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anti-national - Page 649

  • L’UNION EUROPÉENNE MORD LES MAINS QUI LA NOURRISSENT, ET ON AIME ÇA…

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    Quand on sait d’où vient l’Union européenne, on croit rêver en apprenant que la France est poursuivie en justice par la Commission européenne auprès de la CJUE (Cour de justice de l’Union européenne) au motif qu’elle n’aurait pas procédé aux efforts « suffisants » contre la pollution de l’air (notamment au dioxyde d’azote).

    Sur le fond de l’affaire, il se trouve que la France a fait l’objet de plusieurs avertissements, ces dernières années, concernant des dépassements « répétés » de pollution au NO2 (dioxyde d’azote) dans plusieurs agglomérations. « Elle n’a pas pris la mesure pour protéger la santé de ses concitoyens », nous dit-on. La Commission européenne a, ainsi, menacé la France à de nombreuses reprises de porter l’affaire devant la CJUE.

    Qu’on se le dise, la situation serait cocasse si ces mascarades politico-judiciaires ne se faisaient pas avec notre argent. Concrètement, une institution simili-démocratique, qui se dandine allègrement sous nos yeux sans qu’on ne puisse vraiment la maîtriser, se croit désormais dotée d’assez de pouvoir pour nous l’éclabousser à la figure. Si Commission européenne il y a, n’est-elle pas mandatée par les États, eux-mêmes garants de « citoyens européens » ? La Commission toute bureaucratique, qui ne rend de compte à personne, vit avec l’argent des contribuables, c’est-à-dire le nôtre. Cette Commission (que l’on paie, et grassement) mandate alors des personnes (qu’ils paient de notre argent) pour contrôler nos taux de dioxyde d’azote afin de veiller à notre santé (je suppose que nous devons la remercier pour ça). Si ça lui chante de gaspiller nos sous à mesurer les taux de NO2 de nos métropoles les jours de canicule, c’est son affaire (quoiqu’un peu la nôtre).

    Subséquemment, elle fanfaronne, un rapport de l’OMS sous le bras, pour sermonner l’Europe entière en matière de pollution. On évitera de lui gâcher ce plaisir, c’est sa seule compétence : produire des rapports, dire le bien et le mal, et blâmer des gens qui avaient oublié qu’ils la payaient pour ça. Si on lui enlève cette activité passionnément altruiste, il est probable qu’elle produirait des rapports sur le manque de rapports pour dire le bien et le mal pour nous-mêmes. Elle serait même capable, bougresse insatiable, de nous condamner pour cela. En substance, elle sert surtout à nous assener des vérités outre-Atlantique, plus encore quand elle se fringue d’instances supposées internationales.

    Mais n’est-ce pas le comble, quand cette Commission européenne, qui ne se gaverait pas d’autant de notre argent sans nous-mêmes, en vient à poursuivre les États qui la nourrissent ? Nous savons, bien sûr, qu’elle s’en contrefiche ; n’est-elle pas toute-puissante, forte de la légitimité des gourdiflots qui lui cèdent notre souveraineté à répétition ?

    Ce qui se conçoit bien s’énonçant clairement, voici que mon argent (et le vôtre) sert à payer des gens qui produisent des règles (souvent tatillonnes, parfois vraiment stupides), puis d’autres gens qui en contrôlent la teneur dans notre pays. Ensuite, ils nous tapent au mieux sur les doigts, en nous imposant des amendes, à moins qu’il ne faille en référer au tribunal de l’Europe (la CJUE), que l’on paye également de nos deniers.

    Alors, quand un État est condamné à une amende, je vois mal quels sous autres que les nôtres pourraient bien l’en acquitter. La Commission européenne aura beau prétexter que c’est pour notre bien, combien de temps, encore, allons-nous raffoler de nourrir les mains qui nous fessent et nous détroussent ?

  • Mai 68 • Les acteurs de la contestation

    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.

    Dire à la fois que les mouvements radicaux d’extrême-gauche étaient dirigés par des Juifs et que ce sont ces mouvements qui sont à la source de la révolte étudiante qui déclencha la crise de mai-juin 1968 revient à considérer que le rôle joué par ces jeunes Juifs a été déterminant. Sans eux, il est légitime de se poser la question, Mai 68 aurait-il eu lieu ? 

    Yaël Auron insiste sur leur rôle majeur dans l’irruption des événements quand il écrit que « Mai 68 revêt des spécificités juives indéniables, authentiques et profondes. Ce sont dans une large mesure des motivations juives qui ont propulsé toute une génération de jeunes juifs dans la lutte révolutionnaire universelle. Elles trouvent leurs fondements dans les événements du passé le plus proche, la Seconde Guerre mondiale et la Shoah »[1]. Pour lui, leur faible nombre était compensé par la position éminente qu’ils occupaient dans les mouvements gauchistes. Ils se trouvaient aux places les plus stratégiques, de direction. En quelque sorte ils en étaient les pivots : « les juifs n’étaient qu’une infime minorité, bien que fortement représentés au sein des instances dirigeantes des groupes contestataires étudiants. »[2]

    Outre la J.C.R. de Krivine, Yaël Auron souligne qu’« [i]l en était de même au sein de la direction des autres organisations trotskistes où les juifs représentaient une majorité non négligeable si ce n’est la grande majorité des militants. […] Le mouvement maoïste, la Gauche prolétarienne, avait à sa tête deux juifs, Alain Geismar et Pierre Victor (Benny Lévy). »[3] Sans oublier le plus informel Mouvement-du-22-mars et son leader emblématique Daniel Cohn-Bendit, le plus célèbre des soixante-huitards.

    Dans un livre autobiographique ce dernier raconte une expérience qui l’a grandement marquée : « à quinze ans, je suis allé en Israël. J’ai travaillé dans un kibboutz. C’était très joli, tout le monde vivait en communauté, les gens s’entraidaient, solidarité, égalité, etc. Intuitivement, je devais avoir une position sioniste de gauche. […] J’étais à Nanterre lorsque éclata la guerre des Six-Jours. […] Nous n’avions pas conscience réellement du problème d’Israël : nous étions encore sous l’influence de l’idéologie sioniste que nous avions acceptée pendant des années »[4].

    Plus loin il développe le raisonnement suivant : « L’extrême-gauche, comme la gauche, a toujours répugné à se poser le problème de l’identité individuelle. Pour définir quelqu’un, on se réfère toujours à son appartenance de classe. Mais notre identité est le fruit de multiples expériences, parmi lesquelles le cadre de vie de notre enfance joue un rôle important. […] Cette société m’impose d’être viril – je suis un garçon, plus tard un homme – juif allemand, rouquin, plus ou moins beau »[5]

    Les auteurs de Génération. Les années de rêve, Hervé Hamon et Patrick Rotman, ont dressé une longue liste des protagonistes de Mai 68. Nous reprenons ce qu’ils disent du milieu familial et social de chaque acteur. 

    Alain Krivine 

    Commençons par Alain Krivine : « Son père, médecin stomatologue, n’a rien d’un ʽʽencartéʼʼ. Il lit Le Figaro, se proclame antiraciste, vote régulièrement à gauche mais avec la certitude, quand son suffrage se porte sur les communistes, que ces derniers ne prendront jamais le pouvoir. Il est né en France de Juifs russes immigrés, qui ont fui les pogroms avant 1917, et la femme qu’il a rencontrée était de même souche. […] La mère d’Alain, au fond, n’éprouve ni passion politique ni passion religieuse. Elle jeûne à Kippour parce que, dit-elle, face aux antisémites, il est bon de montrer une fois l’an qu’on est juif. »[6] 

    André Sénik 

    André Sénik « est né de parents juifs polonais, petits commerçants établis à Paris dans le quartier du Sentier vers 1930, à l’époque où la communauté juive en France – cent cinquante mille âmes – double de volume sous l’afflux des réfugiés de l’Est, dont la moitié provient de Pologne. La culture familiale est teintée de marxisme mais tout autant de sionisme. La première organisation que fréquente le jeune Sénik, le M.A.P.A.M. (le Parti unifié des travailleurs, à la fois sioniste et socialiste), est ainsi orientée : à gauche, et cependant en quête dʼEretz Israël. »[7] 

    Tiennot Grumbach 

    Quant à Tiennot Grumbach : « Sa mère est la sœur de Pierre Mendès France et dirige le commerce de vêtements, devenu petite maison de couture, qu’a fondé le grand-père Mendès. [Son] père, il est ʽʽdans les affairesʼʼ, au Brésil, où laCasa Grumbach connaît des hauts et des bas. »[8] 

    Jean-Paul Ribes 

    Jean-Paul « Ribes, lui, n’est pas juif pour deux sous. Un Français, vrai de vrai, issu d’une classique famille petite-bourgeoise – le père ingénieur à l’E.D.F., la mère qui ʽʽne travaille pasʼʼ. »[9]    (Dossier à suivre)   

    [1]  Yaël Auron, Les juifs d’extrême gauche en mai 68, Paris, Albin Michel, 1998, p. 39.

    [2]  Ibid., p. 23.

    [3]  Idem.

    [4]  Daniel Cohn-Bendit, Le grand bazar, Paris, Belfond, 1975, p. 10-11.

    [5]  Idem.

    [6]  Hervé Hamon, Patrick Rotman, Génération. Les années de rêve, Paris, Seuil, 1987, p. 15-16.

    [7]  Ibid., p. 20.

    [8]  Ibid., p. 21-22.

    [9]  Ibid., p. 22.  

    L'ouvrage de l'auteur ...

    (Cliquer sur l'image)

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    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    Dossier spécial Mai 68

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Facebook s’associe au très globaliste Atlantic Council pour interférer dans les élections à travers le monde

    Facebook globaliste Atlantic Council élections mondeÉchaudé par les nombreux scandales et critiques dont il a été l’objet depuis plusieurs mois, Facebook a décidé de tout faire « protéger des élections libres et justes dans le monde » – on s’inquiète déjà.
    Et on peut puisqu’il compte s’allier avec le think tank spécialisé dans les relations internationales, l’Atlantic Council, qui compte quelques magnifiques personnalités mondialistes telles Henry Kissinger et Dina Powell, ancienne présidente de la Goldman Sachs Foundation…

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  • LES ÉTUDIANTS ANTI-BLOCAGE EN ACTION À LA SORBONNE : UNE EXCLUSIVITÉ BOULEVARD VOLTAIRE

    Ils voudraient que, pour changer, on arrête de parler des faux étudiants bloqueurs pour parler d’eux, les vrais étudiants, ceux qui ont envie de travailler et de passer leurs examens.

    Jeudi 10 mai, certains sont passés à l’action : « Nous n’avons commis aucune violence physique, malgré l’agressivité et les menaces des bloqueurs qui n’ont pas hésité à s’en prendre violemment à des jeunes filles de notre groupe. »

    http://www.bvoltaire.fr/etudiants-anti-blocage-action-a-sorbonne-exclusivite-boulevard-voltaire/

  • La police de la pensée

    Dans  cette chronique fort intéressante du Journal de Montréal [1.05] Mathieu Bock-Côté, après avoir dit que « nous aimons croire que nous vivons en démocratie », expression singulièrement restrictive et dubitative, ajoute que nous aimons croire aussi que « jamais, dans l’histoire, les hommes n’ont été aussi libres que maintenant » ». Et il concède : « Globalement, c’est vrai. » Précaution oratoire ? On peut le penser car la suite de sa réflexion est tout entière non pas tout à fait pour démontrer le contraire, mais pour marquer toutes les redoutables limites et restrictions de tous ordres qu'il est réaliste d'opposer à cet optimisme de principe. L'article dans son énoncé et sa composition est nuances, prudence et habileté. Au bout du compte, c'est la vérité vrai, lucide et réaliste qu'il dévoile. Et nous sommes d'accord.    LFAR

    Nous aimons croire que nous vivons en démocratie et que jamais, dans l’histoire, les hommes n’ont été aussi libres que maintenant. Globalement, c’est vrai. Nous jouissons de réelles libertés et pouvons élire nos dirigeants.

    Mais cela ne veut pas dire que nos gouvernants ne cherchent pas à contrôler nos pensées.

    Rumeurs ?

    On en a encore eu une preuve récemment avec la Ville de Montréal qui, comme nous le rapportait Radio-Canada la semaine passée, va implanter un programme « d’agents anti-rumeurs » qui auront pour vocation de surveiller nos conversations et de nous corriger quand nous exprimons des pensées incorrectes à propos de l’immigration. 

    Ces agents, recrutés dans tous les milieux, auront pour mission d’intervenir dans la vie quotidienne pour nous corriger idéologiquement. 

    Comment ne pas voir dans cela une odieuse propagande à tentation totalitaire ?

    Qui distinguera les vérités à propager et les rumeurs à déconstruire ou censurer ?

    Si je considère que l’immigration massive n’est pas une bonne chose pour le Québec, s’agit-il d’une fausse rumeur ?

    Si je refuse de croire l’étrange théorie soutenant que la discrimination est à l’origine du taux de chômage élevé dans certaines communautés culturelles, est-ce une fausse rumeur ?

    Si je constate que l’islam s’intègre mal partout en Occident, est-ce une fausse rumeur ?

    Si je dis que les « migrants irréguliers » qui traversent la frontière sans permission sont des immigrés illégaux, est-ce une fausse rumeur ?

    Pensée correcte

    En gros, suffira-t-il d’être défavorable à l’immigration de masse pour être corrigé par cette nouvelle police de la pensée qui se veut ludique, mais qui fait surtout penser au roman 1984 de George Orwell ?

    Car c’est de cela qu’il s’agit : de nous rééduquer à partir du logiciel multiculturaliste.

    Est-ce que nous voyons à quel point le gouvernement devient intrusif lorsqu’il se permet de surveiller les pensées de la population pour mieux la soumettre à l’idéologie officielle ?    

    Mathieu Bock-Côté

    Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Dominique Reynié revient sur l’interdiction de la page Defend Europe par Facebook

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    Nous avons consacré plusieurs articles aux réactions des médias après l’action de Génération Identitaire de défense des frontières européennes dans les Alpes françaises en avril 2018. Le vocabulaire employé que ce soit dans les médias nationaux ou régionaux, à la télévision ou à la radio, était celui de la disqualification morale. L’interdiction de deux pages Facebook par le réseau social californien a été analysée en référence à un article de la Fondation Polemia. Le politologue Dominique Reynié, Président de la Fondapol (souvent présentée comme proche de LR) a publié une intéressante tribune sur le sujet dans Le Figaro du 11 mai 2018).

    Comment Facebook justifie la censure

    Le politologue enseignant à Sciences Po et spécialiste du populisme, cite le communiqué de Facebook. L’entreprise justifie sa décision en ces termes : « Nous nʼautorisons pas les discours incitant à la haine sur Facebook, parce que ces discours créent une atmosphère dʼintimidation et dʼexclusion, et peuvent aboutir à des violences dans le monde réel. » Exhibant ensuite le « code de conduite » signé avec la Commission européenne en 2016, Facebook assure avoir lʼobligation de réagir en moins de vingt-quatre heures quand un « discours de haine » lui est signalé par des utilisateurs ». Fin de citation.

    Dominique Reynié poursuit : « Pourtant, chacun peut consulter, exemple entre mille, des comptes de black blocks, agrémentés de vidéos ou de photos montrant des policiers en flamme, des CRS à terre et blessés, le tout accompagné de commentaires jubilatoires qui expriment souvent de la haine. Cʼest depuis lʼun de ces comptes, toujours actif et dont je nʼapprouverais pas la suppression, quʼà lʼoccasion du 1er Mai fut lancé un événement promettant, je cite, « un mai sauvage », auquel se sont inscrits plus de 1100 participants, donnant lieu à des manifestations de haine dont on a pu constater ce jour-là les effets, bel et bien réels, dans les rues de Paris, sans émouvoir Facebook ».

    Censure privée et censure publique, enfouissement des opinions

    L’auteur souligne, ce qui avait déjà surpris l’Ojim, la conjonction d’une censure publique (l’intervention du préfet qui préside la DILCRAH) et d’une censure privée (celle de l’entreprise Facebook) : « Qui peut dire comment et par qui a été prise la décision de fermer le compte de Génération identitaire ? Pourquoi ce compte en particulier, parmi tous ceux qui, souvent, devraient être frappés de la même sanction ? Enfin, pourquoi un préfet de la République, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, lʼantisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), sʼest-il publiquement réjoui de la décision de Facebook, dans un tweet dont le texte et la forme semblent vouloir suggérer quʼil avait lui-même pris part à cette décision ou quʼil en avait été informé ? Sʼagit-il dʼun pacte de censure entre la puissance publique et lʼentreprise privée ? ».

    Il ajoute que le procédé, « lʼemploi dʼune procédure privée, aussi parfaitement invisible que terriblement efficace, offrant le pouvoir de déclasser – en fait dʼenfouir – des opinions», aboutit à une censure silencieuse, en-dehors de toute intervention judiciaire. Il conclut « la question posée par la fermeture du compte de Génération identitaire est, à proprement parler, cruciale : il sʼagit de savoir si nous sommes engagés dans un processus de privatisation de nos libertés publiques et en dehors de tout contrôle de type juridictionnel ou parlementaire. ». La question est posée.

    Tribune reprise du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Quand le militant pro-migrants Cédric Herrou s’affiche au Festival de Cannes

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    Le V de la victoire n’était pas de rigueur au festival de Cannes pour Cédric Herrou. Alors que fouler le tapis rouge du prestigieux festival reste une consécration pour les acteurs, l’agriculteur défenseur des migrants y voit plutôt un tremplin pour défendre son combat. Un engagement raconté dans le documentaire “À tous vents” réalisé par Michel Toesca et dans lequel Cédric Herrou joue son propre rôle.

    Le militant immigrationniste a notamment déclaré :

    Je vais monter les marches du Festival de Cannes comme j’ai monté les marches du palais de justice, en gardant la tête froide et avec le but final qui est en fait, de parler, de dénoncer et de porter mon témoignage sur ce qui se passe en france et précisément dans la Roya.

    “À tous vents” retrace la rencontre des habitants de la Roya, une vallée du sud de la France et des migrants qui y arrivent en tentant de passer la frontière franco-italienne.

  • La France vous souhaite un bon ramadan, par Caroline Parmentier

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    Le ramadan, considéré comme une « période délicate » par les services préfectoraux et la police, vient de commencer. Marqué par l’arrivée en pleine période d’attentats islamistes, de 300 imams étrangers (algériens et marocains) sur le sol français, accueillis par un gouvernement aux petits soins.

    Je sais que le ramadan a commencé quand ma fille m’annonce que plusieurs élèves de sa classe sont dispensés de sport parce qu’ils n’ont pas le droit de boire. Essayez d’empêcher vos enfants de boire par 30 degrés au soleil si vous êtes catholique ou Témoin de Jéhovah et vous serez dénoncé comme appartenant à une secte maltraitante. Essayez de sécher le cours de sport si vous n’êtes pas musulman et il vous faudra non pas seulement un motif religieux ou un mot des parents, mais un certificat médical certifiant votre incapacité après une visite chez un médecin.

    Après les attentats de Trèbes et de l’Opéra, la décision de faire venir 300 imams étrangers est totalement irresponsable. La Croix (mieux rencardée sur le ramadan que sur le carême) nous apprend que « les communautés musulmanes en ont besoin » : « Elles recherchent des religieux capables de réciter l’intégralité du Coran – appris par cœur – sur un mode psalmodique, une pratique connue sous le nom arabe de “tajwid” ». Des textes de fraternité et de paix comme chacun sait. Le vivre ensemble c’est bon pour les idiots utiles.

    Ce sont les « meilleurs imams », nous assure le président du CFCM, ceux de l’islam des Lumières sans doute, passés au crible des services antiterroristes (ce qui nous rassure beaucoup) au moment même où Macron dit travailler à un plan pour mieux contrôler le culte musulman en France et l’éloigner des influences étrangères. « Comment dans un Etat laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe-t-il de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan ? », s’est indigné Jeannette Bougrab. « Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés. » L’ancienne secrétaire d’Etat, fille de harki, rappelle que « la radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan ».

    Et le ramadan des migrants ?

    Prêtes à se soumettre pour quelques milliards de plus, les grandes surfaces se mettent de plus en plus à l’heure du hallal, les rayons sont de plus en plus envahissants. Le chiffre d’affaires de ce marché communautaire est estimé à 7 milliards d’euros, presque autant que le marché du bio. Carrefour propose jusqu’au 28 mai des réductions spécifiques, Auchan met en avant un catalogue de produits « aux parfums de l’Orient » avec une réduction sur les pistaches, ou une remise sur les bonbons halal.

    Alors que pour Anne Hidalgo, « le ramadan fait partie du patrimoine culturel français », les migrants du camp du canal Saint-Denis et de la porte de la Chapelle se plaignent que les associations ne s’adaptent pas comme il faut et ne leur apportent pas assez d’aliments au moment de la rupture du jeûne… « C’est dans ces moments que notre foi est mise à l’épreuve et nous nous montrerons dignes de notre Prophète », déclare Mohammed car comme il le confie à Libération : « Le ramadan, ça nous rappelle un peu la maison ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • France : deux Égyptiens préparaient un attentat à l’explosif ou au poison

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    Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y aucun lien de causalité entre terrorisme, islam et nationalité des jihadistes !

    Un nouvel attentat a été déjoué en France et deux frères d’origine égyptienne ont été arrêtés, a annoncé vendredi le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb sans préciser la date ni le lieu.

    « Il y avait deux jeunes gens d’origine égyptienne qui s’apprêtaient à commettre un attentat, avec soit de l’explosif soit à la ricine, ce poison […] très fort », a déclaré le ministre sur RMC et BFMTV. Selon lui, les deux hommes échangeaient sur la messagerie Telegram, où ils ont été repérés. Ils disposaient de « tutoriels » pour fabriquer des poisons à base de ricine.

    Selon une source proche de l’enquête interrogée par l’AFP, l’interpellation a eu lieu dans le XVIIIe arrondissement de Paris vendredi 11 mai, veille de l’attaque au couteau menée par le djihadiste d’origine tchétchène Khamzat Azimov.

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  • ALAIN DE PERETTI : LES FINANCES DE L’ISLAM EN FRANCE SONT EXTRÊMEMENT IMPORTANTES GRÂCE AU HALAL. IL SERAIT BON QUE L’ÉTAT Y METTE SON NEZ

    En ce début de ramadan, les grandes surfaces multiplient les campagnes publicitaires en direction de ce marché en pleine expansion.

    Le docteur Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal, réagit à cette omniprésence commerciale.


    Les grandes surfaces ont compris que le ramadan était un marché rentable…

    Il serait difficile de « louper » le commencement du ramadan compte tenu de l’énorme campagne qui est faite autour de cet événement. Cela confirme ce que je dis d’une façon lapidaire : le halal est la conjonction du mercantilisme et de l’obscurantisme.
    Lénine disait que les capitalistes vendraient la corde pour les pendre. Nous n’avons rien changé depuis la fin du communisme. Il y a effectivement un marché en pleine expansion, il suffit de jouer sur l’obscurantisme d’un islam qui non seulement n’évolue pas, mais en plus régresse, car revient à ses origines du VIIe siècle. Nous ne sommes pas prêts de voir le bout dans ces conditions-là.

    Qu’est-ce qui vous dérange dans le principe du ramadan ?

    Je ne parlerai pas des reproches que l’on peut faire sur les impacts négatifs de la santé.
    Je rappelle que les dépenses de consommation et de nourriture augmentent de 44 % pendant cette période. C’est dire que ce n’est pas une période de jeûne ni de privation. C’est surtout la grande bourse. Mais ce n’est pas mon propos.
    Le ramadan, c’est le Hallal, c’est-à-dire, en terme musulman, ce qui est permis, autorisé et même obligatoire. Cela sort de cette sourate : «  vous êtes la meilleure des communautés que Dieu a faites parmi les hommes, vous ordonnez le licite et vous interdisez l’illicite ». Cela signifie qu’ils doivent donc obliger le halal et interdire le haram.
    Tout cela, c’est la charia, la loi islamique qui englobe la lapidation de la femme adultère, la peine de mort pour l’apostat et toutes sortes de joyeusetés. La charia est un ensemble juridique totalement incompatible avec nos règles de droit positif telles que nous les connaissons en Occident et plus particulièrement dans les pays européens.
    Dernièrement, Frédéric Saint Clair a écrit un livre nommé « La droite face à l’islam » qui parle de soft power islamique. Personnellement, je préférerais le terme de soft djihad, c’est-à-dire un djihad qui permet d’accoutumer peu à peu la population française non musulmane à la charia.
    Il y a tout cela derrière le ramadan, sans parler non plus des problèmes que cela pose en matière de sécurité au travail.

    Derrière ce marché très lucratif que représente la communauté musulmane par le biais des produits liés au ramadan, il y a toujours un problème de financement assez opaque ?

    C’est plus qu’opaque. Cela permet le financement de l’islam, même s’il y a au passage des poches particulières qui se remplissent, et aussi du terrorisme. Je rappelle en cela les enquêtes d’un journaliste canadien qui a démontré par l’entremise de sociétés de charité islamiques comment cet argent transitait. On peut également citer le procès Holy Land aux États-Unis.
    Dernièrement, j’ai eu le plaisir d’entendre Bariza khiari, une sénatrice La République En Marche d’origine musulmane, dire que les finances de l’islam en France étaient extrêmement importantes grâce au halal et qu’il serait bon que l’État y mette son nez.

    Dr vétérinaire Président de Vigilance Halal