culture et histoire - Page 121
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La mort stupéfiante de Charles le Téméraire, avec Jean-Baptiste Santamaria
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Ecosse, 1692 : le massacre de Glencoe
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Il ne peut être que profitable de recommander aux personnes originaires de nos anciennes colonies d’avoir une filiale reconnaissance pour la France
Dans Valeurs Actuelles, le père Danziec revient sur la déculottée infligée à Moundir Zoughari, ancien candidat de l’émission Koh Lanta, par Juliette Briens, journaliste à L’Incorrect, dans l’émission Touche pas à mon poste :
[…] Selon le chroniqueur, la France devait aux musulmans : sa victoire lors de la deuxième guerre mondiale, la protection des Juifs durant l’occupation, la reconstruction de la France durant les 30 glorieuses, et j’en passe. « Sur les plaques commémoratives dans les villages, je ne vois pas beaucoup de Moundir, (…) à un moment donné, faut dégonfler son melon » lui répondra la journaliste avant de démonter une à une les fake news de son adversaire du soir.
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L’antisémitisme de gauche occulté depuis 200 ans
Les propos de Mélenchon et ses proches sur Israël et le Hamas n’ont rien d’un «dérapage» isolé. L’antisémitisme existe, à gauche, depuis deux siècles, mais a été occulté, refoulé. Il y a des épisodes sur lesquels on préfère garder le silence. Or ce passé peu connu est éclairant.
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Éloge de Metternich et de la Sainte-Alliance
Aujourd’hui encore, la Sainte-Alliance et le prince de Metternich gardent en France une réputation sulfureuse. Toute une historiographie républicaine, laïque, nationaliste ou jacobine, a tissé autour d’eux une « légende noire » bien excessive. « Metternich paraît avoir été particulièrement négligé ou maltraité par l’historiographie française, remarque son excellent biographe Guillaume de Bertin de Sauvigny. [...] Pourquoi cette carence ou cet ostracisme ? Cela ne tient pas tellement, semble-t-il, au tabou qui a longtemps régné dans l’histoire universitaire à l’encontre du genre biographique. Plus probablement, le personnage était profondément antipathique à l’esprit français, au nationalisme français. »
Il serait temps maintenant de reconsidérer l’apport que Metternich et la Sainte-Alliance ont eu sur une Europe meurtrie par un quart de siècle de conflits ravageurs. Oui, Metternich et la Sainte-Alliance ont exercé sur notre continent un rôle bénéfique incommensurable, car réparateur. Sans trop exagérer et en ne craignant pas non plus l’anachronisme véniel, on peut même considérer l’Europe post-napoléonienne (ou metternichienne) sortie du congrès de Vienne (1814-1815) - et qui va se maintenir deux générations ! - comme une anticipation juste et clairvoyante d’une construction européenne raisonnable et pragmatique, totalement délaissée au profit de l’idéologie séculière subversive. Ils ont œuvré indirectement afin de réparer et le martyre trinitaire de la famille royale de France et le lâche assassinat du malheureux duc d’Enghien commis par Napoléon à la veille de son sacre dispendieux et vulgaire pour satisfaire le camp révolutionnaire inquiet de la restauration monarchique.
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Qu’est-ce qui poussa les paysans français à émigrer au Canada à partir de 1600 ?
Impasse technique, pénurie de terre et Petit Age glaciaire ne permettent plus aux paysans de la fin du seizième siècle de vivre de leur travail en France. Des terres ingrates mais disponibles aux Amériques seront, pour les plus entreprenants, une solution pour échapper à la misère. Dans les provinces conquises par les protestants huguenots, les moins entreprenants seront poussés à l'émigration par tous les moyens.
L'apogée de la vie rurale vers 1550Le règne de Henri II (1547 à 1559) marque l’apogée, dans tous les domaines, de la vie rurale. Hormis les incursions impériales en Provence et en Picardie, les paysans français ont oublié depuis plus d’un siècle les horreurs et dévastations de la guerre. Dans toutes les provinces, l’ensemble des terres est cultivé, les vergers et vignes sont en plein rendement. Le niveau de production agricole, vue à travers du produit de la dîme, est florissant. Avec l’augmentation de la production et la hausse des prix, les propriétaires des terres peuvent prélever un loyer plus important sans conduire à la faillite.
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Napoléon, de I à IV
« Un mythe n’est populaire que s’il rappelle à l’homme sa condition de mortel, s’il lui montre qu’il n’est qu’un jouet dans les mains des dieux ou de Dieu. C’est ce qu’ont parfaitement compris Hugo dans Napoléon II ou Tolstoï dans Guerre et paix et c’est en cela qu’ils furent peut-être les meilleurs serviteurs d’une légende qui n’a pas fini de nous éblouir ». Si l’éblouissement persiste chez les derniers lecteurs de Stendhal, Napoléon Ier, et plus généralement les Bonaparte, continuent d’intriguer les chercheurs. Ceux-ci s’intéressent aussi au Second Empire, enfin débarrassé de la hargne post mortem que lui adressa l’auteur des Châtiments.
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Reconnu en Espagne, inconnu en France, Jacques de Liniers
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La bataille du point médian
La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol
Le 30 octobre dernier, par 221 voix pour et 82 contre, le Sénat adoptait une proposition de loi déposée par Les Républicains hostile à l’écriture inclusive tant dans les textes officiels que dans les documents privés (actes juridiques, contrats de travail, mode d’emploi d’appareils électro-ménagers ou informatiques). La proposition votée attend maintenant son inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, inscription qui n’est pas pour l’heure prévue. Il est toutefois cocasse d’apprendre que quelques jours auparavant, le 19 septembre, le groupe RN au Palais-Bourbon présentait sans grand succès une autre proposition de loi contre cette nuisance lexicale, linguistique et grammaticale.
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144 - Arnaud Teyssier à l'occasion du 250ème anniversaire de la naissance de Louis-Philippe Ier