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culture et histoire - Page 1483

  • De l’ordre avant toute chose

    Pourquoi j’insiste sur cette mystique de l’ordre à droite, en littérature ? D’une part, c’est un trait commun aux « Hussards » que d’avoir voulu hâter l’avènement d’un nouvel ordre. Nimier, assez vainement d’ailleurs, aspirait par exemple à un « classicisme moderne ». Et puis, plus fondamentalement, la quête de l’ordre est quand même une dimension quasi essentielle de ce qu’on pourrait appeler le « tempérament » de la droite littéraire. Je m’explique. Historiquement, la droite, marquée par l’image négative que la gauche lui a renvoyée, a développé une « volonté de désamorçage du conflit ». Dès l’origine, donc, la droite rejette les étiquettes politiques, mais aussi la politique elle-même, associée dans son imaginaire à un facteur de division. La droite, ou la hantise du conflit. 

    Tout cela invite un peu à lire autrement le manifeste de La Parisienne : 

    Cette revue [La Parisienne], disais-je en somme, ne se propose pas, à l’aide de petites ruses pédagogiques, de convaincre son public, de lui inculquer des vérités, de l’endoctriner ex cathedra, de l’enseigner sur les dogmes (...). [Nous recherchons] « l’esprit » [car il est] un plaisir partagé parce que l’on accepte les traits que tire l’autre. Une querelle didactique, où l’on pèse ses arguments un à un, est fermée comme une bataille d’insectes. Les adversaires n’ont rien à espérer l’un de l’autre (...). L’esprit introduit l’espoir d’une rémission dans les luttes qui, s’il les quitte, deviennent sans espoir. 

    Derrière la supposée finalité séductrice de la littérature, une autre intention se précise. En prônant la « démilitantisation » dans les lettres ou, comme dans ce dernier extrait, « la rémission dans les luttes » par « l’esprit », Jacques Laurent exprimerait toute la hantise du conflit propre à « la droite ». En un sens, droites littéraire et politique partageraient une identité de représentantes de « l’ordre établi ». 

    En tant que telle, et parce que plus encline au mysticisme, la « droite littéraire » se révèlerait être profondément animiste. L’ordre du monde, ses lois, relèvent en effet d’une même âme pour les « Hussards », qu’elle soit divine chez Nimier, ou naturelle chez Déon. La thématique du respect de l’ordre de la Création, dans cette rhétorique, dénote chez nos écrivains un souci de s’inscrire dans un même souffle vital. L’animisme tente ainsi de réconcilier ces consciences désespérées, partagées entre « la tentation du repli et la recherche d’une troisième voie introuvable », écartelées par l’exigence contradictoire du respect de l’ordre de la Création et la nécessaire affirmation du moi dans un ordre qui les dépasse, mais qu’elles doivent pourtant, elles, dépasser. « L’esprit », comme principe ordonnateur, s’offre alors comme la seule force susceptible de rétablir l’harmonie collective et d’apaiser le sentiment de « fragmentation du moi » qui fait tant défaut à l’écrivain de droite... une topique animiste archétypale de l’homme de droite, qui oppose au « tout politique » de la gauche sa volonté de ne pas forcer le cours des choses pour ne pas attenter à l’harmonie naturelle : la fortune, les circonstances, les faits, ou la Providence auront toujours raison de l’homme. 

    Pierre Poucet, Les Hussards, cavaliers des Arts et Lettres

    http://www.oragesdacier.info/2014/10/de-lordre-avant-toute-chose.html

  • PDC n°29

  • L’Apôtre : le film à voir cette semaine

    Laurent Dandrieu, critique Cinéma à Valeurs Actuelles vous parle du dernier film de Cheyenne Carron : L’Apôtre. On y découvre l’histoire d’Akim, un jeune musulman pratiquant. Des circonstances tragiques vont lui faire découvrir le catholicisme. Contre l’avis de sa famille, il décide de s’y convertir. 

     

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Apotre-le-film-a-voir-cette

     
  • [Aix] Café Actualité d’Aix-en-Provence : la démocratie totalitaire, le mardi 7 octobtre

    Pour sa reprise, le Café Actualité d’Aix-en-Provence a le plaisir de recevoir Jean-Pierre MAUGENDRE, président de Renaissance Catholique, qui présentera : "COMMENT ET POURQUOI LA DÉMOCRATIE DEVIENT TOTALITAIRE ?"

    MARDI 7 OCTOBRE de 18h 45 à 20 h 30 Café "Le Festival", 1 cours Mirabeau

    Entrée libre. Participation sous la forme d’une consommation. Renseignements : 06-16-69-74-85

    La démocratie peut-elle devenir totalitaire ? Cette association de mots semble antinomique et paraîtra presque blasphématoire à certains. Mais au-delà des mots et des principes vertueux, il y a les idéologies et les faits : le phénomène qui voit les démocraties modernes s’ingérer toujours plus dans des domaines qui échappaient traditionnellement à l’État. Institutionnaliser une nouvelle morale. Tenter de déplacer les limites du bien et du mal. Les événements entourant l’adoption de la loi instituant le prétendu "Mariage pour tous" ont servi de révélateur à beaucoup de nos contemporains abasourdis par ce qu’ils observaient. Il s’agit maintenant de passer de la révolte contre les conséquences à l’analyse des causes. Ce sera l’objet de cette conférence.

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  • Des droits contre l'homme

    On trouve dans les déclarations de 1789 et de 1948 des articles qui sont l'aboutissement d'une tradition de jurisprudence. Ce que nous condamnons, c'est la fausse conception de l'homme dans laquelle ces articles se trouvent insérés et qui a inspiré quelques autres articles réellement condamnables.

    L'exemple d'une déclaration des droits avait été donné dès 1778 par les auteurs de la Déclaration d'indépendance des États-Unis, mais au moins désignaient-ils Dieu comme l'auteur des droits inaliénables. Les Constituants français de 1789, eux, se sont contentés dans le préambule de placer leur déclaration « en présence et sous les auspices de l'Être suprême », ce qui ne les engageait à rien...

    Libres et égaux...

    L'article 1er est sot : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. » Maurras l'a fait remarquer : l'homme laissé libre, donc seul, en venant au monde n'aurait aucune chance de vivre. La naissance est un beau spectacle d'autorité nécessaire et d'inégalité protectrice. D'ailleurs, liberté et égalité sont un couple impossible : là où la liberté est illimitée, les forts écrasent les faibles ; là où l'égalité règne, il faut obliger tout le monde à passer sous la même toise...

    La déclaration de 1948 corrige très légèrement cette conception abstraite de l'individu. Elle remplace « hommes » par « êtres humains » (art. 1). Ils ont donc un être et ne sont plus de simples atomes, ils ont une « dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine » (préambule). Mais leurs « droits égaux et inaliénables » sont, dans l'énoncé, juxtaposés à cette dignité ; ils ne sont pas explicitement fondés en elle. Donc on est toujours dans l'individualisme comme en 1789.

    Le conflit institutionnalisé

    L'article 2 de 1789 est un brûlot : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. » C'est du pur Rousseau : chacun est sur terre pour y chercher sa satisfaction personnelle, il ne doit obéir qu'à lui-même, donc ne se lier à la société que dans la mesure où il y trouve son intérêt, selon les termes d'un "contrat social".

    Les droits dits « de l'homme et du citoyen » doivent être compris comme ceux du citoyen en tant qu'homme, non ceux de l'homme en tant que citoyen. Car "l'Homme", dans la nation, n'est plus héritier (débiteur), mais créancier (sujet de droits).

    Le rôle de l'État devient alors de conserver à tous cette possibilité pour chacun de ne vivre que pour et selon soi. Il sort ainsi de sa mission traditionnelle qui est de gérer le bien commun par-dessus les biens particuliers, et toute question politique ou sociale se trouve posée en termes de droits, donc dans un climat conflictuel. Résultat : des lobbies peuvent s'organiser pour paralyser l'État. Sans compter qu'une société où tout est droits voit se multiplier les déprimés, les aigris, les névrosés, ceux pour qui toute malchance est une injustice. Allons plus loin : comment une société fondée sur le droit de vivre chacun pour soi peut-elle faire comprendre aux immigrés que s'intégrer à une nation, cela se mérite ?

    Vient ensuite (toujours en 1789) la liste des « droits ». D'abord la liberté, posée sans complément, donc comme un absolu. C'est oublier que la liberté ne vaut que par l'usage que l'on en fait. De cet oubli découle la mise sur le même plan de « toutes les opinions ». (« Mêmes religieuses », précise l'article 10, comme si la religion n'était rien de plus qu'une opinion !... La Terreur n'était pas loin.)

    Suivent, entre autres droits, la liberté de parler et d'imprimer, puis la propriété, tous droits mieux garantis par le Décalogue (Tu ne mentiras pas, tu ne voleras pas...) que par une déclaration qui en est la caricature. Déclarer la propriété comme un droit absolu, et non par rapport au bien commun, donc sans responsabilités sociales, est source de graves conflits.

    La liberté selon la déclaration de 1948 est apparemment plus réaliste. Elle parle des droits de la famille (art. 16), du droit des parents de choisir le genre d'éducation pour leurs enfants (art. 26), mais ce même article dit que l'éducation doit former au respect des Droits de l'Homme, ce qui n'est pas une garantie contre une école étatique imposant son idéologie.

    Quant à la liberté de religion et de culte, fondée sur le droit individuel, elle est plus celle de « changer de religion » (art. 18) que celle de rester ferme dans sa foi envers et contre tout. Cet article peut aussi bien être invoqué pour réclamer la liberté du culte que pour obliger un peuple à renoncer à toute référence religieuse. On comprend pourquoi les États communistes n'ont jamais eu de difficulté à adopter les fameux Droits de l'Homme...

    Le lit d'Hitler

    Signalons en outre que la déclaration de 1948 énonce le « droit à la vie » (art. 3), juste avec le droit à la liberté et à la sûreté de la personne, mais là encore dans un contexte individualiste, ledit droit à la vie peut tout aussi bien servir à défendre l'enfant à naître qu'à ériger la vie elle-même en un droit dont on peut user à sa guise, voire en décidant pour soi-même ou pour les autres à partir de quand la vie commence ou cesse de mériter d'être vécue. Quand le droit à la vie est égal au droit à la liberté, donc fermé à toute référence transcendante, la qualité de la vie prend le pas sur le sens de la vie, et cette vie n'est plus protégée réellement contre l'avortement, l'euthanasie, et toute forme d'eugénisme.

    Venons-en à l'article 3 de la déclaration de 1789 : « Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. » Un chef-d'oeuvre d'abstraction démentielle. Attention, ce texte n'a rien de "souverainiste" : quand le peuple est souverain, la nation n'est pas comprise comme la communauté historique de destin, elle est le peuple en corps dressé face au roi qui en août 1789 n'en était déjà plus la tête. De la très rousseauiste « volonté générale » (art. 6) massifiée, tout doit "émaner".

    Alors, tout reposant sur l'individu, il faut détruire ou affaiblir les organismes naturels (familles, paroisses, corporations, provinces qui encadraient l'individu) pour ne plus laisser subsister que l'État, centralisateur à outrance, seul habilité à définir la liberté. Cela afin que chacun, n'ayant plus de lien particulier, puisse être "vertueux" et se fondre dans la volonté générale. Déconnecté des forces vives où il puisait sa sève, le citoyen a dès lors vocation à être interchangeable, et bientôt "mondialisé".

    Le joug collectif

    Écrasant ainsi les individus concrets sous le joug d'une entité collective, cet article 3 a été dès 1792 une machine de guerre contre tout pouvoir ne venant pas d'en-bas (le roi, les prêtres, les nobles, les pères de famille).

    L'article 6 allait dans le même sens en accordant les dignités à des citoyens « sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » : comme aucune transcendance n'est plus reconnue pour juger des critères de la "vertu" ou de la pureté de tel individu ou groupe, cela peut déboucher sur une espèce de république des purs ou des génies, voire sur le culte du surhomme et de la race supérieure, comme sur toutes formes de populicides. Car la "volonté générale" peut facilement devenir celle des purs, de ceux qui se sont le plus dépouillés d'eux-mêmes pour coller à l'idéologie du moment. Des bourreaux de la Vendée à Hitler, les Droits de l'Homme ont déjà une morbide postérité.

    La déclaration de 1948 se contente de remplacer « volonté générale » par « volonté du peuple » (art. 21), et de préciser qu'il faut des élections libres... Elle ne corrige rien de fondamental. Disons même qu'elle sacralise à outrance les Droits de l'Homme, devenus « la conscience de l'humanité », « l'idéal commun à atteindre par tous les peuples » (préambule) . Donc une super-religion qui n'a rien d'une chance pour l'avenir du monde...

    Michel Fromentoux L’ACTION FRANÇAISE 2000 du 4 au 17 décembre 2008

  • La lutte implacable pour l'empire du monde


    140926

    Jules Monnerot avait décrit, dès 1949, au lendemain du "coup de Prague" (1)⇓ le communisme comme "l'islam du XXe siècle."  (2)⇓

    À l'époque, on doit le rappeler, cette comparaison semblait osée.

    Elle peut, pour d'autres raisons, être contestée par les mêmes bons esprits politiquement corrects. Non que l'on puisse ignorer les crimes de "l'entreprise léniniste", ainsi que le qualifie l'auteur de la Sociologie du communisme. Tout ou plus cherchera-t-on à les minimiser, à les relativiser, et, tout doucement à les faire oublier.

    Or, de plus en plus l'islamisme se comporte en ce XXIe siècle comme le successeur totalitaire du communisme.

    En fait les événements récents nous montrent hélas que cette tentative d'effacement discret affaiblit le monde civilisé. Dans leur confrontation avec l'islamo-terrorisme nos sociétés, et plus précisément encore, nos dirigeants et nos gros moyens de désinformation perdent de vue la parenté "structurelle" entre les deux ambitions totalitaires :

    Le léninisme d'hier fonctionnait déjà comme se développe aujourd'hui une certaine forme d'islamisme, cherchant à faire renaître les conquêtes militaires de ses prétendus "pieux ancêtres". (3)⇓

    L'un comme l'autre se ressemblent dans leur lutte implacable pour l'IMPERIUM MUNDI  (4)⇓ l'empire du monde.

    Apostilles

    1.   Nom donné par les Occidentaux à l'invasion de la Tchécolovaquie par l'URSS en 1948 avec l'appui des communistes locaux
    2.  Titre du 1er tome de sa Sociologie du communisme" 
    3.  C'est la signification du mot arabe "salafiyya" que nous transposons en "salafisme"
    4.  Titre du 3e tome de la Sociologie du communisme".

    http://www.insolent.fr/

  • Les Nanas et l'art dégénéré

    La France est un pays où l’Art compterait et serait apprécié à sa juste valeur. Pensez… L’exposition « Moi, Auguste, empereur de Rome » au Grand Palais, a réalisé à peine 100 000 entrées. Mais on espère bien que l’exposition Niki de Saint Phalle, pour laquelle Le Figaro Magazine s’enthousiasme vivement dans son numéro du weekend dernier, fera bien plus ! Le Grand Palais a été réquisitionné pour l’occasion ! Quand on aime, on ne compte pas et ce, même dans la France « en crise » !

    Il faut dire que Niki de Saint Phalle rentre parfaitement dans les canons de l’Art officiel, elle qui était une cosmopolite fanatique.  La rétrospective qui lui est consacrée vous permettra de découvrir 200 des « œuvres », enfin des créations, de cette boulimique de l’art poubelle qui en a réalisé des milliers… Malheureusement, deux de ses « œuvres » phares : son Arche de Noé et son Golem que l’on trouve à Jérusalem ne pouvaient être déplacés pour l’occasion ! Mais vous pourrez vous délecter de ses « nanas » !

    Voyez ci-dessous certaines des perles de cette « féministe radicale mais aussi activiste antipatriarcale » (victime d’inceste durant sa jeunesse) qui « créait comme on manifeste » pour reprendre Le Figaro Magazine qui tombe en pâmoison devant ces « sculptures extraordinaires, colorées » aux « personnages fantastiques ».

    Inutile de faire le critique d’art à la con. Y a rien à dire. Ce sont juste des sculptures pourries réalisées par une femme dont l’esprit était tout sauf sain. Oser nous dire que cela rend hommage à la féminité est quand même d’un culot éhonté ! Ça rend plutôt hommage à la pâte à sel de maternelle à la sauce maladie mentale, oui ! Qui oserait dire que cela est artistique ?

    L’art d’une société et d’une époque en dit beaucoup sur celles-ci, sur leurs valeurs, leurs manières de se voir et de se concevoir. L’art officiel que le système promeut et impose rejette tout ce qui fait que l’Art est Art. Point de beauté, de transcendance, d’harmonie, d’équilibre ou de grandeur ! Non ! A la place, vous avez la laideur, la déformation, les tares, le délire d’esprits malades et déracinés dont toute création serait artistique pour la simple et bonne raison que c’est de la « création ». Hop ! Finis les Praxitèle, Titien ou Breker qui plaçaient leurs œuvres sous le signe de la perfection ! Place à Chagall, Oppenheim et Shelomo Selinger ! Un changement qui n’est pas qu’artistique, vous en conviendrez avec moi...

    Et pendant ce temps, la BNF (Bibliothèque Nationale de France) lance une souscription publique, oui, vous avez bien lu, afin qu’elle puisse acquérir un manuscrit royal datant de la renaissance : Description des douze Césars avec leurs figures (détails ici)! On fait appel à vous car la BNF n'aurait pas les moyens de payer... Et pour cause ! En France, le blé injecté dans la "culture" est majoritairement utilisé pour subventionner des expositions d'art dégénéré du genre de celle de Niki de Saint Phalle, des artistes exotiques ou des associations de gauchistes illuminés. De nombreux châteaux menacent ruine et "on" a déjà vendu une bonne partie du patrimoine du pays, les églises y passant même ! Donc franchement, acheter un manuscrit datant de l'époque barbare où il n'y avait ni télés ni Iphones, faut pas déconner! La culture française officielle est bien à l’image de la société d’aujourd’hui et des calamiteux personnages qui se sont souvent succédés en tant que ministres de leur culture : bobos hallucinés ou/et dégénérés aux mœurs sexuelles infamantes.

    Rüdiger / C.N.C

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2014/09/27/les-nanas-et-l-art-degenere-5456009.html