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culture et histoire - Page 1540

  • [Grenoble] Camel Bechikh au Centre Lesdiguières

    Le Centre Lesdiguières

    vous invite à la conférence de Camel Bechikh, Président fondateur de « Fils de France », porte parole de « La manif Pour Tous » :

    L’identité française au défi de l’immigration et de la mondialisation

    Vendredi 20 juin 2014 à 20 h,

    à la salle paroissiale (1er étage) de l’Eglise Saint-Augustin, 1 rue Dupleix, 38100 Grenoble

    (Ligne 34 arrêt : « Les bains » ; au bout de l’avenue Jeanne d’Arc). (Participation aux frais)

    Centre Lesdiguières - 6 rue Berthe de Boissieux - 38000 - Grenoble

    Dans les questions complexes que posent la présence nouvelle de l’islam, devenue deuxième religion du pays, le jeune mouvement Fils de France inaugure une approche nouvelle basée sur le processus d’acculturation. Loin du discours souvent victimaire de nombreuses associations affichées comme "musulmanes" et confondant revendications sociales, devoir de mémoire, liberté du culte... Fils de France propose une distinction nette entre culte et culture, car si les valeurs issues de la spiritualité sont universelles, leur réalisation épouse la variété des cultures rencontrées. Toutefois l’accélération de l’Histoire engendrée par les nouvelles technologies propulse notre pays dans les standards de la culture mondialisée, américanisée...Ainsi posée, comment l’identité française malmenée par les nouveaux enjeux internationaux peut-elle proposer un modèle culturel, original, stable aux migrants, à leurs enfants ?

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Grenoble-Camel-Bechikh-au-Centre

  • Quatre maires et Emmanuel Ratier à l’affiche du colloque Civitas du 5 juillet

    affiche-colloque-civitas-5 juillet 2014

    « Catholiques, engagez-vous ! », recommande l’invitation de Civitas. L’organisation catholique bien connue pour son combat contre l’antichristianisme et la politique antifamiliale organise un colloque à Paris le 5 juillet. Durant toute cette journée, des catholiques déjà bien engagés viendront témoigner. Parmi eux, quatre maires viendront débattre de la façon dont ils essayent de défendre le bien commun à travers leur engagement municipal. Le choix de ces quatre maires est d’autant plus intéressant qu’ils représentent les variétés de nos communes françaises, du petit village rural à la grande ville. Nul doute que de nombreux nouveaux élus municipaux ainsi que des militants qui pourraient le devenir viendront écouter attentivement les récits expérimentés de  Charles Berthollet (maire de Rouvray), Xavier Lemoine (maire de Montfermeil), Hervé Lucbéreilh (maire d’Oloron-Ste-Marie, Conseiller général des Pyrénées Atlantiques) et Jacques Tissier (maire de Fontgombault).

    On notera aussi que Civitas a fait appel à différents représentants des médias alternatifs (TV Libertés, Radio Courtoisie et… Médias Presse Info par l’entremise du Dr Dickès, notre spécialiste des questions bioéthiques) pour participer à ce colloque et en animer notamment les tables rondes. Parmi ces journalistes non conformistes, on retrouvera au colloque de Civitas le fameux Emmanuel Ratier dont la biographie de Manuel Valls est l’une des meilleures ventes du livre en ce moment grâce à internet.

    Voilà donc un rendez-vous à ne pas manquer afin, malgré la période estivale, de conserver l’esprit militant.

    Samedi 5 juillet, de 10h à 18h – Colloque : Catholiques, engagez-vous !
    Matin
    1ère table ronde :S’engager au service du bien commun dans la Cité est un devoir pour les catholiques
    Avec M. l’abbéXavier Beauvais, le DrJean-Pierre Dickès(président de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins, directeur d’émission à Radio Courtoisie et chroniqueur à Médias Presse Info) et M.Alain Escada(président de Civitas). Animateur : M.Vivien Hoch(philosophe)
    2ème table ronde :Être Maire, pour quoi faire ?
    Avec M.Charles Berthollet(maire de Rouvray), M.Xavier Lemoine(maire de Montfermeil), M.Hervé Lucbéreilh(maire d’Oloron-Ste-Marie, Conseiller général des Pyrénées Atlantiques) et M.Jacques Tissier(maire de Fontgombault). Animateur : M.Martial Bild(directeur de la rédaction de TV Libertés)
    Après-midi
    -Laïcité et liberté religieuse : entre prudence et déstructuration politique et sociale(M.François-Xavier Peron, Civitas)
    -Valls, homme des lobbies ou la fabrication d’un président(Emmanuel Ratier, journaliste et écrivain)
    -Riposte à l’antichristianisme et résistance à la politique antifamiliale : bilan des stratégies(M.Alain Escada, président de Civitas)
    -La France a besoin de chefs catholiques(M. l’abbéRégis de Cacqueray)
    Lieu :84 rue de Grenelle, 75 007 PARIS  (métro/bus 63, 68, 69, 83, 84, 94 – arrêt rue du bac)

    Entrée : 10€ 

    http://medias-presse.info/quatre-maires-et-emmanuel-ratier-a-laffiche-du-colloque-civitas-du-5-juillet/11196

  • Que penser des formules d’action massives ?


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    Au moment où les partis sont en échec n’est-il pas temps de construire un grand mouvement unitaire en évitant de se diviser sur la doctrine à mettre en œuvre ? Jean-Ousset dans la troisième partie de son livre l’Action au chapitre VII  (p. 179 à 186), aborde la question avec beaucoup de prudence à méditer pour aujourd’hui. Quand il faut poursuivre quinze lièvres, il vaut mieux quinze chasseurs ! C’est la diversité des initiatives et l’unité de la doctrine qui fait l’efficacité. Extraits :

     « Par formules d’action massives, nous voulons désigner ces coalitions, ces regroupements, ces partis uniques que beaucoup tendent à considérer comme seules formules d’action efficaces, seules formules de salut. Peut-on les admettre ? Certes ! Mais non sans réserves. Avec précaution. A condition de leur refuser le caractère de formule souveraine qu’elles tendent à revendiquer.

    Formules asphyxiantes dans la mesure où elles prétendent tout assumer, où elles ne peuvent se poser qu’en s’opposant, où elles ne se légitiment que par l’exclusive. Le progrès n’y étant conçu que par suppression ou absorption d’organismes voisins, en réalité complémentaires. Une soif inextinguible d’effectifs étant leur vrai moteur.

    Appareils gigantesques qui, pour essayer d’exécuter (sans y parvenir !) les tâches qui s’imposent doivent planifier, schématiser, donc mutiler l’action souhaitable. Une hypertrophie administrative sanctionnant pour l’ordinaire chaque essai de faire plus, de faire mieux… Appareils vulnérables à souhait, par leurs dimensions mêmes, qui s’administrent plus qu’ils n’agissent réellement…

    Cette incapacité de faire face aux exigences diversifiées de l’action pousse à se spécialiser, à se limiter à une ou deux formes d’activité, présentées, dès lors, comme des panacées. … On persiste à déclarer suffisant, plus rationnel, moins dispersant, le totalitarisme exercé. On déclare illégitimes, rivaux, donc condamnables, tous ceux qui, en fait, complèteraient la besogne....

    C’est ainsi que, par une sorte de paradoxe, toute conception unitariste, totalitaire, a pour effet un double résultat... d’absorption et de démobilisation.

    • Absoption ? Parce qu’elle tend à annexer qui l’approche ou l’entoure.
    • Démobilisation ? Parce que, devant sa prétention de tout faire, chacun tend à s’en remettre à elle et à se croire inutile, superflu. On compte sur le seul grand organisme central... et l’on reste chez soi. D’acteur possible on devient spectateur.

    Le résultat est qu’à très bref délai un tout petit nombre continue à travailler et qu’une multitude d’initiatives, aussi diversifiées qu’adaptées, a complètement disparu.

    Et ce n’est pas tout ! L’humeur ombrageuse, l’aboulie, la vulnérabilité propres à tout gigantisme ont tôt fait de marquer ces organisations. Incapables d’un sursaut, d’une réforme, d’un renouvellement, elles s’agitent et s’épuisent en incidents de frontières, questions de préséances, querelles de maffias.

    Ce qui, dans le style d’une action pluraliste et complémentaire, est source d’initiatives enrichissantes, de rebondissements dynamiques, devient, pour un esprit totalitaire, dislocation, risques d’effondrement.

    On ne saurait courir deux lièvres à la fois, dit le proverbe. Mais quand il importe d’en poursuivre quinze ou vingt ? Il faut quinze ou vingt chasseurs.

    Au tribunal de la raison pure, la formule d’une seule organisation chargée de tout accomplir est, sans doute, fort séduisante. Ce serait si commode !

    N’est-il pas normal qu’au seul profit de la facilité, les membres d’une organisation aient tendance à tout attendre d’elle. Est-il rien de plus fastidieux (et onéreux !) que d’avoir à s’inscrire, à cotiser, à s’abonner, etc., en plusieurs endroits…

    L’expérience a démontré depuis longtemps qu’une organisation unitairement conçue ne peut mener, avec un bonheur égal, les diverses formes d’action indispensables au plein succès du combat politique et social. Il est donc nécessaire de fermer l’oreille aux discours si souvent répétés de ceux qui ne conçoivent d’action efficace que par la fusion de tous les organismes existants.

    Que les exigences du combat social et politique impliquent une grande unité, ce n’est point cela qui est en cause ; mais cetteconfusion des organismes et des fonctions qui passe pour la condition même de l’efficacité, donc du succès !

    Les coalitions spectaculaires n’ont pourtant point manqué de notre côté. Qu’en est-il sorti ? La Révolution en a-t-elle été freinée ? Bien au contraire. Il semble qu’elle sut profiter de ce que ces obstacles avaient de fallacieux pour les franchir avec d’autant plus d’élan qu’ils lui avaient donné prétexte de réunir contre eux le ban et l’arrière-ban de ses suppôts.

    L’expérience n’a-t-elle pas été assez concluante ?Rassemblements formés à la hâte autour de quelque personnage de renom, mais sans unité doctrinale et stratégique. Sans préparation sérieuse. Sans cadre sûrs. Aucun travail, sinon bâclé, pour sous-tendre de façon durable le gonflement d’effectifs enregistré dès les débuts.

    C’est la conquête unifiante des esprits qui assure les grandes victoires, non l’unitarisme matériel de l’organisation…Le style d’action qui tend à réserver le monopole d’une idéologie au rayonnement d’un seul organisme, est, par conséquent, le plus stérile qui soit. » A suivre….

    Lire et télécharger dans son intégralité le le chapitre VII - Formules d'action massives  dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre une initiative qui corresponde à vos « talents » contacter le service d’information d’IchtusCe livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Michel Janva

  • Les tares de l’opposition nationale

    L’action entreprise depuis l’échec d’avril 1961 a mis en œuvre des moyens nouveaux. Elle a mobilisé un nombre accru de partisans et s’est résolument engagée dans la voie de la violence et de la clandestinité. Cette transformation des formes de lutte n’a cependant pas affecté des données de la méthode antérieurement appliquée. Elle est restée conforme aux caractéristiques des luttes « nationales », jalonnées de courage et d’échecs lamentables. 

         Lénine, prenant en 1917 les risques d’une défaite militaire afin de créer les conditions de la révolution bolchévique, ou encore Franco, marquant sa prise de commandement insurrectionnelle en 1936 par l’exécution de son propre cousin qui refusait de le suivre, sont deux exemples d’un comportement inverse de celui des « nationaux ». 

         Par contre, le refus de porter réellement l’action en métropole le 22 avril 1961, comme la sanglante et inutile manifestation parisienne du 6 février 1934, sont typiques de la mentalité « nationale ». 

    DEFAUT DE CONCEPTION 

    Les « nationaux » qui utilisèrent le mot « révolution » sans en connaître la signification, croient au « sursaut national » spontané ! Ils croient également que « l’armée bougera »... Confiants dans ces deux rêves irréalisables, considérés comme des remèdes-miracles, ils ne conçoivent pas la nécessité d’éduquer des partisans au moyen d’une doctrine juste expliquant les causes de la décadence occidentale, proposant une solution et servant de gouvernail à la pensée dans l’action. C’est pourquoi, ils se complaisent dans une série de maladies politiques qui sont responsables de leurs échecs. 

    Confusion idéologique 

    Les « nationaux » s’attaquent aux effets du mal, pas à ses racines. Ils sont anticommunistes mais oublient que le capitalisme et les régimes libéraux sont les principaux artisans de la propagation du communisme. Ils étaient hostiles à la politique algérienne du gouvernement, mais oublient que cette politique était le produit d’un régime, de son idéologie, de ses intérêts, de ses maîtres réels financiers et technocrates, comme de ses structures politiques et économiques. Ils voulaient sauver l’Algérie française contre le régime, mais ils reprennent à leur compte ses principes et ses mythes. Imagine-t-on les premiers chrétiens adorant les idoles païennes et les communistes chantant les louanges du capitalisme ? 

    Conformisme 

    Tous les « nationaux » ont leur bon gaulliste, leur bon technocrate, leur bon ministre. Cédant à un vieux réflexe bourgeois, ils redoutent « l’aventure » et le « chaos ». Pour peu qu’un homme du régime agite le drapeau, ils lui donnent leur confiance. Ils préfèrent le confort de l’aveuglement à la lucidité. Le sentimentalisme et l’esprit de clocher prennent toujours le pas sur le raisonnement politique. Dans l’espoir niais de satisfaire tout le monde, ils se refusent à prendre parti et ne satisfont personne. 

    Archaïsme 

    Faute d’imagination, les « nationaux » continuent à emboucher le clairon de Déroulède qui n’ameute plus personne. Programme et slogans sont fixés dans le tricolore d’avant-guerre. De l’armée au pouvoir à l’anticommunisme négatif, en passant par la contre-révolution et le corporatisme, les « formules nationales » repoussent plus qu’elles ne séduisent. Cet arsenal politique date d’un demi-siècle. Il est sans prise sur notre peuple. 

    DEFAUT D’ORGANISATION 

    Les raisons qui poussent les « nationaux » à nier la nécessité des idées dans le combat politique, les poussent à nier la nécessité de l’organisation. Leur action est viciée par des tares qui expliquent tous leurs effondrements. 

    Opportunisme 

    Les notables « nationaux », parlementaires et autres, militaires et civils, sont opportunistes par ambition personnelle. Le prétexte généralement invoqué pour camoufler leur arrivisme est celui de « l’habileté ». C’est au nom de l’habileté que les « nationaux » ont cautionné... le référendum de 1958, les entreprises de politiciens depuis lors. Derrière chacune de ces positions se dessinait la perspective d’un ruban, d’une sinécure ou d’une élection. Ils sentent le vent et savent se faire violents, voire séditieux quand cela leur apparaît profitable. Leurs discours fracassants ne font peur à personne. Ils attaquent un homme, un gouvernement et se gardent bien de toucher à l’essentiel et de s’en prendre au régime lui-même. L’Algérie fut un bon tremplin et une occasion de faire fortune grâce aux subsides généreusement dispensés, tandis que les militants devaient combattre les mains nues. Si le vent tourne, ils n’hésitent pas à trahir le drapeau et leurs camarades. Le siège au parlement n’est pas un moyen mais une fin en soi ; il doit être conservé à tout prix. Les simples partisans, eux, sont opportunistes par défaut de doctrine et de formation. Ils se fient à la mine du beau parleur et aux impressions superficielles plutôt qu’à l’analyse politique des idées et des faits, ils sont voués à être dupes. 

    Mythomanie 

    La lecture des romans d’espionnage, les souvenirs de la résistance et autres services spéciaux, le récit des comploteurs, gaullistes et autres, plongent les « nationaux » dans une atmosphère de rêve permanent. Un bridge avec un général en retraite, un parlementaire ou un sergent de réserve devient une sombre et puissante conjuration. Pour peu que l’on recrute dix lycéens, on se prend pour Mussolini. Quand on se vante de commander à 5000 hommes structurés, c’est que l’on rassemble péniblement quelques centaines de fonds de tiroir. Si, par chance, ils reçoivent une circulaire d’une quelconque administration militaire, ils montrent l’enveloppe avec des airs de conspirateurs, des sourires et des silences lourds de sous-entendus. Ils sont partisans de l’union autour d’eux et se répandent en amers reproches de sectarisme à l’encontre des militants qui se refusent à les prendre au sérieux. Les mêmes « nationaux » dans une période de véritables clandestins, se font arrêter avec des listes d’adresses et de documents, se mettent à table dès que la police lève la voix. 

    Terrorisme 

    La fausse analyse d’une situation, l’absence de doctrine et de formation qui poussent les uns vers l’opportunisme, jettent les autres dans la violence négative et le terrorisme. La mauvaise digestion des études pas trop primaires, consacrées à certains aspects de la subversion communiste du F.L.N., a accru ce penchant. Les pétards sous les fenêtres des concierges n’ont pas apporté un seul partisan à l’Algérie française. Le terrorisme aveugle est le meilleur moyen pour se couper d’une population. C’est un acte désespéré. Autant l’action clandestine et l’utilisation calculée de la force peuvent être indispensables lorsqu’une nation n’a plus d’autres moyens pour rentrer dans son droit, et dans ce cas l’action vise à faire participer le peuple à la lutte, autant le terrorisme rejette celui qui l’emploie hors de la communauté populaire et le condamne à l’échec. 

    Anarchisme 

    Les « nationaux » qui admirent tant la discipline chez les autres sont, en pratique, de véritables anarchistes. Incapables de se situer à leur place dans la lutte, ils ont le goût de l’action désordonnée. Leur vanité les pousse aux actes individuels gratuits, leur cause dût-elle en pâtir. Ils ignorent la parole donnée et nul ne peut prévoir où les entraînera leur fantaisie. Ils suivent à la rigueur un chef de bande et s’épanouissent dans les petits clans. L’absence de référence idéologique commune accroît leur éparpillement et interdit leur unité. 

    Dominique Venner, Pour une critique positive

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/les-tares-de-lopposition-nationale.html

  • Conférence Dextra : La nouvelle opinion publique

     

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    Adrien Abauzit avocat et auteur de « né en 1984″ viendra nous entretenir de la nouvelle opinion publique. Et comment elle a été créé et influencé. Adrien Abauzit avocat et auteur de « né en 1984″ viendra nous entretenir de la nouvelle opinion publique. Et comment elle a été créé et influencé.

    Nous vous attendons nombreux au El Siete, 283 rue Saint Jacques à 19 h 30 !

  • [Vidéo] Quand les Français acclament la monarchie

    Merci au Salon Beige !

    A son arrivée sur la plage de Ouistreham vendredi 6 juin, la reine Elisabeth II a été littéralement ovationnée par la foule des chefs d’Etat, ministres, élus locaux, vétérans, figurants normands qui ont se sont levés et ont applaudi à tout rompre. 

    La France a coupé la tête de son roi il y a plus de deux siècles. Elle n’en reste pas moins admirative de la monarque de 88 ans. Le modèle républicain serait-il usé ?

    La suite ici

  • Présent ne répond pas aux critiques d'Yves Chiron

    Francis Bergeron, animateur du comité de pilotage du quotidien Présent, publie dans le numéro de mercredi un texte (en accès libre), qui a déjà été diffusé sur les réseaux ce week-end. On y lit notamment

    "la signature de trois de nos journalistes n’apparaît plus, actuellement : Jeanne Smits, Olivier Figueras et Rémi Fontaine. Du coup, les plus absurdes supputations courent sur leur sort. En principe, par discrétion nous n’évoquons pas les questions de santé de nos collaborateurs. Mais dans Présent daté de samedi nous avons été obligés, pour la première fois et pour tenter d’enrayer cette folle rumeur, d’indiquer que ces trois piliers du journal font toujours partie de la rédaction. Mais Rémi Fontaine est en arrêt maladie depuis deux mois, Jeanne Smits depuis trois mois et Olivier Figueras depuis quatre mois. Nous leur souhaitons bien évidemment un bon et rapide rétablissement. D’autant que leurs compétences font gravement défaut au journal."

    Que leurs compétences fassent défaut au journal, c'est le moins que l'on puisse écrire... On se demande en effet quelle est cette mystérieuse épidémie qui atteint simultanément 3 plumes historiques de Présent.

    De son côté, Yves Chiron, auteur d'un texte sur les raisons de sa démission du quotidien, ne trouve pas de réponse à ses 2 principales critiques.

    Michel Janva

  • Présent ne répond pas aux critiques d'Yves Chiron

    Francis Bergeron, animateur du comité de pilotage du quotidien Présent, publie dans le numéro de mercredi un texte (en accès libre), qui a déjà été diffusé sur les réseaux ce week-end. On y lit notamment

    "la signature de trois de nos journalistes n’apparaît plus, actuellement : Jeanne Smits, Olivier Figueras et Rémi Fontaine. Du coup, les plus absurdes supputations courent sur leur sort. En principe, par discrétion nous n’évoquons pas les questions de santé de nos collaborateurs. Mais dans Présent daté de samedi nous avons été obligés, pour la première fois et pour tenter d’enrayer cette folle rumeur, d’indiquer que ces trois piliers du journal font toujours partie de la rédaction. Mais Rémi Fontaine est en arrêt maladie depuis deux mois, Jeanne Smits depuis trois mois et Olivier Figueras depuis quatre mois. Nous leur souhaitons bien évidemment un bon et rapide rétablissement. D’autant que leurs compétences font gravement défaut au journal."

    Que leurs compétences fassent défaut au journal, c'est le moins que l'on puisse écrire... On se demande en effet quelle est cette mystérieuse épidémie qui atteint simultanément 3 plumes historiques de Présent.

    De son côté, Yves Chiron, auteur d'un texte sur les raisons de sa démission du quotidien, ne trouve pas de réponse à ses 2 principales critiques.

    Michel Janva