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culture et histoire - Page 1183

  • Palmyre libérée

    Qu’en pense Laurent Fabius ? Notre calamiteux ministre des Affaires Étrangères voulait bombarder Damas, détruire le régime syrien et abattre Bachar el Assad « l’homme qui ne devrait pas être sur terre ».

    Dieu merci, personne n’a suivi cette stratégie folle qui aurait immanquablement entraîné l arrivée des islamistes au pouvoir.

    En revanche, Américains, Français et Anglais sont tombés d’accord pour laisser l’Etat Islamiste prendre Palmyre en mai dernier. Il aurait été pourtant facile d’empêcher cela en bombardant les colonnes d’assaut islamistes qui sont restées des heures en plein désert sans aucune protection. Mais il ne fallait surtout pas donner l’impression de soutenir un régime honni par nos puissants alliés sunnites et nos stupides journalistes.

    Alors tant pis pour la perle du désert, l’héritière de siècles de culture.

    Les barbares ont ensuite fait ce qui était prévisible : ils ont égorgé les militaires syriens prisonniers et réduit la population en esclavage. Comble de l’horreur : l’archéologue syrien responsable du site, qui n’avait pas voulu fuir, a été publiquement égorgé puis décapité malgré ses 84 ans.

    Cet homme, pendant des décennies, avait accueilli et guidé les archéologues du monde entier sur ce site qu’il a tant protégé. Qu’ont pensé MM. Obama, Hollande et Cameron de cette fin ? Probablement rien.

    Mais le vent a tourné avec l’intervention russe.

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  • La nouvelle « Lie de la Terre »

    Il fut un temps où il était de bon ton de lire l’autobiographie haineusement antifrançaise d’Arthur Koestler, consacrée à ses années 1939-1940, dont le titre accrocheur est ici repris.
    Tant qu’à chercher une caution littéraire, on préfère celle de Jean Giraudoux, qui du moins écrivait correctement et sans faire d’exhibitionnisme haineux. En 1925, dans le cadre de sa lutte contre les taudis si nombreux en France dans les années d’après-guerre (la Grande), il écrivait : « Cette France mal entretenue, sabotée, dépecée, salie nous fait courir le même risque que la vulgarité montante du langage ».
    De nos jours, les bidonvilles – du style Calaisien - pour déclassés et réfugiés, les HLM dégradées par la racaille, abritant quelques rares « petits-Blancs » et les immigrés dépourvus de goût pour le travail et les études, les propos orduriers, racistes et sexistes des voyous de l’immigration musulmane renouvellent le sujet.
    Il ne s’agit plus du sous-prolétariat alcoolisé, formé de rebuts d’autochtones mêlé d’immigrés italiens, polonais et flamands, tout juste arrivés en France. Il s’agit désormais d’Africains, noirs et maghrébins, d’Antillais et de sujets transplantés du Proche-Orient ou de l’Asie du Sud-Ouest, amenant avec eux un fort racisme anti-Blancs, un sens aigu de la revendication et, pour l’immense majorité d’entre eux, une religion dure, conquérante, haineuse envers les « infidèles ».
    On chercherait vainement l’intérêt pour les Français de souche européenne d’avoir admis cette immigration qui tourne à l’invasion et à la substitution de populations dominantes par l’effet d’une considérable différence des taux de maternité. L’enrichissement culturel de l’Europe par le monde arabo-musulman n’est pas évident, c’est le moins que l’on puisse en dire. La nécessité d’importer des « travailleurs » ne l’est pas non plus en une période de chômage massif pour les Français de souche européenne.
    Enfin, les joies occasionnées par les viols racistes, les rackets et les trafics de stupéfiants, le vandalisme imbécile, les pillages et incendies, et – cerise sur le gâteau – les attentats terroristes, si elles donnent du grain à moudre aux journalistes et aux politiciens, ne valent peut-être pas le prix acquitté en milliards d’unités de compte et en centaines de vies humaines.
    Pourquoi ne pas rendre, de gré ou de force, à ces immigrés-réfugiés leur dignité, leur sentiment d’utilité sociale, en les obligeant à regagner leurs continents d’origine, pour qu’ils y déploient leurs immenses talents à les mettre en valeur.
    Le Français, s’il n’aime guère les envahisseurs, n’est pas opposé au commerce international, valeur contre valeur, et encore moins au tourisme saisonnier. Le Français a définitivement résolu, depuis 1905, ses guerres de religion et n’a nul intérêt à « remettre ça » ! Quant à accepter des « colonisateurs », pourquoi pas, mais à l’unique condition qu’ils nous apportent une civilisation supérieure comme l’ont fait les Romains, à partir de la conquête césarienne, ou un enrichissement génétique, dans le cadre étroit de notre communauté raciale européenne, comme l’ont fait les Germains du IIIe au VIe siècles de notre ère, puis les immigrés slaves au XXe siècle.
    L’envahisseur qui ne remplit pas ces critères d’intérêt pour la Nation doit être repoussé.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVApZFkkpHBIlapgF.shtml

  • La colonisation a-t-elle été un drame pour l'Afrique ?

    Si l'on écoute les médias, les hommes politiques et les associations communautaires, la colonisation fut un drame pour l'Afrique.
    Et pourtant, de nombreux témoignages s'opposent à cette vision des choses.
    Par exemple, ces propos de Kofi Yamgnane


    Ou ceux de ce congolais qui déclare à un journaliste du Time : "[Les blancs] ont pris ce pays par la force, s'ils revenaient, cette fois-ci, nous le leur offririons." 
    (Source : Come back, colonialism, all is forgiven - Time)
    Est-il possible que la colonisation n'ait pas été un drame pour l'Afrique ?
    Voici une donnée qui donne une idée de l'état de l'Afrique avant la colonisation : la roue était inconnue en Afrique subsaharienne avant son apport par les Européens. (Source :https://fr.wikipedia.org/wiki/Roue#Origines_de_la_roue)
    Dans le texte qui suit, rédigé pour l'ouvrage du Carrefour De l'Horloge L'Occident sans complexes, Bernard Lugan, spécialiste du continent africain, nous délivre son diagnostic sur l'apport de la colonisation européenne.

    Le vrai bilan de la colonisation en Afrique
    (Chapitre 7 de l’ouvrage du Carrefour De l'Horloge : L’Occident sans complexes)
    Lorsque, à la fin du XIXe siècle, l’Europe entreprend la colonisation de l’Afrique noire, la situation de ce continent est catastrophique. En effet, à côté de quelques rares ensembles politiques préservés, la dominante est partout aux Afrique repliées, cloisonnés, isolées, dévastées et souvent condamnées.
    Or, en quelques années, administrateurs, officiers et missionnaires apportent aux Africains la notion jusque-là inconnue de sécurité quotidienne. Médecins et infirmiers font reculer le paludisme, la tuberculose, la bilharziose, la maladie du sommeil, le trachome et les diverses parasitoses qui achevaient de tuer des millions de malheureux sous-alimentés. Outre les soins, les Africains mangent alors partout à leur faim et l’essor démographique devient considérable.
  • Complètement à l'ouest… ils sont fous ces ricains ! | Par James Howard Kunstler.

    Article original de James Howard Kunstler, publié le 29 Février 2016 sur le site Kunstler.com
    Traduit par le blog versouvaton.blogspot.fr

    La riposte débile d’Hillary au slogan stupide de Trump, «Redonner sa grandeur à l’Amérique !», a été «L’Amérique n’a jamais cessé d’être grande». Je suppose qu’elle a voyagé autour des friches de centres commerciaux en Caroline sans remarquer le carnage qui s’étale sur cette terre comme une mortelle tuberculose. L’Amérique est en train de se suicider en faisant de mauvais choix, depuis des décennies.

    Nous avons récupéré les gains collatéraux de la Seconde Guerre mondiale et nous les avons déversés dans un étalement péri-urbain tellement déprimant que nos citoyens sont les personnes les plus sur-médicamentées au monde. Cela seul pourrait aider à expliquer comment Hillary et Trump avancent pesamment vers leurs nominations respectives. Les gens qui les applaudissent, canalisés sur les parkings de Piggly Wiggly, sont tellement assommés d’anxiolytiques qu’ils ne peuvent pas comprendre, derrière leur désespoir masqué par cette pharmacopée, à quel point ces deux célébrités odieuses incarnent les mêmes forces.

    Une nation sombrant dans une telle fausseté est sûre de souffrir d’un retour de bâton mettant sa vie en danger et il semble que la première chose à faire sera d’en finir avec les partis politiques. Les démocrates et les républicains sont allés au bout de leur processus de parti Whig [ridiculisés,NdT], chevauchant lors de l’élection 2016 sur la barge des ordures de l’histoire. Hillary jubilait après la primaire de Caroline du Sud de la semaine dernière, où elle a bourré son sac d’entremetteuse avec des votes noirs récoltés sur des fausses promesses de redémarrage des combats pour les droits civiques. Il était pénible de voir ce sourire sortez-moi-de-là tendu sur son visage alors qu’elle faisait son dernier selfie en pensant anxieusement à l’épreuve du Super-mardi.

    Je ne me soucie pas du nombre de victoires que Trump va engranger dans ces primaires, les leaders du parti républicain ne le soutiendront pas lors de la convention. Ils vont casser le parti en factions belligérantes avant de lui laisser brandir la bannière de Lincoln et du Gipper. Attention : les plans sont déjà en place pour pousser Trump dans le fossé, pour le faire dérailler avec quelques scandales facilement excavés d’une vie consacrée à graisser des pattes et à jouer à la balle avec l’industrie de la construction à New York, dans le New-Jersey ou le Nevada. A défaut, ils le laisseront avec la coque éventrée de l’appareil du parti et avec un bon crochet, ils sortiront un autre gars du chapeau pour le représenter à l’élection, bien financé sous une bannière légèrement modifiée : Paul Ryan, Bloomberg, Romney, peut-être même Kasich. Les frères Koch vont organiser la question financière. A défaut, il y a toujours la magie mystérieuse de l’État profond pour gagner des amis et influencer l’histoire.

    Cela ne veut pas dire que je me mets du côté de l’ancien establishment républicain, je dis seulement qu’ils sont de plus en plus désespérés, au point de vouloir faire dérailler ce monstre qu’ils ont eux-même créé, et iront jusqu’à un suicide institutionnel pour le faire. Il faudra plus qu’un autre cycle d’élection pour que, par miracle, le centre droit du spectre politique américain puisse se réincarner en quelque chose qui ressemble à un parti.

    Ou peut-être est-ce cela le véritable moment de vérité de l’Amérique impériale, quand tous les partis politiques se soumettent au ressac des événements annonçant un tsunami. Aucun des abrutis de commentateurs des médias, du Washington Post au New-York Times ne semble remarquer que l’économie mondiale est en train de sombrer dans le coma, et ce faisant, laisse derrière elle des bombes à fragmentation sous forme de défauts dans le système financier. Cette destruction, insidieuse jusqu’à présent, devrait apparaître au grand jour exactement au moment des conventions de nomination. La marée sera largement visible lorsque Hillary montera sur le podium, comme une mauvaise blague, en maman nationale et que Trump sera assis dans sa chambre d’hôtel de Cleveland, se demandant comment ses rêves rococo de gloire se sont transformés en un sandwich merdique du room-service.

    La mousse de ce vortex en formation est sur nous. La plus grande surprise de toutes est encore à venir et la télévision ne parviendra pas à l’expliquer. Cette réapparition de dernière minute ne sera pas celle de la célébrité connue sous le nom de Jésus-Christ, mais plutôt celle d’un événement appelé la Guerre de Sécession.

    James Howard Kunstler
    Publié par herve kergourlay 

    http://www.scriptoblog.com/index.php/archives/billets-d-auteurs/1879-completement-a-l-ouest-ils-sont-fous-ces-ricains-james-howard-kunstler

  • Pierre Hillard : « Le plan mondialiste de remodelage des frontières du Moyen-Orient ». (19/03/2016)

  • Conférence: Le pouvoir tyrannique de l’Eglise sous l’Ancien Régime : encore un mythe ? Par Marion Sigaut

    Conférence:

    Le pouvoir tyrannique de l’Eglise sous l’Ancien Régime : encore un mythe ?

    Par Marion Sigaut

    Partie 1:

    Partie 2:

    Source: Egalité et Réconciliation

  • Le livre d’Eugénie Bastié va faire hurler les féministes

    Bastié-Adieu-Mademoiselle.jpegPARIS (NOVOpress) : Adieu Mademoiselle, d’Eugénie Bastié, qui sera en librairies le 8 avril, va faire hurler les féministes. Journaliste au Figaro et rédactrice en chef politique de Limite, la « revue d’écologie intégrale », elle avait accédé à la notoriété en crevant l’écran, en septembre dernier, sur le plateau de Ce soir (ou jamais !), lançant à Jacques Attali : « Le vieux monde est de retour Monsieur Attali ! ».

    Avec ce premier livre, qui a justement failli s’appeler La Défaite des femmes, la jeune et talentueuse journaliste s’en prend à la « misère du néoféminisme contemporain »et accuse « l’idéologie postmoderne » de travailler « à la défaite des femmes ». La thèse : alors que l’égalité des droits est actée, que le contrôle de la fécondité est acquis, que la parité a été rendue obligatoire, « les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d’Orwell ».

    Selon Eugénie Bastié, les véritables menaces qui pèsent sur les femmes et, plus largement, sur l’humanité tout entière, sont à rechercher du côté des laboratoires de la Silicon Valley, dans le « tapage des Femen », dans le « déni de Cologne », dans les colloques « queer et trans », bref, dans ce mélange de postmodernité politiquement correcte et d’idéologie « transhumaniste » contre lequel s’étaient déjà dressés Eric Letty et Guillaume de Prémare dans leur ouvrage Résistance au meilleur des mondes.

    Cours toujours, Attali, le « vieux monde » retrouve de la vigueur et tu ne le rattraperas plus !

    http://fr.novopress.info/