy Plenel au motif que M. Soros est de culture et/ou de confession juive. Un procès  de très mauvaise foi tant il est vrai que les origines de ce dernier n’en font pas un intouchable et ne  peuvent le mettre à l’abri des critiques.  De plus,  VA n’est pas spécialement réputé pour son antisionisme et sa ligne éditoriale  épingle les immigrationnistes de  tout poil. Il suffirait en outre que ceux qui crient à l’antisémitisme lisent les commentaires  sur George Soros que l’on peut découvrir  sur les sites droitiers pro-israéliens et/ou dans l’orbite de la communauté juive pour constater que ce milliardaire  américano-hongrois est critiqué, vilipendé  et même profondément  détesté par beaucoup  de ses coreligionnaires, à commencer par les sympathisants du  Likoud.

    Immigration qui reste la question clé, capitale, pour jauger de la sincérité du patriotisme de la classe politique, en France comme en Europe. Aussi le site Russia Today a t-il eu raison de noter que le gouvernement italien « anti immigration et eurosceptique » qui devrait finalement voir le jour  entre les nationalistes de la Ligue de notre ami Matteo Salvini et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles (M5S) de Luigi Di Maio est « un cauchemar pour Bruxelles » qui inquiète aussi «les marchés. »

    Après les  législatives de mars qui ont laminé les vieux partis bruxellois,   « c’était le pire des scénarios pour Bruxelles » est-il  rapporté. « Les tractations entre le M5S et la Ligue ont finalement débuté, après que Silvio Berlusconi, allié de la Ligue mais dont le parti a recueilli moins de voix que celle-ci, a finalement donné son accord à des négociations. Les chefs de file des deux formations, qui à elles deux disposent d’une courte majorité au Parlement, Luigi Di Maio et Matteo Salvini se sont rencontrés en début de matinée le 10 mai à la Chambre des députés.»

    «Signe de la fébrilité de l’UE à l’égard des évolutions politiques en cours sur la péninsule : des responsables européens avaient confié à l’AFP, avant les élections, s’activer en coulisses pour favoriser une alliance Renzi-Berlusconi. Si l’UE est loin de tenir ce dernier dans son cœur, elle semblait toutefois estimer que sa présence au sein d’une alliance gauche-droite était préférable au péril que représenterait une victoire du M5S ou de la Ligue (…). La question la plus épineuse que doivent désormais trancher le M5S et la Ligue est désormais celle du nom du futur chef de gouvernement. »  Et surtout ajouterons-nous, ils  devront rester sur la bonne voie,   maintenir la cohésion de cette coalition ce qui ne sera pas forcément un mince affaire car  les difficultés commencent maintenant!  Mais ne désespérons pas de l’avenir, des bonnes volontés et saluons avec Bruno Gollnisch  l’espoir  créé par  notre sœur latine avec  cette arrivée au pouvoir  des  nationaux et des populistes, nouveau coup porté  au calamiteux Système bruxellois à tuer les peuples.

    Bruxellois qui célébraient le 10 mai l’un des leurs, en remettant à Aix-la-Chapelle et le jour de l’Ascension  comme il se doit,  le prix Charlemagne (créé en 1950) à Emmanuel Macron, « un homme d’État de dimension européenne », «un précurseur courageux du renouvellement du rêve européen » selon  le directoire de la société  du Prix international Charlemagne.  La remise de ce prix coïncide avec la date  en France de   la « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.  »  Une  journée imposée par la très sectaire militante  Christiane Taubira dans la foulée de sa loi de 2001,  afin de culpabiliser les gaulois  pour des crimes qu’il n’ont  (très largement ) pas commis.

    Le prix Charlemagne recompense lui  « des personnalités qui se sont engagées pour l’unification   européenne », le premier honoré par ce prix il y a 68 ans  fut ainsi le comte Richard Coudenhove-Kalergi, exemple parfait de l’idéologue mondialiste parfaitement assumé. La chancelière allemande fut  elle même décorée en son temps pour ses bons et loyaux services, tout comme le   pape François pour son immigrationnisme, les suzerains américains Bill Clinton et Barack Obama, les grand seigneurs bruxellois  Jean-Claude Trichet (président de la BCE) , Jean-Claude Juncker (ex Premier ministre du paradis fiscal du Luxembourg, actuel président de la Commission européenne), l’ancien président du Parlement européen, le socialiste allemand persécuteur du FN Martin Schulz, l’ancien secrétaire général de l’OTAN et représentant de la politique étrangère de l’UEJavier Solana , l’atlantiste du même métal,  ex Premier ministre polonais et  actuel président du Conseil européen, Donald Tusk…

    D’un esclavage, d’une soumission l’autre, culpabiliser les Européens pour leur  manque d’enthousiasme pour ladite unification  fut aussi un exercice qui a été tenté  ce 10 mai par Emmanuel Macron aux côtés d’Angela Merkel. Certes dans l’indifférence générale.  Ils   ont dénoncé de concert la résistance grandissante, de la Vistule au Tibre,   aux oukases bruxelloises, le   populisme, le nationalisme,  le repli identitaire… Bref  le refus par les  Européens du libre échangisme sans frontièriste,  des  sociétés (béatement)  ouvertes… Réflexe de survie  que le duo a conspué  comme des dérives   « illibérales » , le comble de l’abjection  dans leur bouche.

    Il serait temps que nos élites qui s’évertuent depuis des décennies à travestir, déformer,  trahir le génie et les valeurs constitutives de notre civilisation  comprennent enfin que  leur eurovision  laide et sans âme,  le renouvellement de leur  rêve européen vire au cauchemar pour les peuples de notre continent. Qu’ils admettent également que leur  UE totalitaire est une étoile  déjà morte même si elle  luit encore faiblement et qu’il est grand  temps  de lui substituer cette  grande et libre  Union des Nations Européennes (U.N.E) que les nationaux et des  Européens  sans cesse plus nombreux,  appellent  de leurs vœux.  

    https://gollnisch.com/2018/05/14/u-n-e-grande-et-libre-contre-leur-eurovision/

  • Attaque au couteau par un islamiste à Paris: “Nommer l’ennemi fait partie de la bataille”, affirme Patrick Pelloux

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    Patrick Pelloux, urgentiste et ancien chroniqueur à Charlie Hebdo, était ce dimanche soir l’invité d’Apolline de Malherbe sur le plateau de BFMTV.

    Il a réagi au choix du gouvernement de ne pas qualifier d’”islamiste” l’attaque terroriste qui a frappé Paris ce samedi soir, en la personne de Khamzat Azimov, qui a tué une personne et en a blessé quatre autres à l’arme blanche dans le quartier de l’Opéra, avant d’être abattu par la police.

    La première chose, c’est la sémantique. Dire que nous avons un problème avec l’Islam radical, pour savoir comment doit évoluer cette religion et comment réagir par rapport à ces attentats.

  • Prêches radicaux en arabe dans les mosquées ? L’ex-patron du RAID répond “prêches en latin dans les églises”

     
    Stéphane Ravier@Stephane_Ravier

    STUPEFACTION ! Quand on lui parle des prêches radicaux en arabe dans les mosquées salafistes, le député LREM Fauvergue (ex-patron du RAID !) répond "prêches en latin dans les églises" : et ce sont eux qui sont chargés de la lutte contre l'islamisme ?

    Les bras nous en tombent !

    https://fr.novopress.info/

     

     

  • Jets de mortiers et cocktails Molotov sur un commissariat

    6a00d83451619c69e20224e03933fa200d-250wi.pngLa nuit a été agitée à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Une cinquantaine de personnes, réparties en plusieurs petits groupes, s'en sont pris aux forces de l'ordre peu après minuit.

    Trois policiers se trouvaient à l'intérieur du bâtiment. Un véhicule de police arrive alors en renfort, et tire en direction des différents groupes. Sept tirs de lanceur de balles de défense et deux grenades de type MP7 sont lancées par les forces de l'ordre. Au même moment, une équipe de la BAC (Brigade anti-criminalité) est prise à partie place Rodin. Les policiers essuient plusieurs jets de mortiers, cocktails Molotov, cailloux et bouteilles de verres. L'abribus situé sur la place est explosé, et deux voitures prennent feu, tandis que deux autres véhicules sont dégradés un peu plus loin. Les effectifs de police arrivés en renfort font alors usage à dix reprises du lanceur de balles de défense et de quatre grenades de désencerclement. 

    Le groupe de 50 individus cagoulés met finalement le feu à deux grandes poubelles, avant de lancer ces dernières sur l'un des véhicules de police, alors que les forces de l'ordre annoncent sur les ondes être à court de munitions... La BAC arrive sur les lieux et prend à revers les assaillants, qui finissent par prendre définitivement la fuite. Aucun blessé n'est à déplorer du côté des policiers, qui ont retrouvé des mortiers, bombes avec acide et cocktails Molotov après le départ du groupe d'individus. 

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  • GÉRARD COLLOMB, MINISTRE DE L’INTÉRIEUR, PASSE BEAUCOUP DE TEMPS À L’EXTÉRIEUR

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    Gérard Collomb est un ministre préoccupé par l’ordre républicain. Mais également très attaché à sa bonne ville de Lyon, dont il fut maire jusqu’à sa promotion nationale. Depuis, il a beaucoup de mal à oublier les bouchons. Pas sur la route, non, mais dans les rues de Lyon ! Depuis sa nomination, nous révèle le JDD, s’appuyant sur une enquête de France 2 diffusée jeudi soir, le ministre de l’Intérieur a effectué 27 % de ses déplacements dans la région lyonnaise.

    Et alors, il est où, le problème ? Le problème, il semble se situer vers « Képé », alias Georges Képénékian, le nouveau maire de Lyon, parachuté pour remplacer l’édile promu au pied levé. Mais « Képé » reste caché à l’intérieur des murs de l’hôtel de ville ! Cela se comprend : il est là par intérim jusqu’à ce que son ami Gérard accouche de sa loi sur l’immigration. Il est fort probable, en effet, que ce terme précédera son éviction du gouvernement Macron ! Mais c’est une autre histoire !

    En attendant, l’Ami Gérard ne veut pas qu’on lui pique ses ronds de serviette. Alors, il revient très souvent dans sa bonne ville de Lyon, aux portes du Sud. Il peut alors y retrouver « Le Nord », une brasserie de Paul Bocuse, proche de l’hôtel de ville, ou « Léon » (de Lyon), une grande table de la capitale des Gaules. Il aime également « Daniel et Denise » ; les nappes à carreaux, ça rapproche du peuple !

    On le voit aussi plus discrètement en famille ou avec des amis « Chez Carlo », une pizzeria où la pâte est excellente et où il fait bon se retrouver avec les copains. Ici, il préfère l’intérieur, plus discret que la terrasse extérieure qui donne sur la petite rue Palais-Grillet très passante. Difficile, lorsque l’on est un gourmet, de se contenter des rades parisiens où l’œuf dur mayonnaise le dispute au steak-frites improbable. « C’est pas super », nous révèle Laurent Gerra, imitant le ministre.

    Alors, notre Gérard, devenu « national » par l’onction du Président Macron, a pris un abonnement sur la ligne Villacoublay-Lyon-Bron desservie par les avions de l’armée de l’air affectés au transport du président de la République et des hautes personnalités gouvernementales. Le Falcon 2000 LX blanc – délicatement habillé de bleu blanc rouge – de la Brigade aérienne d’appui et de projection (BAAP) qui dépend du commandement des forces aériennes (CFA), c’est quand même plus classe que le TGV où on le rencontrait à l’occasion quand, fâché avec Hollande, bien avant l’Intérieur, il était tenu à l’extérieur du jeu politique national. Plus classe, mais pas plus rapide. Environ une heure trois quarts de voyage tout compris, dont trois quarts d’heure de vol. Même temps de trajet que le train. Pas le même coût, en revanche : 8.000 euros – 8 passagers, soit 1.000 euros/heure, coût passager aller-retour 1.500 euros -, TGV, maximum 250 euros. Les Français sont riches ! Il semblerait que le rapport coût/temps de voyage, étalonné il y a quelques mois par le Premier ministre lors de son retour d’Extrême-Orient, avalise tous les excès…

    À l’heure où la France doit faire face au communautarisme, aux zadistes et aux Black Blocs qui fragilisent l’ordre public, notre dynamique ministre de l’intérieur passe son temps à l’extérieur, pour encourager les brigades… des grands chefs lyonnais. « Par chance », Gérard Collomb était à Paris samedi soir lorsqu’un nouvel attentat islamiste a frappé notre pays. Au bon endroit pour commenter devant les caméras.

    http://www.bvoltaire.fr/gerard-collomb-ministre-de-linterieur-passe-beaucoup-de-temps-a-lexterieur/

  • L’énorme supercherie du Fichage S ou la mollesse érigée en système

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    Bernard Plouvier

    Après chaque attentat de fou d’allah en France, les journalistes qui se veulent sérieux rassurent le bon peuple, ou tentent de le faire, en évoquant cette merveille conceptuelle, inventée par les gouvernants prosternés devant l’islamo-pétrodollar : le FSPRT.

    Ce délicieux acronyme correspond au Fichier des Signalements pour la Prévention de la Radicalisation à caractère Terroriste. En ce glacial printemps 2018, y figurent environ 20 000 mahométans, demeurant en permanence sur le sol métropolitain.

    Encore faut-il signaler que 4 600 dossiers sont considérés comme clos, les individus étant devenus, paraît-il, des prix de vertu, des angelots, de « bons citoyens ». 4 000 autres sont « dépourvus de suivi actif », ce qui – en clair – signifie qu’ils sont « dans la nature », perdus de vue par leurs pisteurs.

    Presque à chaque attentat mahométan – soit en moyenne une fois par mois -, l’on apprend que le terroriste était « fiché S », c’est-à-dire qu’il était répertorié par ce prodigieux FSPRT. On ne voit pas bien en quoi cette information peut rassurer le bon peuple, celui qui paie des impôts, en contrepartie théorique de services rendus par l’État, dont la Sécurité Publique est l’un des premiers sinon le premier qu’un citoyen est en droit d’exiger. Nos distingués maîtres, Président Macron en tête, feraient bien de réétudier la notion de Contrat social.

    Il est évident que l’honnête français assassiné par un fou d’allah « fiché S » n’en a pas moins vu ses jours abrégés, souvent d’ailleurs dans la souffrance. Quant aux blessés, généralement plus nombreux que les assassinés, qui garderont peut-être une invalidité physique permanente et constamment un traumatisme psychique de leur contact avec le fou d’allah, quant aux familles des victimes, il leur reste à entendre cette ineptie : l’État surveille ces assassins en puissance

    Mais « l’État » n’en a incarcéré que moins de deux milliers, probablement pour ne pas faire de peine aux milliardaires mahométans investisseurs potentiels ou avérés, ni aux recteurs des très nombreuses mosquées érigées en France, ou aux imams de banlieues qui contrôlent, avec les trafiquants de toutes sortes, ces deux mille cités de non-droit qui vomissent périodiquement des hordes d’émeutiers.

    Dans un État bien géré, ce qui exclut la France des Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron, la Sécurité est l’une des composantes essentielles du Bien Commun. En d’autres termes, les terroristes potentiels devraient être soit exportés vers d’autres cieux, soit mis définitivement hors d’état de nuire.

    En période de surpopulation, voire de « pollution démographique » comme le disait George Bush senior avant le règne de William Clinton, on ne devrait pas trop pleurer les psychopathes violents ni les sociopathes. En un régime politique où est affirmé le principe de séparation de l’État et des religions, l’avis des « autorités cléricales » d’où qu’elles viennent devrait être égal à Zéro.

    On a de plus en plus l’impression que l’État macronien est aussi inefficace que celui de ses peu, voire pas, regrettés prédécesseurs. La protection de la Nation est un devoir régalien. Si les élus du peuple, arrivés aux plus hautes fonctions, négligent ce devoir, la Nation devra se protéger elle-même et, dans ce cas, le risque de dérapages tous azimuts sera grand.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pendant que deux gauchistes pro-migrants chantaient les bienfaits de l'invasion à l'Eurovision, un envahisseur musulman poignardait 8 personnes à Paris

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    Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, a réagi sur Twitter au nouvel attentat islamiste qui a eu lieu ce soir à Paris aux abords de l'Opéra Garnier où un islamiste a poignardé huit personnes, en tuant une, avant d'être abattu comme le chien galeux qu'il était.

  • Suite à une loi anti-voile, de nombreuses familles musulmanes quittent le pays

    Depuis le 1er octobre, l’Autriche a voté l’interdiction de se couvrir le visage. Depuis lors, toute personne qui tente de dissimuler son visage en public se voit averti par les autorités, puis en cas de non-obtempération à la loi, reçoit une amende de 150 euros.

    Les femmes entièrement voilées sont particulièrement touchées par l’interdiction, et d’après le quotidien autrichien Heute, certaines d’entre elles ont depuis quitté l’Autriche avec leur famille.

    Comme le rapporte encore le journal, la police viennoise a effectué environ 100 verbalisations officielles depuis l’introduction de la loi, dont les deux tiers à cause de burkas ou de nikabs.

    Les femmes entièrement voilées ont réagi différemment à la loi, affirme Elif Öztürk du Centre de documentation sur l’islamophobie et le racisme anti-musulman. Certaines vivraient dans l’isolement, souffriraient gravement de la situation, ou auraient choisi d’émigrer.

    Heute cite une famille qui avait émigré en Égypte, car l’abandon du voile facial était « hors de question », indique le site Dokustelle. Une autre femme aurait émigré en Serbie avec ses enfants parce qu’elle ne pouvait plus porter son nikab.

    Dans un autre cas, les parents ont retiré leurs enfants de l’école, «parce que la mère, voilée, ne peut plus amener son enfant à l’école et le père travaille à temps plein». La famille a donc dû organiser des cours particuliers à domicile pour leur enfant. Le nombre exact de familles musulmanes ayant quitté l’Autriche pour cette raison n’est pas documenté.

    En France, il est déjà interdit de dissimuler son visage en public depuis la loi signée de François Fillon en 2011. En cas de refus d’obtempérer, la police ou la gendarmerie intervient pour dresser un procès-verbal et contrôler l’identité de la personne. Si la personne voilée accepte de montrer son visage, elle recevra une convocation pour une audience devant un juge de proximité, si elle refuse, elle sera emmenée au poste de police et peut recevoir une amende de 150 euros et l’obligation d’assister à un stage de citoyenneté.

    Source

    https://www.suavelos.eu/autriche-suite-a-une-loi-anti-voile-de-nombreuses-familles-musulmanes-quittent-le-pays/

  • HIDALGO ET LE SANGATTE PARISIEN : CHRONIQUE D’UN DÉSASTRE ANNONC

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    Anne Hidalgo ne cesse d’améliorer son record d’hypocrisie politicienne sur la question des clandestins qui s’agglutinent à Paris.

    Elle a actionné depuis des années la pompe aspirante en multipliant les déclarations sirupeuses et larmoyantes et en incitant ces migrants, principalement mus par des considérations économiques, à s’installer dans un centre d’hébergement en forme de grosse bulle qu’elle ouvrait porte de la Chapelle.

    Mais la coupe était pleine et la bulle, en piteux état, a éclaté. Les communes de banlieue à qui elle renvoyait discrètement les clandestins une fois les caméras parties n’en peuvent plus. Les migrants s’agglutinent donc désormais autour des canaux, près du Périphérique et dans les squares du Nord parisien.

    Hidalgo fait semblant de n’être en rien responsable et n’a plus de solution à proposer. Elle fait son show devant les caméras et stigmatise l’Etat ainsi que les affreux « populistes ». Sa dernière trouvaille : une lettre ouverte à Edouard Philippe.

    Mais les Phillipards modernes n’y peuvent plus grand chose, si tant est que la tentation macronienne ne soit de laisser Hidalgo croupir dans la mouise qu’elle a suscitée.

    Hidalgo a d’abord appelé en avril dernier l’État à « mettre à l’abri », selon son vocabulaire pseudo-compassionnel, plus de 2.000 migrants installés sur des campements « indignes » de la capitale, promettant de se rendre chaque vendredi porte de la Villette pour garder « visible » une situation «inacceptable».

    «On voit réapparaître des campements dans Paris, avec 1.500 personnes porte de la Villette, 800 sur le canal Saint Martin…» dans le nord-est de Paris, a-t-elle fait semblant de déplorer dans un entretien à l’AFP, quelques jours après la fermeture du « centre de premier accueil » qui servait de « sas » aux migrants depuis novembre 2016.

    Et elle a, au passage, remis une couche de défaitisme migratoire en déclarant :

    « On peut toujours porter un message de fermeté, dire « on va renvoyer tous les dublinés ». Mais ce message n’est pas réaliste. Ça ne se passe pas du tout comme ça. »

    Bref, il faudrait selon elle continuer de subir et chouiner pour que l’Etat dépense ensuite des dizaines de millions en structures d’accueil qui seront autant de nouvelles pompes aspirantes, celles que la ville de Paris ne peut plus payer.

    Rappelons qu’Hidalgo a par son attitude même mis en place ces aspirateurs à migrants dans Paris. Le centre pour réfugiés inauguré avec cellule d’accueil dans une bulle gonflable en novembre 2016 à proximité de la porte de la Chapelle, au 70 boulevard Ney dans le XVIIIe arrondissement, comptait d’abord 400 lits, puis rapidement 600.

    Evidemment, le baratin qui voulait que « les migrants aient vocation à rester cinq à dix jours dans le centre » n’a pas résisté aux réalités. L’engorgement quasi immédiat a été synonyme de débordement d’autant qu’Hidalgo, jamais à cours de démagogie, avait posé l’accueil inconditionnel comme principe à l’entrée.

    Les camps sauvages ont donc rapidement ressurgi, les évacuations aussi, et tout cela coûte cher. Le seul centre du 18e revenait à environ 8,6 millions d’euros annuels en frais de fonctionnement, dont 7,24 millions pour l’État. Et les locaux se sont immédiatement dégradés. La situation était donc ingérable et il a fallu fermer les lieux. Pas étonnant que l’Etat en ait assez des promesses inconsidérées d’Hidalgo.

    Aujourd’hui le système est au bord de l’explosion et des milliers de clandestins vont essaimer en plusieurs petits Sangatte parisiens. La maire de Paris, nourrice auto-proclamée de tous ces pauvres hères (souvent possesseurs d’i-phone et autres Samsung quand même…) va donc continuer de larmoyer et tenter de faire porter aux autres le chapeau de son incompétence et de ses mensonges.

    La vie va être merveilleuse dans les arrondissements du Nord de Paris !

    A moins qu’Hidalgo, aidé par Macron et sous l’influence directe du communiste Brossat, ne parvienne à créer selon le dernier état de son ambition une sorte de ville de clandestins dans le bois de Boulogne, une jungle dans un jardin, une agglomération entre Neuilly, Auteuil et Passy, un ghetto dans le ghetto, un rêve islamo-gauchiste enfin réalisé.