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avortement et euthanasie - Page 139

  • Pétition pour avoir le droit de tenir un autre discours sur l'avortement

    Aux ministres Touraine & Vallaud-Belkacem : après les affaires Médiator et pilules 3G, ne faites plus de négationnisme sur l’avortement et arrêtez de museler vos opposants !

    Les sites qui, comme ivg.net,  apportent des bémols sont, eux, qualifiés de « biaisés » parce qu’ils osent inciter les femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Curieusement, aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.

    Plus récemment, les gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe ainsi que la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié en mars 2012 une tribune dans Libération pour  rappeler que bien qu’ils soient défenseurs de l’IVG dès la « première heure », ils ne voulaient pas laisser dire n’importe quoi ! Ils fustigent littéralement la tendance actuelle qui voudrait faire croire que le recours à l’IVG n’aurait aucune incidence sur la vie des femmes :

    "Nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.

    Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité. (…) La santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques.

    Nous, cliniciens favorables aux droits des femmes à interrompre une grossesse et à avoir une sexualité sans risque de grossesse non voulue, nous n’acceptons pas pour autant la banalisation de l’IVG. (…) Nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.

    Demandons à Mmes Vallaud-Belkacem & Touraine:

    • D’avoir au moins une position neutre en matière d’IVG,
    • De prendre en compte  comme le demande le Pr Nisand, la « souffrance psychologique » des femmes  et ne plus «banaliser l’IVG »,
    • D’avoir une position responsable et volontariste dans la prévention de l’IVG,
    • D’arrêter de nier les dangers médicaux et psychologiques de l’IVG,
    • De promouvoir des enquêtes médicales sérieuses sur les conséquences de l’IVG.

    Pétition à signer ici.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Désinformation sur le site gouvernemental pour l'IVG

    Il s'appelle ivginfo.com et non, je ne mettrai pas de lien selon la recommandation très juste d'Yves Daoudal (voir ici). Et il aurait dû s'appeler ivgpropagande.desinfo…

     

    J'y suis allée, quant à moi, pour des raisons professionnelles et pour vous raconter ce que j'y ai trouvé. De la désinformation pure et dure : on peut en convenir quel que soit son point de vue sur l'avortement.
    On le savait déjà : selon l'économie générale de la loi, l'avortement (ivg) est un « droit » : mineure ou majeure, étrangère ou non,
    « Vous pouvez demander une IVG, quelles que soient les raisons qui motivent votre choix. »

    Aussi le site propose-t-il toutes les informations nécessaires pour accéder à l'avortement, de manière anonyme, rassurant celles qui ont peur de voir la nature de l'acte figurer sur les relevés de sécu, rappelant aux mineures qu'elles pourront avorter sans la moindre feuille de soins et 100 % gratuitement.

    Mais – première désinformation – il ne dit pas que des associations d'aide aux futures mères peuvent apporter conseils et assistance à celles qui hésitent. La rubrique renvoie les femmes à leur entourage – souvent c'est l'entourage qui pousse à avorter – et la rubrique « Où aller, où s'informer » ne leur indique que les centres de planification familiale et les centres hospitaliers les plus proches.
    La rubrique sur les méthodes d'IVG parle systématiquement de l'expulsion de l'« œuf ». La méthode médicamenteuse s'utilise jusqu'à 7 semaines de grossesse (9 semaines d'aménorrhée)  ;
    Et cet « œuf » a une tête, un corps, des ébauches de doigts, des yeux, et même les mamelons des seins.
    Semaine 12 de grossesse : 14 semaines d'aménorrhéePour les IVG chirurgicales – pratiquées le plus souvent à partir des 7 semaines et jusqu'aux 12 semaines de gestation à la limite prévue pour la loi – le site parle encore et toujours de l'« œuf » en expliquant qu'il sera « aspiré ».
    A gauche, une image venant d'un site pour suivi de grossesses désirées, monbebe.com.
    En fait le bébé a trois mois. Tout est en place. Les organes commencent à fonctionner. Le cerveau commande les muscles : le système nerveux est là.
    Un « œuf » ? Faut oser…   
    Cela continue avec la rubrique « les méthodes en vidéo ».
    Ici ivginfo parle d'« embryon », sur fond de musique rassurante. Et les images représentent la « chose » à éliminer comme une petite boule blanche. Que ce soit pour l'avortement par RU 486 ou par voie d'aspiration. A 7 semaines de gestation comme à douze.
    Bien entendu le site ne comporte pas la moindre image d'échographie, de développement fœtal… Il y a des choses qu'une candidate à l'avortement n'a pas le droit de voir ni de savoir.
    On cherche également en vain toute référence aux effets indésirables des différentes méthodes, en dehors de l'inconfort passager. Pas de risques pour la santé, pas davantage pour les grossesses futures. Pourtant des études scientifiques prouvent que l'avortement est lié à une incidence accrue (et même fortement accrue) de cancers du sein. Et que l'incidence de fausses couches lors de grossesses futures est elle aussi plus forte. Qu'importe :

    « L'IVG, quelle que soit la méthode choisie, n'a aucun effet sur vos chances de démarrer le moment voulu une nouvelle grossesse, ni sur votre santé. »

    Tout au plus reconnaît-on que « l'IVG : un événement émotionnellement perturbant » : après avoir renvoyé la candidate à ses proches (voir plus haut), le site explique : « Une consultation psycho-sociale vous sera également proposée après l'IVG. Elle vous permettra de parler de cet évènement si vous en ressentez le besoin. »
    Suivi assuré, bien évidemment, par des partisans de l'avortement, les autres n'ayant pas droit de cité !
    Enfin, parmi les méthodes contraceptives proposées comme suite obligatoire d'une IVG, la méthode naturelle de régulation des naissances est présentée justement comme reposant sur l'identification de la période d'ovulation afin d'éviter les rapports fécondants à ce moment-là. 

    « Les méthodes naturelles sont peu fiables et imprécises, car l'ovulation peut être avancée ou reculée en fonction du mode de vie, de la femme, du couple... »

    Voilà qui ne manque pas de sel, dans un site où l'on explique que la grossesse s'exprime en semaines d'aménorrhée, c'est-à-dire depuis le début des dernières règles, et que le début de la gestation commence 2 semaines plus tard, comme si l'ovulation ne pouvait pas être avancée ou reculée en fonction du mode de vie, de la femme, du couple…
    Cette critique n'est évidemment pas exhaustive.
  • La liberté d’expression est chaque jour plus menacée… en France

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Najat Vallaud‑Belkacem s’inquiète de l’existence de sites internet d’information qu’elle juge « Biaisée voire hostile à la pratique de l’IVG ». Le groupe socialiste du Sénat a alors déposé un amendement visant à étendre le « délit d’entrave à l’IVG » qui punit aujourd’hui les actes commis pour empêcher un avortement. Adoptée en première lecture - à l’unanimité ! - cette nouvelle disposition permet ainsi de punir de la même peine (deux ans d’emprisonnement et 30.000 € d’amende) ceux qui tenteraient d’informer les femmes sur les dangers de l’avortement volontaire. Pour museler ceux qui s’opposent, par les mots, à sa propagande, le gouvernement est même prêt à porter atteinte à l’obligation déontologique du médecin d’informer sa patiente !

     

    France Inter indique que « le ministère a incité Google à mieux référencer certaines associations comme le Planning familial ». Nous qui croyions naïvement que les moteurs de recherche doivent être neutres !

    http://fr.novopress.info/141836/la-liberte-dexpression-est-chaque-jour-plus-menacee-en-france/#more-141836

  • Sites pro-avortement : halte aux mensonges

    Communiqué de Choisir la vie :

    "Elles l'avaient annoncé...c'est chose faite ! Mesdames les ministres Touraine et Vallaud-Belkacem ont annoncé vendredi la mise en ligne du nouveau site gouvernemental visant, sous couvert d'information, à assurer toujours plus la promotion de l'avortement et tenter de contrer "les sites anti-ivg militants", de plus en plus présents sur Internet.

    Ceux-là mêmes qui dénonçaient l'absence d'exhaustivité de l'information fournie par les sites anti-IVG et leur partialité passent pourtant, volontairement, sous silence la réalité de l'avortement. Ainsi, nulle mention de foetus et d'embryon mais simple évocation d'un "oeuf" expulsé aussi banalement par l'IVG que les menstruations...!

    De la même manière, où est le prétendu "choix" de celles qui se désignent comme "pro-choix" sur ce site qui omet volontairement de présenter les alternatives à l'avortement, les maisons d'accueil pour femmes enceintes en difficultés...?

    Choisir la vie, qui chaque jour soutient et entend les femmes enceintes en difficultés au travers de son antenne d'écoute téléphonique, dénonce les manoeuvres dolosives du gouvernement qui visent, une fois de plus à instaurer une pensée unique et à promouvoir la culture de mort. Elle invite chacun à faire connaître toujours plus les antennes d'écoute, maisons d'accueil et  sites internet qui délivrent des informations vraies et offrent de vraies alternatives à l'avortement."

    Pour un site qui propose d'aider vraiment les mères, cliquez ici.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L'Eglise face au crime de l'avortement

    ADepuis les années 70, la libéralisation de l'avortement n'a jamais cessé son extension, c'est la norme dans de nombreux pays. Le nombre d'enfants avortés est estimé à environ deux milliards d'individus en 40 ans. C'est de loin la première cause de mortalité au monde. Pourtant, de nombreuses civilisations et cultures s'y sont toujours opposées comme c'est le cas de l'Église catholique depuis le début de l'ère chrétienne. À une époque où les catholiques vivent dans un environnement préjudiciable au respect de la vie naissante, l'avortement est parfois devenu « toléré » aux yeux de certains.

    L'inacceptable ne peut cependant devenir acceptable et c'est ce que rappelle inlassablement l'Église depuis les dernières décennies. L'histoire des saints/bienheureux mais également les interventions des papes, particulièrement au XXe siècle, interpellent et expliquent les raisons pour lesquelles l'élimination d'un enfant non né reste un homicide.

    Pourtant, la pensée catholique n'a pas permis d'endiguer le fléau de l'avortement, l'opinion publique occidentale le considérant souvent comme une avancée médicale et un confort auquel elle ne souhaite pas renoncer malgré la popularité d'un Jean-Paul II ou d'une mère Térésa qui ne sont toujours pas entendus sur ces sujets. La détérioration des conditions socio-économiques ou familiales ainsi que l'uniformisation des modes de vie et de pensée participent sous forme de pressions convergentes au choix de l'avortement.

    Outre les arguments théologiques et politiques, sont présentées un ensemble de prières proposées par l'Église catholique, d'une part pour redonner l'espérance qu'un jour l'avortement soit perçu pour ce qu'il est : un manque d'amour envers son prochain, envers les plus vulnérables que sont les enfants à naître ; d'autre part pour venir en aide à ceux qui ont vécu l'avortement, à ceux qui se posent la question de garder un enfant en gestation ou encore aux enfants avortés qui doivent pouvoir accéder à la béatitude éternelle.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’effort contraceptif contre la France de toujours

    La fête fut éphémère et d’intensité modérée, pour ne pas dire un peu tristounette. Les cotillons, les confettis et les langues de belle-mère étaient, semble-t-il, remisés au placard. Le magazine Elle a, pendant que d’autres soufflaient péniblement les bougies, fermé son clapet puant. Les féministes qui avaient commémoré en 2010 les 50 ans de la commercialisation de la pilule contraceptive aux Etats-Unis, berceau de la dégénérescence sociétale, n’étaient pas d’humeur à fanfaronner : l’anniversaire de la commercialisation légale d’hormones permettant une contraception de fait dans les pharmacies hexagonales en 1963 était à peine évoquée dans les mass media, alors que sans cette distribution semi-clandestine (semi-clandestine aux yeux de la loi, puisque les produits vendus n’étaient pas destinés, disait-on, à engendrer volontairement une infertilité concomitante), jamais l’Etat n’aurait eu l’outrecuidance d’instituer la loi Neuwirth en 1967, préalable paradoxal de la génocidaire loi Veil de 1975. Oubliée ou presque l’anniversaire de la légalisation de la vente de produits si féministes… Mais qui tuent ! Entre temps (de 2010 à 2013), les promoteurs frénétiques de la pilule contraceptive ont dû admettre que leurs cachetons “miracle” pouvaient constituer un réel danger pour les consommatrices. Les pilules de troisième et de quatrième générations ont particulièrement fait la preuve de la nocivité de cette chimie vouée à l’infertilité. (Les pilules de troisième génération, triphasiques ou monophasiques, ont été mises sur le marché au cours des années 1990 avec de nouveaux progestatifs — gestodène, norgestimate, désogestrel —  ; les pilules de quatrième génération comportent le drospirénone et sont vendus sous les noms de Jasmine, Rimendia, Yaz ou Convuline). Problèmes cardiovasculaires graves entraînant la mort de certaines consommatrices. On parle de dizaines de morts mais serait-il imprudent d’imputer à la pilule de la société décadente beaucoup plus de décès que l’“on” met bien rapidement et opportunément sur le compte d’accidents imprévisibles comme d’hypothétiques ruptures d’anévrisme ? Des ruptures d’anévrisme qui touchent en premier lieu des femmes, sous pilules stérilisatrices, et tabagiques (l’association nicotine et pilule est en effet dévastatrice à plus d’un titre). En tout cas, à la suite de morts suspectes enfin médiatisées, les consommatrices de contraception tous azimuts s’inquiètent visiblement un peu plus pour leur santé et un peu moins pour leurs performances sexuelles réalisées d’ailleurs souvent avec des partenaires vaporeux. Les pilules de 3ème et de 4ème générations ne sont plus remboursées par la Sécurité Sociale mais toujours commercialisées sous la pression ou plutôt le diktat des autorités européistes ne jugeant pas ces petits poisons suffisamment toxiques pour être retirés du marché, et le marché, c’est sacré.
    UN PETIT GRAIN DE SABLE DANS LA PROPAGANDE SYSTEMIQUE
    Mais beaucoup de femmes ont abandonné récemment la pratique de l’absorption quotidienne de la pilule, terrorisées à l’idée d’être à leur tour foudroyées par l’un de ses effets morbides. L’élite en place s’en inquiète, et en vient à mettre en exergue bien imprudemment les conséquences directes de ce sevrage contraceptif brutal : les avortements auraient bondi de plus de 5 % depuis le début de l’année 2013. Les néo-trouillardes de la pilule utilisant pour un laps de temps indéterminé l’horreur abortive comme moyen de contraception de secours… Remarquons au passage que les commentateurs du media conforme font mine de s’attrister de ce phénomène de compensation contraceptive alors qu’ils sont habituellement les premiers propagandistes de l’assassinat intra-utérin ! Argumentant sur le caractère « absolument normal » de ladite intervention mortelle, affirmant que tout va bien, que l’aspiration du petit être est une bonne chose pour la femme libérée, insoumise, évidemment, à l’homme (blanc) détestable, niant hystériquement la vie même du bébé dans le ventre normalement protecteur de sa mère… Mais là, bizarrerie du discours conforme, il semblerait regrettable que les avortements croissent en nombre… A moins qu’il ne s’agisse d’un aveu involontaire de leur part : l’avortement, malgré les kilotonnes de blablas angéliques recouvrant sa réalité, constitue (quand même !) une monstruosité froidement exécutée. Hé oui, tous les moyens sont bons pour inciter les femmes occidentales (et franco-françaises en particulier) à assurer leur infertilité chronique ! Tel est l’objectif absolu des fonctionnaires de notre Indigénat. Les Françaises peuvent bien se transformer les unes après les autres en gaupes moites, l’important sera qu’aucun enfant ne naisse de “leur” déluge luxurieux. A ce propos n’est-il pas normal de se demander si la spectaculaire et hollywoodienne campagne de publicité pour les préservatifs déclenchée à la fin des années 1980 sous le prétexte d’une prétendue épidémie sidaïque n’était pas en réalité destinée à limiter encore un peu plus les naissances dans notre pays ? Avortement, stérilet, spermicide, condoms et l’incontournable pilule… Que les autorités (s’assurant de la bonne chute de la démographie autochtone vers un crash démographique qu’elles aimeraient irréversible) promeuvent malgré tout et de toutes leurs forces, faisant fi si ostensiblement de sa nocivité intrinsèque.
    UN DEMI-SIECLE DE BOBARDS
    Dans un tout récent ouvrage consacré à notre sujet, intitulé sobrement La pilule contraceptive, les auteurs Henri Joyeux (professeur en médecine et chirurgien cancérologue) et Dominique Vialard montrent bien que la dangerosité morbide de ces cachetons est tue aujourd’hui par l’immense majorité des media qui, au contraire, dans le même temps, en font une « publicité monstre ». Evoquant les dernières affaires mortelles (affaires parties des Etats-Unis où le débat est beaucoup plus bouillant qu’en France) des pilules de 3e et de 4e générations, nos auteurs présentent la réaction de la grosse industrie pharmaceutique à dégueulis contraceptif. […]
    François-Xavier ROCHETTE. http://rivarol.com/Billet.html
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  • 40 Days for Life : mobilisation pour le respect de la vie

    Daniel Hamiche tient à jour sa chronique sur les 40 jours de prière pour la vie, qui a démarré le 25 septembre aux Etats-Unis. 8 bébés ont déjà été sauvés de l'avortement.

     

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  • Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire

    Communiqué d'En Marche pour la vie :

    "Depuis plusieurs mois, le gouvernement s’acharne à détruire les fondements mêmes de notre société en s’attaquant toujours plus à la Vie, à la famille et, chaque fois, à l’enfant.

    Ainsi, après avoir volontairement prévu d’empêcher certains enfants de grandir dans une famille composée d’un père et d’une mère le gouvernement a profité de la période estivale pour porter atteinte à l’embryon en substituant au principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon, celui de l’autorisation sous conditions.

    L’enfant « différent » parce qu’atteint d’un handicap, même léger, est l’objet de tous les dépistages en vue de son élimination in-utero.

    Depuis un an le gouvernement a pu mesurer la détermination de plus d’un million de manifestants qui refusaient l’adoption de lois qu’ils considéraient comme illégitimes et injustes.

    Malgré l’adoption de ces lois le combat continue car une loi injuste n’est pas une loi et n’oblige pas en conscience !

    Face à ces attaques incessantes contre l’enfant et tout particulièrement le plus fragile : l’enfant à naître, il est urgent et impérieux de faire entendre la voix des sans voix. Il s’agit de rétablir la vérité face aux mensonges qui entourent l’avortement, la recherche sur l’embryon, les manipulations génétiques, la fin de vie...Toutes lois ou projets de loi qui portent atteinte à la vie et à la dignité humaine. Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire qui ne voit dans l’être humain qu’un élément de la société marchande, uniquement préoccupé de satisfaire ses désirs égoïstes.

    Soyons nombreux le dimanche 19 janvier 2014à Paris pour la grande Marche nationale pour la Vie."
  • Des militants de la culture de mort au CCNE

    Famille chrétienne propose quelques portraits de certains des nouveaux membres nommés au CCNE. Outre la sénatrice Michelle Meunier, favorable à la PMA et à un "débat" sur la GPA, nous trouvons

    • Jean-Marie Delarue – un proche de la gauche

    Réputé proche de la gauche, Jean-Marie Delarue a appartenu aux cabinets des ministres socialistes Jacques Delors et Michel Delebarre, et a été délégué interministériel à la ville et au développement social urbain sous le gouvernement de 1991 à 1994. [...]

    • Jean-Pierre Mignard – l’ami de François Hollande

    La nomination de Jean-Pierre Mignard peut difficilement échapper aux suspicions d’un choix politique. Ami proche de François Hollande, cet avocat rendu célèbre par son exposition médiatique dans plusieurs affaires judiciaires sensibles (écoutes de l’Élysée, DC-10 d’UTA, naufrage de l’Erika, Clearstream…) appartient au Conseil national du Parti Socialiste et a tenté sa chance aux élections législatives de 2012 à Marseille. Chrétien de gauche, le co-directeur de l’hebdomadaire Témoignage Chrétien a milité en faveur du mariage pour tous.

    • Cynthia Fleury – la plus jeune du CCNE

    [...] Chroniqueuse pour le journal l’Humanité depuis 2009, elle s’est exprimée à plusieurs reprises sur la fin de vie (« La loi de la mort  », « Le droit à l’interruption volontaire de vie », « Mourir en démocratie »), sans dévoiler une position claire sur le sujet.

    • Florence Gruat – ancienne membre de la Commission Sicard

    Docteur en éthique de la Faculté de médecine de l’Université de Paris XI et de l’Université de Paris VII – Diderot, Florence Gruat est directrice des soins au Centre Hospitalier spécialisé interdépartemental Théophile Roussel de Montesson. Membre du Département de recherche en éthique de l’Université Paris-Sud, elle a participé à la mission Sicard sur la fin de vie. Elle est membre du comité exécutif du Collectif « Plus digne la vie », présidé par Emmanuel Hirsh et opposé à l’euthanasie.

    • François Ansermet : la famille « père-mère-enfant » est une « invention »

    Psychanalyste, professeur de pédopsychiatrie à l’Université de Genève, ainsi que chef du Service de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Genève, François Ansermet est spécialisé sur les questions prénatales, obstétriques et de reproduction, qu’il traite dans une optique psychanalytique. Il appartient au conseil de la Fondation helvétique FABER (Fondation pour l’Andrologie, la Biologie et l’Endocrinologie de la Reproduction) dont la mission est de soutenir la recherche en Procréation Médicalement Assistée (PMA) et en Andrologie. Il a publié un ouvrage retraçant le vécu de la parentalité des couples stériles après la réussite d’une procréation médicalement assistée (PMA). Il s’est exprimé à plusieurs reprises sur les conséquences de l’homoparentalité sur les enfants. Il estime notamment que « le modèle classique [de famille] à partir duquel on dénonce ces familles particulières [homoparentales, NDLR] n’existe pas  ».

    Dans un entretien donné à Libération en 2008, il affirme que les concepts de père, mère et enfant « sont des inventions, des fabrications, des bricolages que chacun tente de mettre en place pour traiter l’impensable de l’origine et la complexité du rapport entre les sexes et les générations ».

    • Hervé Chneiweiss – un neurologue pour la recherche sur l’embryon

    Neurologue et neurobiologiste, Hervé Chneiweiss préside le comité d’éthique pour la recherche médicale et en santé de l’INSERM. Il a remplacé à ce poste l’actuel président du CCNE, Jean-Claude Ameisen. Hervé Chneiweiss est membre du conseil scientifique de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et techniques (OPECST). De 2000 à 2002, sous le gouvernement Jospin, il a été conseiller technique pour les sciences du vivant et la bioéthique auprès du ministre de la recherche, Roger-Gérard Schwartzenberg, connu pour ses positions en faveur de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Positions partagées par Hervé Chneiweiss dans les différents éditoriaux de la revue Médecine/Sciences."

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  • Le Comité Consultatif National d'Ethique transformé en Comité politique

    Tous nés d’un homme et d’une femme 

    Paris, le 23 septembre 2013

     Communiqué de presse

    Renouvellement massif et rupture d’équilibre au Comité Consultatif National d'Ethique :

    La Manif Pour Tous dénonce une manipulation grossière !

    Suite au renouvellement massif des membres du CCNE publie au journal officiel  intervenu le 22 septembre, La Manif Pour Tous dénonce avec force la nouvelle manipulation d’une équipe présidentielle et gouvernementale qui profite du pouvoir pour imposer ses projets de société aux Français.

    François Hollande avait déclaré officiellement, au printemps 2013, qu’il s’engageait à suivre l’avis du CCNE sur l’ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes.

    On comprend mieux maintenant cet étonnant engagement (l’avis du CCNE n’est en principe que consultatif !) : en renouvelant massivement sa composition, en bouleversant à l’évidence son équilibre, François Hollande savait comment changer la donne sur l’avis à venir du CCNE !

    Dans cette affaire, le CCNE perd son indépendance et donc sa crédibilité.

    Quant au peuple français, dont on sait qu’il est majoritairement opposé à la libéralisation de la PMA, il va se trouver une fois de plus victime d’abus de pouvoir ! 

    Conformément au sens de toute civilisation, La Manif Pour Tous demande que la société protège le plus faible : ainsi, les droits de l’enfant doivent primer sur les droits et désirs de l’adulte. Il n’est donc pas possible de priver délibérément des enfants de père !

    C’est pourquoi La Manif Pour Tous renouvelle l’avertissement déjà lancé le 15 septembre dernier, à l’issue de son Université d’été : elle est toute prête, dès que cela s’avérera nécessaire, à réorganiser une mobilisation et des manifestations massives contre le projet d’ouverture de la PMA aux couples de femmes. Et ceci, quel que soit l’avis du CCNE !

    http://www.lamanifpourtous.fr/fr/toutes-les-actualites/808-france-hollande-met-la-main-sur-le-ccne