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avortement et euthanasie - Page 136

  • Instinct de mort : La fin de vie en catimini

    Au regard du processus des états généraux de la bioéthique qui avaient duré plusieurs mois et mobilisé des milliers de personnes, ceux de la fin de vie, qui viennent de s’ouvrir, paraissent microscopiques.

    C’est le Comité Consul­tatif National d’Éthique (CCNE) qui a été chargé de l’organisation des états généraux de la fin de vie.

    Depuis qu’elle a produit des conclusions hostiles à l’euthanasie, l’instance a été largement renouvelée, mais elle a peu de moyens. Les travaux ne mobiliseront qu’une trentaine de citoyens tirés au sort par l’Ifop. Ils se dérouleront à huis-clos durant quatre week-ends, «  à l’abri des controverses publiques  », a précisé le président du CCNE, Jean-Claude Ameisen, sous la forme d’un dialogue avec une douzaine de personnalités.

    Seul Jean-Luc Romero, président de l’ADMD (Asso­ciation pour le Droit de Mou­rir dans la Dignité — entendre pour l’euthanasie) a annoncé qu’il avait été sollicité pour rencontrer le panel. Le troisième week-end serait dédié à la «  concertation  » avec des personnalités choisies par les citoyens. Il resterait un tout dernier week-end pour rédiger l’avis qu’une conférence de presse programmée pour le 16 décembre ferait alors connaître.

    «  Au terme de ce débat il y aura, sans doute à la fin de l’année, un projet de loi  » qui «  complétera, améliorera la loi Leonetti  », avait indiqué en juillet dernier François Hollande. Mais tout porte à croire qu’aucune loi ne sera débattue avant les municipales… Le député Jean Leonetti s’est étonné de la légèreté de la consultation citoyenne  : «  Huit mois ont été nécessaires pour mettre en place les états généraux de la bioéthique […]. Ce n’est pas à la hauteur de l’enjeu.  » [...]

    La suite sur France Catholique

  • Succès de la Marche pour la vie en Espagne

    Lu ici :

    "La IV Marche pour la Vie a rassemblé plusieurs dizaines de milliers personnes dans les principale rues de Madrid (Espagne), demandant au gouvernement du Parti populaire en Espagne pour accomplir la promesse de campagne et d'abroger la loi sur l'avortement toujours en cours dans le pays. Malgré le froid et la pluie à Madrid, des milliers de personnes se sont jointes à l'appel de Derecho a Vivir et Hazte Oir, ils ont commencé Place de la Puerta del Sol pour finir dans la Place de Neptuno formant une grande marée rouge en faveur de la vie.

    En même temps des rassemblements pro vies ont été organisées dans près de 50 villes de toute l’Espagne en demandant au gouvernement de Mariano Rajoy d’abroger la loi de l’avortement. En Tête du cortège une grande bannière avec le slogan de la Marche « Espagne est pour zéro avortement » Pour une Vie entière sans interruption avec la protection de la vie de la conception. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Médias Presse Info: « Rafle de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits, j’y étais ! »

    Médias Presse Info a assisté ce samedi matin Boulevard Port-Royal à la véritable rafle par la police de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits.  

    Un étudiant également présent témoigne :

    « Avec plusieurs amis, tous étudiants, nous avions projeté depuis une semaine environ de nous rendre à la manifestation SOS Tout Petits ce samedi à 10h30 afin d’apporter notre soutien au Docteur Dor et de manifester l’admiration et l’intérêt que notre génération prenait à son engagement. La lutte pour la Vie et contre le génocide de l’avortement n’est pas un combat réservé au 3e âge ! il nous concerne aussi !

    Lorsque nous sommes arrivés, nous avons été frappés par l’importance du déploiement des forces de police. J’ai entendu des gens se dire entre eux que c’était sans doute à cause des manifestations contre l’écotaxe… On  a cherché les bonnets rouges et les gros bras mais on n’a vu que des chapeaux en fourrure et une dizaine de petites dames adorables ressemblant à miss Marple, qui nous ont accueillis avec de grands sourires heureux: « enfin des jeunes, c’est tellement gentil d’être venu ! » . Le docteur Dor était là bien sûr, face à une caméra, bon pied, bon oeil, ainsi que quelques autres personnes .

    Lire la suite

  • [Pétition] Avortement : refusons le négationnisme !

    Pétition À DIFFUSER SANS MODÉRATION : plus de négationnisme sur l’IVG, respect du délai de réflexion !!!

    Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) remettait un rapport jeudi 7 novembre, au gouvernement, pour améliorer la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse (IVG).

    Après un premier volet, remis mi-septembre, le Haut conseil propose cette fois des pistes pour préciser la loi et réorganiser les soins.

    L’auteur du document, Françoise Laurant, présidente de la commission Santé, droits sexuels et reproductifs du HCEfh, en détaille les grandes lignes. "L’IVG a toujours été perçue comme une concession et non comme un droit à part entière. Le code de la santé publique dit qu’une femme "placée dans une situation de détresse peut demander à son médecin le droit d’interrompre sa grossesse". Nous suggérons de revoir l’obligation de délai de réflexion pour les femmes souhaitant avorter. La loi prévoit en effet un délai de huit jours (qui peut être réduit à deux jours en cas d’urgence) entre la première consultation médicale en vue d’une interruption de grossesse et le deuxième rendez-vous, qui permettra soit de délivrer les comprimés pour une IVG médicamenteuse, soit de fixer la date d’une intervention en cas d’IVG chirurgicale. Pour certaines femmes, ce délai est indispensable et elles doivent impérativement être accompagnées dans leur réflexion. Mais pour d’autres, la décision est prise depuis longtemps et ce délai, qui rallonge le parcours de soins, peut être vécu comme une humiliation."

    "Nous proposons aussi que la première consultation, qui donne lieu à la délivrance d’une attestation et au déclenchement de ce fameux délai de huit jours, soit transformée en consultation d’information (et non plus en consultation médicale) réalisée par une structure habilitée et un personnel formé, dans un centre de planification ou un centre de santé. On constate en effet que beaucoup de femmes ne savent pas à qui s’adresser pour ce premier rendez-vous : médecin généraliste, hôpital… Or cette consultation a d’abord pour but d’informer les patientes sur les possibilités qui s’offrent à elles et de les orienter vers les bonnes structures, ce que peuvent très bien faire des centres qui fonctionnent en réseau. Cela permettrait de raccourcir les délais".

    La logique des auteurs de ce rapport est claire : rendre l’IVG comme l’acte le plus banal qui soit, et empêcher les femmes enceintes de réfléchir de manière posée et éclairée au geste qu’elles vont poser. Nous vous sollicitons pour diffuser plus encore cette pétition qui demande qu’un VRAI DROIT A L’INFORMATION soit offert aux femmes, et qu’un RESPECT DU DELAI DE REFLEXION SOIT MAINTENU !

    SIGNEZ ICI

    N’hésitez pas à vous rendre sur http://www.ivg.net pour nous soutenir !

    EN EFFET, il est important qu’IVG.net, site de réinformation sur l’avortement puisse, face aux attaques d’un gouvernement dirigé par l’instinct de mort, continuer d’aider les femmes en détresse. Pour cela, il doit rester le premier site d’information et d’écoute en matière d’avortement accessible sur la Toile, face à la politique agressive du gouvernement. Plus vous vous rendrez régulièrement sur ce site, plus vous lui conserverez sa lisibilité sur internet et plus vous participerez à sauver des enfants !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Petition-Avortement-refusons-le

  • Marche pour la vie en Espagne

    Malgré la pluie, les défenseurs de la vie et de l'enfant à naître sont venus en nombre dans les rues de Madrid pour réclamer l'abrogation de la loi légalisant l'avortement.

    Madrid :

    0

    Valladolid :

    V

    Michel Janva

  • L’avortement bientôt obligatoire ?

    Le docteur Lazimi est membre du Haut Conseil à l’égalité. Un de ces comités Théodule qui coûtent cher à la France, au mieux pour rien, au pire pour pondre des rapports mortifères. Ce Haut Conseil vient d’en remettre un à Mme Vallaud-Belkacem sur l’IVG (interruption volontaire de grossesse).

    Dans un entretien au Quotidien du Médecin du 12 novembre, ce médecin estime que « l’IVG n’est pas un problème, c’est une solution », qu’« il n’y a aucune raison que ce geste bénéficie d’une clause de conscience spécifique. C’est un geste médical comme un autre. » Que ne pas pouvoir avorter est une « perte de chance » (on en déduit qu’avorter est une chance). Que dire cela « n’est pas une banalisation, c’est une réalité de la vie ».

    La lecture de tels propos de la part d’un quidam quelconque me fait toujours froid dans le dos. Constater les progrès constants de la culture de mort est effrayant. Que ce soit un médecin qui les profère est encore plus terrible. Rappelons que la médecine est censée préserver, sauver, transmettre la vie. Pas tuer. Prétendre que demander à un médecin de supprimer une vie ne pose pas de problème de conscience, c’est montrer qu’on n’a pas de conscience. Qu’un médecin, nommé par le gouvernement dans un organisme officiel, nie de telles évidence montre le degré de décadence de nos pseudo-élites. [...]

    Pierre Van Ommeslaeghe - La suite sur Boulevard Voltaire

  • 17 novembre : journée nationale de la trisomie 21

    A l’occasion de la journée nationale de la trisomie 21, dimanche 17 novembre, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle le paradoxe dramatique propre à cette pathologie : la généralisation du dépistage avant la naissance dont elle fait l’objet ne conduit pas à guérir les patients qui en sont atteints mais à éliminer 96% d’entre eux.

    "En 2013, ce constat est d’autant plus inacceptable : alors que la recherche thérapeutique marque des avancées significatives, des nouveaux tests sanguins de dépistage prénatal de la trisomie 21 sont mis sur le marché français.

    Un diagnostic qui élimine le patient plutôt que la maladie

    Dans le domaine médical, le dépistage est l’outil nécessaire pour poser un diagnostic, préalable indispensable pour mettre en œuvre le soin adapté en vue de guérir un patient. Une exception vient noircir le tableau : le diagnostic prénatal de la trisomie 21. Pour cette pathologie, le mécanisme du duo gagnant dépistage+traitement est enrayé depuis 30 ans : le diagnostic pendant la grossesse est généralisé, remboursé, promu par les politiques de santé publique quand la recherche thérapeutique est uniquement privée, sous-financée et mal considérée.

    Une politique de santé publique qui privilégie l’industrie technoscientifique

    Les arbitrages politiques ont systématiquement fait pencher la balance en faveur du dépistage aux dépends de la recherche thérapeutique. L’arrivée du diagnostic prénatal non-invasif (DPNI) de la trisomie 21 creuse encore l’écart (coût estimé pour l’Assurance Maladie : 1 milliard d’euros par an selon le CCNE). En mai dernier, un arrêté pris par la Ministre de la Santé oblige les professionnels de la santé à utiliser un logiciel qui centralise les données sur le dépistage prénatal de la trisomie 21. Dans la perspective de l’arrivée du DPNI, tout porte à croire qu’il vise à améliorer la performance quantitative et rationalisée des tests de détection prénatale. Ce fichage des femmes enceintes porte atteinte à la vie privée et stigmatise la trisomie 21. Aussi la Fondation Jérôme Lejeune a-t-elle formé un recours en justice contre cet arrêté.

    Pourtant, la recherche thérapeutique progresse !

    Rassemblés à Paris à l’occasion du Prix international Sisley-Jérôme Lejeune 2013, les co-lauréats Pr Yann Hérault et Pr Lynn Nadel accompagnés du lauréat 2012, Pr Roger Reeves, ont fait part de leur enthousiasme quant aux progrès accomplis et aux perspectives qui s’ouvrent. Ainsi, en janvier 2014, la Fondation Jérôme Lejeune lancera un appel à projet sur le lien entre trisomie 21 et maladie d’Alzheimer."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’Etat promeut davantage l’avortement et s’attaque aux consciences !

    Le « rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes relatif à l’accès à l’avortement volontaire dans les territoires » a été remis le 7 novembre 2013 au ministre des Droits des femmes.

    Ses rédacteurs ont été largement invités dans les gros médias pour déverser leur propagande pro-mort. Un de leurs leitmotiv était qu’il fallait faire de l’IVG « un acte médical comme un autre ».
    C’est bien sûr absurde et surtout, il ne s’agit pas d’un acte médical tout court ! Dans une inversion toute satanique des mots, les modernes veulent oublier que la médecine est là pour guérir.
    Donner la mort, mettre un terme à la vie – qui n’est pas une maladie -, n’a rien de médical.

    Au sujet de ce rapport, voici ce que nous communique l’AGRIF :

    « Celui-ci commence par un état des lieux qui est d’emblée une manipulation puisqu’il affirme que l’avortement est un « événement assez courant de la vie sexuelle et reproductive d’une femme puisque 1 femme sur 3 y aura recours dans sa vie ». De fait 2 femmes sur 3 n’y aura donc pas recours ce qui ne fait pas de cet événement un acte si courant que cela puisque les 2 tiers des femmes ne le connaitront pas. Mais tout est permis pour faire accepter l’inacceptable, ce qui est évident lorsqu’on analyse les 3 recommandations du rapport qui doivent faire de l’avortement un droit à part entière et qui est en fait un véritable retour à la barbarie.

    La première recommandation propose de remplacer dans l’article L2212-1 du code de la santé publique l’expression «  la femme enceinte que son état place dans un état de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse » par l’expression « La femme qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut demander à un médecin de l’interrompre ».

    La précédente formulation excluait déjà de la décision le père de l’enfant qui n’était déjà plus reconnu comme le cogéniteur. Désormais, toute condition à la mort de l’enfant est abolie. La situation de détresse de la femme n’est plus requise. C’est le fait du prince, en l’occurrence de la princesse, qui détient désormais un pouvoir absolu de vie et de mort sur l’enfant qu’elle porte. Ce droit de vie et de mort sur les enfants était sous l’Empire romain l’apanage exclusif du père. Il est désormais l’apanage exclusif de la mère. On ne voit pas en quoi cela constitue un progrès. Il s’agit plutôt d’un retour à la barbarie avec un changement de barbare. Et comme il n’est pas toujours facile d’assumer ce rôle, la formulation du texte permet de supprimer tout lien entre la victime et son bourreau en puissance, la mère, par un procédé stylistique qui transforme la grossesse dont il est question en un événement indéfini comme le souligne l’utilisation de l’article indéfini « une » qui vient remplacer l’article possessif « sa ».

    La deuxième recommandation propose de « supprimer l’obligation de délai de réflexion de 7 jours prévus aujourd’hui entre les deux premières consultations avec un médecin avant l’IVG ».

    Cette période de 7 jours qui est un peu comme le couloir de la mort des condamnés à la peine capitale des prisons américaines qui permet parfois des revirements heureux pour ceux qui ont été injustement jugés coupables, est là aussi supprimée. Pour l’enfant à naitre, il n’y a pas de sursis possible. Il est innocent. Il n’a déjà pas eu de procès pour faire entendre sa voix. Il n’aura pas non plus de délai avant son exécution. Autre retour à la barbarie.

    Enfin, la troisième recommandation propose de « supprimer de l’article L2212-8 du code de la santé publique la mention explicite de la clause de conscience formulée ainsi : « un médecin n’est jamais tenu de pratiquer une interruption volontaire de grossesse » ainsi que pour les autres personnels de santé mentionnés dans le même article. « La possibilité du recours à la clause de conscience est déjà accordée de manière générale à tout le personnel soignant pour l’ensemble du personnel médical », précise hypocritement le texte. Car si le but était de maintenir cette clause on ne voit pas ce que cette recommandation viendrait faire dans un texte qui doit permettre de trouver une solution à un obstacle objectif à l’avortement qui est que peu de médecins acceptent de le pratiquer, malgré les revalorisations financières régulières et successives. Il faut donc obliger tous les médecins à le pratiquer et c’est bien l’objectif de cette 3ème recommandation. Contraindre les consciences : autre constante de la barbarie totalitaire.

    http://www.contre-info.com/letat-promeut-encore-lavortement-et-sattaque-aux-consciences#more-30136

  • Répression contre SOS Tout-Petits

    SOS Tout-Petits m'informe :

    "A Paris, le Préfet de Police a notifié, le vendredi 15 novembre à 20h40, l'interdiction du rassemblement de prière prévu par SOS Tout-Petits ce jour, samedi 16 novembre 2013, à 10h30. Le Dr Dor et une dizaine de personnes ont été embarqués par les forces de l’ordre."

  • Le génocide de notre temps

    Déclaration du Dr Dor, Président de SOS Tout-Petits, annonçant le 27éme anniversaire de la création du mouvement :

    "Le plus grand et le plus indigne massacre jamais commis par l’humanité contre la loi divine et contre elle-même, est celui de l’avortement volontaire, entré dans la loi. Ses victimes, toutes petites et innocentes se comptent non plus par millions mais, si on les additionne, par milliards (50 millions par an dans le monde, selon le FNUAP, année 2000, et sans doute bien davantage). En France, selon l’INSEE, leur nombre est environ de 225000 par an, soit plus de 600 par jour, dont une bonne partie par voie chimique, (le chiffre serait actuellement de 54% - par RU 486 ou Mifégyne), sans compter celles innombrables, par contraception hormonale –pilule, implant- et par stérilet, l’avortement passant le plus souvent inaperçu car très précoce. L’existence d’un tel génocide ne peut être nié, il est à notre porte. Le plus étonnant est qu’on ne le voit pas, ou plus, ou qu’on préfère ne pas le voir, il est trop effrayant, ou que l’on voit mal sa véritable origine, celle d’un complot orchestré à l’échelle planétaire, celui de la culture de mort, et plus précisément de la vie prise à sa source. Sa force vient de notre aveuglement et de notre faiblesse.

    L’agent le plus redoutable de cette entreprise est l’IPPF (Internationnal Planned Parenthood Federation), mais tout est coordonné essentiellement par la Franc-maçonnerie.

    L’IPPF. Première des ONG, répandu presque partout, notamment dans les pays pauvres, introduit dans les rouages de l’ONU et dans les États, financé par le grand capitalisme et les gouvernements, dont celui de la France, il a pour programme, la libération et l’éducation sexuelle, la contraception et l’avortement.

    La Franc-maçonnerie. Son culte est luciférien, sa doctrine est la Gnose qui s’identifie, non à un péché, mais au péché lui-même, celui de Lucifer et d’Ève : « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal ».( Gn 3.5.) Dressée contre Dieu, contre sa Création et son Incarnation, ivre de transgression, de ténèbres, de blasphèmes, de mensonges et de pouvoir, elle cherche à dissoudre les consciences pour effacer en elles, l’image de Dieu et la raison droite. Sa méthode est le glissement sémantique, modifiant le sens des mots. Nombreuses sont ses ramifications, Fondation Rockfeller, CFR, Population Council, Bildelberg, Trilatérale, Club de Rome... Elle est à la fois maître et agent du NOM- Nouvel Ordre Mondial - préfiguré par le revers du Grand sceau des États unis, sceau emprunté par les Pères fondateurs aux Illuminés de Bavière, peu après leur apparition en 1776 et imprimé depuis 1933 sur le billet de un dollar.

    Le péché est immense. Si nous fermons les yeux, c’est pour nous confier à Dieu, Le prier et répondre à son appel. Nous serons présents dans 24 villes de France, 3 villes des Philippines, à Abidjan, en Cote d’Ivoire et aux États-unis, à Milwaukee (Wisconsin) Prières publiques de réparation, d’intercession et de conversion.

    « Continuez votre bonne bataille », Jean Paul II, à Castel Gondolfo, le 27 Juillet 1998. Venez…"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/