Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

avortement et euthanasie - Page 140

  • 40 Days for Life : 369 bébés sauvés de l’avortement

    En seulement 32 jours de prière et d'action.

    Moiu

  • Parlement européen : vote symbolique et basculement de civilisation

    Ce qui vient de se passer au Parlement européen est significatif d’une évolution culturelle profonde, et il me semble important de bien saisir la portée d’un évènement dont les médias n’ont pratiquement pas parlé.

    Mardi 22 octobre 2013, arrive en discussion plénière à Strasbourg une proposition de résolution préparée de longue date par la « commission des droits de la femme et de l’égalité des genres ». Le texte vise à faire la promotion, en Europe et dans le monde, des « droits sexuels et génésiques » (au passage, ces expressions révèlent que l’Europe est déjà très imprégnée du vocabulaire « Gender » qui se déploie dans les instances internationales depuis 10 ou 15 ans).

    Au moment de passer au vote, cette proposition de résolution fait alors l’objet d’un débat court mais animé. Un député demande d’emblée le renvoi en commission, considérant qu’il n’y a pas de position majoritaire sur ce texte controversé. Il demande ainsi que le texte ne soit pas soumis au vote, mais qu’il soit retravaillé dans la commission compétente, ce qui prendra sans doute plusieurs mois. S’en suit plusieurs rebondissements de procédure : la présidente de séance refuse au départ de faire voter sur la motion de renvoi en commission, puis commence à faire voter un amendement, puis se ravise et fait voter sur cette motion de renvoi à main levée ; devant l’incertitude du résultat, elle  décide de procéder à un vote électronique, qui donne 351 voix pour le renvoi en commission et 319 voix contre. Le président de la commission concernée et la rapporteure du texte sont furieux, étant auparavant persuadés que leur résolution serait votée sans difficulté.

    Comment expliquer ce revirement ? D’abord à cause du contenu du texte, qui traitait en majorité de sujets qui ne relèvent pas de la compétence de l’Union européenne. Au sein du Parlement européen, certaines minorités actives cherchent à obtenir des prises de position en leur faveur, qui serviront ensuite pour faire pression sur les Etats et obtenir des lois qui leur conviennent. C’est le cas de la promotion systématique de l’avortement, avec le paradoxe de la condamnation par ailleurs (résolution du 8 octobre 2013 sur le généricide : les femmes manquantes ?) des pays qui pratiquent l’avortement sélectif des fœtus féminins. C’est aussi le cas  de l’ouverture de la PMA aux couples de femmes homosexuelles, question si controversée en France depuis un an : il faudrait ainsi inviter « les Etats membres à permettre également aux femmes célibataires et lesbiennes de bénéficier de traitements de fertilité et de services de procréation médicalement assistée » (§8). Autre exemple : « l’éducation sexuelle doit inclure des informations non discriminatoires et donner une image positive des personnes LGBTI, afin de soutenir et de protéger effectivement les droits des personnes LGTBI » (§53). Une majorité de parlementaires européens a valablement considéré que ce n’était pas le rôle de l’Europe d’aller dans ce sens.

    Mais il y a plus, en particulier pour la France. A mon sens, cet épisode est significatif de l’évolution culturelle qui prend de l’ampleur depuis la « réforme de civilisation » de Mme Taubira. De très nombreux citoyens refusent désormais de subir passivement des évolutions sociétales qui ne leur conviennent pas. Alertés par diverses associations, ils ont appris très tardivement le contenu de la proposition de résolution. Eux qui d’habitude se contentent de soupirer ou maugréer, pensant qu’il n’y a rien à faire, se sont alors mobilisés en quelques jours, en particulier pour écrire à leurs députés et attirer leur attention sur les dangers du texte européen. Ils leur ont dit qu’ils tiendraient compte de leur position à Strasbourg, quand il s’agira de voter pour les élections du Parlement européen le 25 mai 2014. Nul doute que des députés se sont sentis confortés pour défendre leurs convictions profondes, ou pour approfondir un sujet dont ils n’avaient peut-être pas mesuré toute l’importance !

    Le vrai « basculement de civilisation », il est sans doute là. Il mettra des années à s’affirmer pleinement, comme les idées de mai 1968 ont aussi mis une ou deux générations pour imprégner toute la société, en positif comme en négatif. Aujourd’hui, une majorité de Français ne se retrouve pas dans les excès condamnables d’une conception trop libérale-libertaire de la société. Mais ce qui a changé en un an, c’est qu’ils sont de plus en plus nombreux à ne plus vouloir rester passifs. Ils veulent promouvoir un « vivre ensemble » qui valorise mieux le respect dû à l’enfant, la complémentarité homme-femme, la solidité des familles, l’attention aux plus fragiles du début à la fin de vie, la solidarité effective avec les personnes isolées en précarité… ces valeurs qui donnent tout son sens au mot le plus oublié de notre devise républicaine, le mot fraternité.

    http://www.alliancevita.org/?p=12637&preview=true

  • Echec du Planning familial à l'ONU

    Après son échec au Parlement européen, avec le renvoi du rapport Estrela, le Planning familial connaît un nouvel échec, à l'ONU :

    "Presqu’un an après le Global Youth Forum, organisé par une institution onusienne à Bali, les conclusions des jeunes ont été rejetées par les diplomates de l’Onu ; ceux-ci ont même refusé d’y faire une allusion et d’en « prendre note ».

    La « Déclaration de Bali » recommande aux Etats de permettre l’accès à l’avortement et de reconnaître les « droits sexuels » de la jeunesse, quelque soit leur orientation sexuelle ou leur « identité de genre ». L’Onu s’est toujours refusée à le faire, et a réitéré son refus lorsque les jeunes lui ont demandé de le faire.

    La Conférence de trois jours qui s’est déroulée en décembre dernier, a été présentée aux jeunes comme une opportunité d’influencer l’agenda politique mondiale du développement, alors que l’Onu prépare les vingt ans de la Conférence du Caire sur la population et le développement. Après la conférence, la Déclaration de Bali a fait l’objet d’une campagne de promotion , et a été arbitrairement élevée par les militants au rang d’une des «séries de recommandations officielles de l’Onu ». Pourtant, les jeunes présents lors de la conférence n’étaient pas les représentants officiels de leurs gouvernements. Ils avaient été sélectionnés par un comité dans lequel siégeaient quelques membres d’organisations pro-IVG, dont le Planning familial et Astra Youth.

    La semaine dernière, les Etats membres ont rejeté la proposition du Brésil, qui voulait que la résolution de l’Onu sur les programmes et les politiques de la jeunesse fasse mention de la Déclaration de Bali.

    Le rejet de la résolution est comme un reproche contre le Fonds de l’Onu pour la population (l’UNFPA). L’organisateur clef de la Conférence de Bali avait déversé toute son énergie et un budget important dans la conférence. Sa stratégie : faire en sorte que les «délégués de la jeunesse » fassent pression pour l’IVG et les droits sexuels. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le site de Laissez-les-vivre fait peau neuve

    Pendant que le gouvernement fait tout un tapage contre les sites pro-vie, ces derniers se modernisent, sans aucune subvention publique.

    C'est par ici.

    S

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Bruno Gollnisch : Entretien du 24 octobre : Les indigènes font de la résistance !

  • Demande de renvoi en commission du rapport Estrela (Bruno Gollnisch)

  • Manifestation à Strasbourg contre la résolution pro-mort du Parlement européen

    C'était cet après-midi :

    5824_542622939154771_2076660219_n
    960177_542622925821439_1143374812_n
    1001723_542622962488102_1272611428_n
    1385270_542623029154762_797970924_n

    Michel Janva

  • UN DE NOUS : Ta voix compte pour sauver l'embryon

    http://www.undenous.fr/

  • Vers un Bobigny de l'euthanasie ?

    Communiqué de Laissez-les-vivre :

    "Le 11 août 2011, le docteur Nicolas BONNEMAISON , responsable de l’unité hospitalière de courte durée (UHCD) du centre hospitalier de la Côte Basque à Bayonne avait été mis en examen pour NEUF CAS d'empoisonnement au moyen d’Hypnovel et de Norcuron sur personnes vulnérables. Il n’avait jamais nié les faits et avait affirmé avoir agi ainsi pour abréger les souffrances de ses patients en pleine conscience des actes qu’il avait commis. Alors que le médecin était radié du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 240 autres praticiens avaient adressé une lettre au Président de la République pour le soutenir et, peu après, l’avis rendu par le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), l’annonce de l’élaboration d’un projet de loi sur la fin de vie dès l’automne avait été effectuée.

    Or, on sait depuis le 13 août 2013 que le parquet a requis le renvoi devant une cour d’assises et que, ce 16 OCTOBRE 2013, les juges d’instruction viennent de prendre une ordonnance de renvoi pour SEPT cas retenus parmi les NEUF instruits. Il semble bien d’ailleurs que les avocats du docteur BONNEMAISON veuillent instrumentaliser le procès pour en faire une tribune en faveur de l’euthanasie. L’un des avocats, Maître DUCOS-ADER n’a-t-il pas déclaré : "Peut-être est-ce la seule solution pour montrer le chemin au législateur comme de nombreux médecins, professeurs, et hommes politiques de tous bords le tentent de façon de plus en plus pressante depuis des années." et son confrère Arnaud DUPIN d'ajouter : "Nicolas BONNEMAISON est prêt à se défendre devant un jury d’assises s’il le faut, de façon à poser les vraies questions de l’euthanasie sans hypocrisie."

    Point de vue que semble partager la ministre des Personnes âgées, Michèle DELAUNAY qui a déclaré dès l’annonce de sa vraisemblable comparution en Cour d’Assises "qu’elle était convaincue que les intentions du docteur BONNEMAISON n’étaient pas celles d’un meurtrier ou d’un empoisonneur mais d’un médecin qui a pris ses responsabilités et qu’il conviendra de juger ». Il est d'ailleurs particulièrement grave qu'un ministre, chargée des personnes âgées en vienne à défendre un médecin qui a précisément attenté à la vie des plus vulnérables et, ce, de la même façon dont le ministre de la Santé Bernard KOUCHNER avait défendu Christine MALEVRE,mais il semble bien que la fonction ministérielle confère à cet égard une totale immunité...

    Bénéficiera-t-il d'une opinion publique favorable comme sembleraient l'indiquer les sondages ou au contraire assistera-t-on à un retournement de situation dans le cas ou il serait possible de faire valoir que les patients n'avaient rien demandé et qu'ils ont été" liquidés" dès leur arrivée dans le service de UHCD qui, en l'occurrence, portait assez bien son nom, que tout ne se réglait pas "en une poignée de main avec la famille et hop" comme l'avait quelque peu cyniquement déclaré le praticien tel Christine MALEVRE qui en son temps prétendait que tout se lisait dans le regard de ses patients ? Sera-t-il alors possible de faire valoir que les descriptions à caractère exhibant de l'état de délabrement des patients effectuées par les avocats sont indignes et dégradantes ?

    En ce qui concernait Christine MALEVRE c'est finalement son livre "Mes Aveux" qui avait retourné l'opinion en sa défaveur car précisément celui-ci avait dévoilé trop d'éléments personnels concernant les proches de ses victimes. Que les avocats du praticien veuillent en faire une tribune d'orchestration médiatique de l'euthanasie une sorte de Bobigny de l'euthanasie est certain, mais depuis 30 ans que le lobby de la mort sévit en France sur la question de l'euthanasie, de nombreux coups médiatiques pourtant souvent bien montés n'ont pas produit les effets escomptés par le dit lobby."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/vers-un-bobigny-de-leuthanasie-.html