Pendant les années 1650, plus de 100 000 enfants irlandais de 10 à 14 ans furent pris à leurs parents et conduits comme esclave dans le nouveau Monde. Ce ne fut qu'un volet du vaste plan de déportation de la population irlandaise imaginé par les rois anglais. Arrivés dans les colonies du nouveau Monde, ces nouvelles bêtes de somme furent l'objet d'autres traitements encore plus ignobles de la part des propriétaires d'esclaves anglais dont des essais d'amélioration de la race des esclaves anglais par croisements génétiques.
culture et histoire - Page 122
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La traite des esclaves irlandais au 17è siècle se double d'un génocide
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Le Génocide des Amérindiens et la conquête de l’Amérique du Nord
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Parution début décembre du nouveau livre de Bernard Germain : "L'Union européenne : en sortir... au plus vite !"
L’Union européenne : en sortir… au plus vite !
Lors de chaque élection européenne, c’est toujours le même scénario. On entend une multitude de listes proposer « Une autre Europe ».
Cela fait des dizaines d’années que l’on abreuve avec ces balivernes sur la transformation de l’Europe. Cela ne s’est jamais fait et ne se fera jamais car tout est prévu pour rendre la chose impossible. Ce qu’est réellement l’Union européenne est soigneusement caché, depuis sa création.
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Mythologie Celtique - Cosmogonie et Panthéon
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Lecture. L’identité des peuples d’Europe, par Yves Plasseraud
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1791, année maudite pour les travailleurs
Par jean Philippe Chauvin
Il est un effet néfaste et souvent méconnu des lois révolutionnaires libérales de 1791 : c’est la destruction de l’apprentissage qui, pourtant, avait permis au monde du Travail d’Ancien régime d’assurer et de s’assurer une qualité particulière et reconnue du monde entier, et qui garantissait la transmission des savoir-faire d’une génération à l’autre, avec toujours l’idée de rajouter, à chacune d’entre elles, quelques éléments supplémentaires. 1791, c’est la volonté de briser cette longue suite de « maîtrise de l’art du métier », propriété et fierté des travailleurs, quelles que soient leur fonction et leur place dans la hiérarchie professionnelle. Désormais, le seul maître, c’est celui qui finance et tire profit de la production, et non plus celui qui la fait, concrètement, à la force de son poignet et de ses muscles, au gré de son intelligence, avec l’aide de ses outils et avec l’expérience des anciens et la sienne propre, avec un rythme de travail qui est d’abord le sien et qui n’est pas imposé par « l’horloge du patron ».
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La croisade de Thomas Molnar contre le monde moderne
Dans le monde clos des intellectuels catholiques, Thomas Molnar reste un penseur à part. Philosophe, universitaire, écrivain et journaliste, l’ancien exilé hongrois réfugié aux États-Unis est rentré dans sa patrie dès la chute du communisme. Depuis il enseigne la philosophie religieuse à l’Université de Budapest. Mieux, avec la victoire des jeunes-démocrates de Viktor Orban, le professeur Molnar fut le conseiller culturel du jeune Premier ministre magyar avant de retourner dans l’opposition.
En France, les interventions de Thomas Molnar se font maintenant rares dans la presse, y compris parmi les journaux catholiques et nationaux. Il publia longtemps dans le bimensuel Monde et Vie d’où, d’une plume acérée, il diagnostique d’un œil sévère et avisé le délabrement du monde postmoderniste. En revanche, il continue la publication de ses ouvrages. Le dernier, Moi, Symmaque et L’Âme et la Machine, composé de deux essais, porte encore un regard inquiet sur le devenir de la société industrielle occidentale. Rarement, un livre aura justement traduit la crise mentale profonde dans laquelle sont plongés les catholiques de tradition. Il faut croire que l’accélération du monde soit brusque pour que le catholique Molnar se mette à la place du sénateur romain Symmaque, dernier chef du parti païen au IVe siècle. Symmaque fut le dernier à essayer de restaurer les cultes anciens...
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Quoi de nouveau ? La Tradition !
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1543-1544 : Quand la flotte ottomane passait l'hiver à Toulon
Cet épisode méconnu de l'Histoire de France n'est pas un énième coup de force des musulmans sur le Sud de la France, comme on pourrait le croire. L'occupation de Toulon se fit à l'invitation de François Ier qui demanda à la population de quitter la ville, avec promesse d'un dédommagement, afin de laisser la place à 30 000 marins qui comptaient vivre sur le pays durant l'hiver 1543-1544... et y rester. Ils finirent par quitter la ville de Toulon en mai 1544.
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En hommage à Charles Maurras
Il y a cinq ans déjà, Alain Escada rendait hommage à Charles Maurras, sur la terre de Mistral. L’intervention conserve toute sa pertinence en ce 16 novembre 2023, 71e anniversaire du rappel à Dieu de Charles Maurras.