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culture et histoire - Page 1544

  • Cristeros continue son épopée au cinéma

    Les producteurs de Cristeros annoncent que pour sa 3ème semaine de programmation, le film  a fait plus de 55.000 entrées. Il sera encore à l’affiche pour la 4ème semaine dans 67 salles en France mais pour la plupart, il n’y aura plus qu’une séance et cela risque d’être la dernière semaine.

    Pour les producteurs, il est désormais facile de programmer le film dans une salle même pour une ou deux séances. Il suffit de justifier un groupe de trente personnes et de contacter la salle de cinéma du village. Il en est de même pour toute aumônerie ou école privée qui voudraient organiser des séances.

    http://medias-presse.info/cristeros-continue-son-epopee-au-cinema/10930

  • Pèlerinage de Chartres à Paris

    ACe week-end de Pentecôte verra aussi le pèlerinage de Notre-Dame de Chartres à la place Vauban à Paris, organisé par l'association Pèlerinage de Tradition, proche de la Fraternité Saint Pie X. Le thème de cette année est "Ô Croix, notre victoire ! La Victoire de l’Agneau".

    Cette marche se terminera le lundi de Pentecôte, à l’arrivée dans Paris, par une grande procession du Saint-Sacrement depuis le Carrefour des Cascades du Bois de Boulogne jusqu’à la place Vauban où sera célébrée la messe de clôture du pèlerinage. L’ostensoir du Saint-Sacrement porté par un prêtre, au sommet d’un char, sera accompagné par plus de 600 enfants de chœur et plus d’une centaine de prêtres, religieux et séminaristes.

    Plusieurs milliers de pèlerins venant de toutes les régions de France, de toute l’Europe, mais aussi des Etats-Unis, du Mexique, des Philippines, du Japon, de Madagascar… formeront cette imposante procession qui traversera l’ouest parisien du Bois de Boulogne (14h), en passant par La Muette (14h30), le Trocadéro (14h50), le Pont d’Iéna (15h20) et l’avenue de La Bourdonnais (15h40), jusqu’à la Place Vauban (16h).

    Programme de ce pèleirnage :

    • Samedi 7h45 : Messe derrière la cathédrale de Chartres, dans les jardins de l’évêché, célébrée par l’abbé Patrick de La Rocque et à 21 h 45 : veillée des adultes au Bivouac des Greffiers (Rambouillet)
    • Dimanche 18h00 : Messe pontificale célébrée par Mgr Alfonso de Galarreta, au Bivouac Saint-Lubin sur la commune de Noisy-le-Roi
    • Lundi à 12h00 : Déjeuner au Bois de Boulogne, Porte de l’Hippodrome. 16h30 : Messe solennelle sur la place Vauban, derrière les Invalides, célébrée par l’abbé Régis de Cacqueray.

    Michel Janva

  • DIE "Diffusion International Edition"

     

    Aperçu du Catalogue

    Catalogue

     

    Histoire
    Shoah story - Mystérieuse légion étrangère - Le mystère du coeur de Saint Louis - A quoi sert l"histoire. L'Antichristianisme juif.
    Livres pratiques
    Le vinaigre produit miracle - Le vin essence de vie - Le riz symbole de bonheur et de fécondité - A la découverte de l'escargot.
     
    Vérité
    Le journal d'Oussama Ben L - La convergence des catastrophes - L'instant qui à transformé leur vie - Jehane nommée d'Arc née et morte sous Y - Iran le mensonge - Corse le terrorisme - Code TL825 Mesrine .
    Couture
    Univers mannequin
     
    Photos
    Spasmes
    Paris titi
    Ca c'est Paris
     
    Spiritualité
    La femme de dieu.
    Roman
    JIHAD 3 jours avec Cyril.
     
    Sport
    L'appel du champion.
    Hors catalogue
    Présidentielles 2002
     

    http://die-livres.com/shop/catalog/browse?sessid=YlMvKzS1oqBjk8WT13UpcLEzR61zLcNwjn5v9zgFH0aQehi0AFBg9Pe6LzbjJJ5R&shop_param=

  • LE MENSONGE DE LA LÉGENDE GAULLISTE

    À la veille du 18 juin, il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

    C'est à partir de 1916 que l'on commence à parler d'un certain De Gaulle.

    Légèrement blessé au genou au début de la guerre, “cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne (...) une chance, car celle-ci s'est traduite par une hécatombe d'officiers subalternes dont il eût fort risqué d'être victime" .

    "De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord.

    "Les fonctions qu'il occupe dans l'État major régimentaire

    vont le tenir à l'arrière des premières lignes".

    Derrière la prudence d'Yves Amiot (1), se dessine déjà le jeune De Gaulle :

    Éviter les coups et rester près de l'autorité supérieure.

    Tel est l'homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d'infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.

    Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle fait hisser le drapeau blanc...

    Contrairement aux autresofficiers français, les Allemands ne lui rendirent pas son épée et De Gaulle qui s'en étonnait,  s'entendit répondre froidement, "c'est parce que vous vous êtes rendu sans combattre" ... !

    Ce “détail” du parcours de De Gaulle, je l'avais entendu avec mon père, une première fois au Portugal de la bouche d'un commandant de l'armée française.

    Plusieurs années plus tard, le comte Aymer de la Chevalerie, le généreux donateur des locaux de Chiré-en-Montreuil, nous donnait les mêmes détails, sans que ces deux hommes se soient connus.

    Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.

    Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là.

    L'ambition maladive de De Gaulle allait l'amener à s'approprier une étude d'État-major sur l'avenir de l'arme blindée en le publiant sous son seul nom.

    Le général Spears et sa «recrue», De Gaulle

    Le Président Lebrun

    Réprimandé par Pétain, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l'ensemble de l'armée française qui le méprisait.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la prétendue victoire de Montcornet le 17 mai 1940 attribuée après la guerre à De Gaulle, ne fut qu’une nouvelle reculade de sa part.

    Dès les premiers engagements il fit reculer la 4e division cuirassée qu’il commandait.

    "Charles de Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de coup d'oeil et d'invention"..., commentait Jean Lacouture (2), dans son De Gaulle, Édition Le Seuil.

    Et dans Hitler der feldherr (3), traduit en français sous le titre Hitler, chef de guerre, Editions Arthaud, Gert Bucheit confirmait :

    "Le 15 mai, le corps blindé Guderian et le 1éème Panzer Corps atteignit Montcornet à 70 km de Sedan.

    " On pouvait supposer que le haut commandement allemand ne se contenterait pas d'une simple tête de pont sur la Meuse.

    Pourtant, le général Von Kleist donna l'ordre de s'arrêter ".

    Moncornet, n’est donc qu’un clone de la pseudo victoire de Valmy du 20 septembre 1792.

    L’invention d’une victoire pour créer la saga de la Révolution, comme celle de De Gaulle.

    Ce fut pourtant la guerre de 40 qui allait lui donner la chance dont il rêvait.

    Les Anglais qui avaient besoin d'un képi à opposer au prestige et l'action du Maréchal, envoyèrent le général Spears de l'Intelligence service, débaucher le vaniteux De Gaulle ulcéré de ne pas avoir été pris dans le gouvernement Pétain.

    Tel fut le début de la légende du "glorieux résistant", De Gaulle et là encore l'Histoire officielle est menteuse, car De Gaulle n'a jamais été nommé général.

    La saga résistantialiste occulte que ce fut Albert Lebrun, président de la République, qui signa le 23 juin 1940, le décret de mise à pied de De Gaulle pour cause de désertion :

    Au Journal Officiel, 24 juin 1940, paraissait ce texte du Ministère de la Défense :

    - "Par décision ministérielle du 22 juin 1940, la promotion au grade de général de brigade à titre temporaire, de M. le colonel d'infanterie breveté De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est annulée".

    - "M. le colonel d'infanterie breveté d'état-major De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est admis d'office à la retraite, par mesure de discipline".

    La "Libération-Épuration" sera pour De Gaulle allié aux responsables de la Débâcle, l'occasion de créer sa «légende», donc celle de sa prétendue «victoire de Montcornet», qui n’eu pas plus de réalité historique que la «victoire» de Valmy pour la Révolution dite française, comme on l’a vu plus haut...

    Elle sera aussi l’occasion de régler ses comptes avec l’armée qui le méprisait depuis sa capitulation de 1916 et contre les pétainistes.

    Comme l’avouait Robespierre au Club des Jacobins pour justifier la Révolution :

    «Si Louis est innocent, c’en est fait de la Révolution».

    De même, De Gaulle était amené à proclamer Philippe Pétain «traitre», pour que lui De Gaulle et ses alliés ne le soient pas !

    Les crimes de la Résistance gaullo-communistes furent tels que le Père Panicci dans son sermon du dimanche des Rameaux 1945, à Notre Dame de Paris, dénonçait "ce régime d'abattoir".

    Des documents médicaux de l'époque, permettent de mesurer l'horreur des tortures infligées par les "patriotes", FFI, FTP, et autres "milices patriotiques" (4) :

    "Poils brûlés au briquet, bougies allumées dans l'anus, pointes des seins coupées, dents cassées, brûlures électriques dans le vagin, l'anus, la plante des pieds, coups de barre de fer, sections des doigts, arrachages d'ongles, lésions de marche ou reptation sur du verre, brûlures pour "cautériser" les plaies , aspersion d'essence et mise à feu, enfoncement de la cage thoracique, du crâne, avec lésions méningées, cérébrales, de la moelle épinière - c'est ainsi qu'allait mourir dans d'atroces souffrances le constructeur Louis Renault - lésions de l'oeil, viol de femmes et de fillettes, promenées nues".

    Le «féal» des Anglais, De Gaulle aux coté de Churchill

    Il faut rappeler le martyre de l'amiral Platon, chargé par le maréchal Pétain de surveiller les sociétés secrètes interdites par Vichy qui, renvoyé par Laval dans sa propriété du sud-ouest, y fut torturé et mis à mort par des résistants en l'écartelant entre des tracteurs (5).

    Avec celui du comte Christian de Lorgeril , héros de la guerre de 1914, on atteignait les sommets de la barbarie.

    Le quotidien démocrate-chétien du MRP, L'Aube, 16.11.1950, quelque peu gêné du comportement de ses alliés, rapportait les faits :

    "Arrêté pour ses idées monarchistes le 22 août 44, complètement nu, le malheureux dut s'asseoir sur la pointe d'une baïonnette, puis il eut les espaces métacarpiens sectionnés, les pieds et les mains broyés, le thorax et le dos transpercés par une baïonnette rougie au feu, puis on le réanima pour lui verser du pétrole enflammé sur les plaies".

    "Il ne devait mourir que 55 jours plus tard dans des souffrances de damné" (6).

    C'était le temps où le démocrate-chrétien P.H.Teitgen, Garde des Sceaux de De Gaulle, répondait aux communistes qui trouvaient l'Épuration insuffisante :

    "Messieurs, Par rapport à nous, les Grands Ancêtres étaient des enfants de coeur"... et à ceux qui déploraient la guerre civile, De Gaulle répondait :

    "Messieurs, la guerre civile où est la guerre civile" ?! (4).

    Tel fut l’homme auquel Fred Zeller, ancien Grand Maître du Grand .'. Orient .'., rendait hommage dans Europe Parlement en rappelant le "mot" de De Gaulle, à la Libération :

    "Je vais redonner la République à la France, il n'y a aucune raison pour que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons" et Zeller reconnaissait :

    Il nous a redonné force et vigueur".

    Tel était l'individu pour lequel tant de "nationaux", de Rivarol, à Tixier-Vignancour et à Le Pen, entre autres, ont voté au référendum de 1958 et dont la suite de sa "carrière", allait confirmer l'ignominie.

    Dès son arrivée au pouvoir à Alger, il rétablissait, le décret Crémieux abrogé par Vichy.

    Ce décret redonnait unilatéralement et en bloc la nationalité française aux seuls Juifs, alors que comme en 1870 les musulmans venaient de se battre pour la France.

    Les conséquences ne se firent pas attendre et François d'Orcival rappelle, Valeurs actuelles, 13.5..05 :

    "Le 1er mai 1945, les manifestants à Alger, Oran, Mostaganem, criaient "À bas la France, à bas les Juifs", tandis que la police tire sur eux".

    De même, lors des émeutes du 9 au 14 mai, les émeutiers criaient de façon révélatrice :

    "À bas De Gaulle, serviteur de la juiverie"."À bas Churchill et les Juifs".

    Comme en 1870 les marxistes Adrien Texier ministre de l'Intérieur et Charles Tillon , ministre de l'Air, massacreront des milliers de civils musulmans, traités d' "hitlériens" !!!

    C'est dire si le facteur juif était fondamental dans l'insurrection contre la France, devenue aux yeux des musulmans, un occupant au service de la communauté juive.

    Cela aucun des nostalgiques de l'Algérie française ne le rappelle !

    Ils n'ont toujours rien compris aux causes premières de la perte de l'Algérie.

    La férocité de la répression des gaullo-marxistes, comme celle du gouvernement Thiers tenu par les Rothschild en 1870, est suspecte, comme si, comme en 1870, les dirigeants de 1945 avaient voulu créer l'irréparable avec la communauté musulmane, pour la dresser contre la France.

    On connaît la suite :

    La trahison de De Gaulle rappelé en "sauveur" par les Français d'Algérie, l'armée française et applaudi par les "nationaux" d'alors.

    Pour comprendre leur naïveté, il faut rappeler comment De Gaulle s’est vanté dans ses Mémoires d'Espoir, de les avoir trompés :

    “Si de but en blanc j'affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire".

    "Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manoeuvrer", p. 60-61.

    Ayant réussi à amener l'armée à capituler, l'autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le général Katz aux origines juives, sera de livrer les harkis.

    Le télégramme secret du 16.5.1962, N° 125/IGAA, ordonnait :

    "Le ministre d'État Louis Joxe demande au Haut commissariat de rappeler que toutes les initiatives individuelles tendant à l'installation( en ) Métropole ( de ) Français musulmans sont strictement interdites".

    Une nouvelle directive de Joxe, du 15 juin 1962, enjoignait :

    "Vous voudrez bien rechercher, tant dans l'armée que dans l'administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et de faire prendre des sanctions appropriées".

    "Les supplétifs débarqués en Métropole seront renvoyés en Algérie".

    "Je n'ignore pas que ce renvoi peut être interprété comme un refus d'assurer l'avenir de ceux qui sont restés fidèles, il conviendra donc d'éviter de donner la moindre publicité à cette mesure".

    Même Alain Rollat reconnaissait, Le Monde 7.8.91 :

    "Dès le mois de juillet 1961, l'armée française commence à désarmer les harkis" "leur désarmement avait été promis au FLN par les autorités Françaises".

    "Ils seront exécutés avec leurs femmes et leurs enfants".

    Ces massacres "varient selon les sources, de 30.000 à 150.000, les harkis et leurs familles ont été victimes d'atrocités en tous genres, avant même la proclamation de l'indépendance, sans que les autorités françaises interviennent"...

    Ainsi, les Musulmans comme les Français ont été victimes du même complot mondialiste cosmopolite.

    On juge de la déliquescence de la "mouvance nationale" par son silence et son adulation d'un Le Pen qui se présente "comme seul héritier du gaullisme"Rivarol , 29.1.99 et qui, avant même son discours d'Argenteuil, prônait "une France multiculturelle etmultconfessionnelle",

    Ouest-France , 3.9.99.

    Or, toute la politique française actuelle découle des conséquences de cette politique gaulliste aux ordres du mondialisme.

    Voilà pourquoi, il urge de faire le ménage dans les rangs de cette pseudo droite nationale et de tirer les leçons de l'Histoire.

    Dont celle de la légende de De Gaulle, faux patriote, militaire lâche, capitulant aux étapes clés de notre histoire, n’ayant réussi à s’imposer que par la politique aux ordres des lobbies. 

    Du De Gaulle de 1916, à celui se mettant à l’abri à Londres aux ordres des Anglos-américains, au fuyard à Baden-Baden allant se mettre sous la protection du général Massu, en mai 68, c’est le mêmer homme.

    Chacune de ses fuites, de ses désertions, explique l’homme et son action contre la France.

    P. P. d' Assac

    (1) Yves Amiot . La Capture . Editions Ulysse,

    (2) Jean Lacouture, De Gaulle, Édition Le Seuil.

    (3) Gert BucheitHitler der feldherrtraduit en français sous le titre Hitler, chef

    de guerre, Éditions Arthaud,

    (4) J-P Abel. L'Âge de Caïn . Les Editions Nouvelles.

    (5) André Figueras. Onze Amiraux dans la Tourmente. DPF.

    (6) Henry CostonLe Livre Noir de l'Epuration . Lectures Françaises, 1964.

    Extrait de La Politique, N° 84, juin 2008

  • LE PROCÈS DE CHARLES MAURRAS

    Certains s’étonnent encore, ou feignent de s’étonner, soixante-dix ans après les faits, que Charles Maurras, le contempteur le plus acharné du germanisme, ait pu être condamné en 1945 après avoir été accusé d’ "intelligence avec l’ennemi". Ceux qui s’indignent de cette condamnation ignorent sans doute que la Deuxième Guerre mondiale n’a pas tant été une guerre entre nations qu’une guerre de religions, et la plus sanglante de toutes. Les querelles entre les nations européennes, si l’on regarde bien, sont à reléguer à l’arrière-plan, loin derrière les enjeux planétaires qui opposent, aujourd’hui encore, les peuples libres aux fanatiques du globalisme et de l’unification mondiale.

    On ne comprendra jamais rien au XXe siècle sans remonter d’abord à la révolution bolchevique de 1917, et à toutes ces atrocités commises par une poignée de juifs (Lénine, Trotsky, Kamenev, Zinoviev, Sverdlov, etc.) à l’encontre des chrétiens de Russie : 30 millions de morts, au bas motsur une trentaine d’années. Hitler, à juste raison, s’était opposé à la domination du judéo-communisme en Allemagne. Il s’était aussi opposé aux démocrates socialisants, qui avaient laissé l’Allemagne entre les mains des agitateurs cosmopolites et des financiers internationaux.

    En 1945, la minuscule Allemagne était écrasée par la monstrueuse coalition des quatre plus grands empires de la planète : l’Empire américain, l’Empire soviétique, l’Empire britannique et l’Empire français ; tout quatre travaillés de l’intérieur par des financiers juifs, des politiciens juifs, des journalistes juifs, dont le seul but avait été l’écrasement de l’Allemagne hitlérienne.

    Dans ces conditions, on comprend mieux la condamnation de Charles Maurras, qui a évidemment été jugé, d’abord et avant tout pour avoir osé critiquer les juifs avant et pendant la guerre.

    En avril 1925, quatre militants patriotes avaient été tués par des communistes. Le 9 juin 1925, dans L’Action française, Maurras se lâchait contre Abraham Schrameck, ministre de l’Intérieur, qui venait d’interdire le port d’armes.

    “ J’ai vu, sur leurs civières, sur leur lit d’hôpital, le corps inanimé de Marius Plateau, de Philippe Daudet et d’Ernest Berger. Deux de ces bons Français ont été tués, en partie à cause de moi. [...] J’ai vu les yeux rougis et les poings serrés d’une pieuse multitude française gonflée des révoltes de la justice, des sentiments de la plus sainte des vengeances. Cette foule énergique n’attendait qu’un signe de nous, j’oserais presque dire un signe de moi, pour se ruer sur les responsables et les châtier. J’ai cru de mon devoir de m’interdire ce signe et d’arrêter cette colère. (…) Mais vous êtes le Juif. Vous êtes l’Etranger. Vous êtes le produit du régime et de ses mystères. Vous venez des bas-fonds de police, des loges et, votre nom semble l’indiquer, des ghettos rhénans. (…) vous êtes ainsi devenu, monsieur Abraham Schrameck, l’image exacte et pure du Tyran qui a exercé de tout temps son droit contre les peuples opprimés. (…) Et, comme voici vos menaces, monsieur Abraham Schrameck, comme vous vous préparez à livrer un grand peuple au couteau et aux balles de vos complices, voici les réponses promises. Nous vous répondons que nous vous tuerons comme un chien.

    Dans Mes Idées politiques, publié en 1937, Maurras avait cité le polémiste Henri Béraud :

    “Peut-on se rappeler sans frémir que le premier chambardeur de la Russie s’appelle Kerensky ; que la chambardeuse de l’Italie s’appelle Rosa Italie ; que le chambardeur de la Bavière s’appelle Kurt Eisner ; que le chambardeur de l’Italie s’appelle Otto Bauer ; que le chambardeur de la Hongrie s’appelle Bela Kun ; que le chambardeur de l’Italie s’appelle Claudio Trèves et que le chambardeur de la Catalogne s’appelle Moise Rosenberg «  et que tous «  ont un maître unique, Marx ?"

    Et il ajoutait immédiatement : Agitateurs ou idéologues, ou les uns et les autres, attestent la même pression violente de l’Orient sémite sur un Occident qu’elle dénationalise avant de le démoraliser. Ce messianisme de Juifs charnels, porté au paroxysme par sa démence égalitaire, prescrivant de véritables sacrifices humains, a tout osé pour imposer une foi absurde et, quand vient l’heure du désespoir inéluctable, l’énergumène juif casse tout.

    Le 17 janvier 1944, il critiquait le Comité français de la libération nationale (CFLN) parce que “son premier acte serait de rendre aux juifs l’intégralité des biens dont ils n’ont cessé de nous dépouiller pendant cent cinquante ans.”

    Le 2 février, dans un paragraphe titré “menaces juives”, il dénonçait avec force les manigance des juifs du monde entier : Le rôle joué par la juiverie des deux mondes entre Moscou, Londres et New York doit être observé de plus près que jamais. C’est à elle que remonte une grande part de la responsabilité de la guerre. C’est par elle que tient la paradoxale alliance de l’Amérique, de l’Angleterre et des Soviets. Et il poursuivait : “Nous disons plusieurs fois par semaine que la meilleure manière de répondre aux menaces terroristes est de leur opposer une légitime contre-terreur. L’axiome est applicable aux violences de parole et d’attitude dont se rendent coupables les hordes juives : le talion.”

    Dans sa biographie de Maurras (2006), l’ignoble Stéphane Giocanti se couche devant ses maîtres, et ose parler de “l’aveuglement catastrophique de Maurras”, d’“obstination coupable” : “Maurras délire, parfois avec un accent paranoïaque, en dévoilant l’irrationnelle xénophobie qu’abritait la théorie de l’antisémitisme d’État.” (pages 447, 448).

    Le procès de Charles Maurras se tint du 21 au 27 janvier 1945. Il avait été "arrêté en 1944 par le Commissaire du gouvernement à Lyon, Yves Farge (Elie Cohen) nommé par De Gaulle (et révélé être du KGB)", écrit l’Ancien Camelot du roi François Marie Algoud (Actualité et présence de Charles Maurras (tome II, page 66). Il imposa alors à ses juges, pendant sept heures, la lecture de son mémoire.

    Dans notre livre sur La Guerre eschatologique, nous avons aussi cité ce passage, tiré du livre d’Henri Amouroux (La Page n’est pas encore tournéeLa grande histoire des Français après l’Occupationjanvier-octobre 1945, Robert Laffont, 1993, p. 479).

    Au président qui lui faisait la leçon, Maurras avait ainsi répliqué : “Monsieur le président, la prochaine fois, je dirai à mes lecteurs : si les juifs vous menacent, ne les menacez pas, parce que les juifs sont chez eux, tandis que vous, vous n’êtes pas chez vous. Je leur dirai : Écoutez tout, supportez tout, ne posez même pas un regard sur eux, parce qu’ils sont vos maîtres et vos rois. C’est-à-dire qu’à l’occupant allemand nous substituerons un autre occupant, l’occupant juif. ” 

    François Marie Algoud écrit encore que Maurras avait finalement lancé au président : Pour moi, cela m’est égal, je suis un vieil homme : douze balles dans la peau ou rien… ce n’est rien du tout ! J’ai consacré à la France ma vie, mes sueurs, mes forces. Si je pouvais lui donner mon sang, je vous assure que rien ne serait plus glorieux ni plus agréable pour moi. (page 43).

    Maurras s’était comporté en bon Français, et avait affronté la justice républicaine comme un héros de notre histoire.

    À 77 ans, il fut condamné à la réclusion à perpétuité pour “intelligence avec l’ennemi”. Il resta 2749 jours en prison, avant de mourir à l’âge de 84 ans.

    François Marie Algoud est mort le 5 janvier 2012. Après la parution des Espérances planétariennes, en 2006, il nous avait envoyé son livre, avec une carte sur laquelle est écrit : “Avec mes vifs remerciements pour votre extraordinaire travail.”

    Il y aurait donc encore des royalistes fidèles à la pensée de Charles Maurras.

    Affaire à suivre !

    Hervé Ryssen

    http://rvrsn.wordpress.com/2013/07/01/le-proces-de-charles-maurras/

  • Territoires, le proche et le lointain

    La figure de saint Louis est emblématique de la manière capétienne, qui consiste à construire obstinément la France, à l'inventer. Comme le souligne Jean-Christian Petitfils : « Pendant des siècles l'Etat royal a construit la nation, agrégeant patiemment autour de l'Ile-de-France des territoires périphériques n'ayant au départ nulle vocation à s'y intégrer. Ainsi est née la France, miracle de l'histoire plus que de la géographie » (Le Figaro, 14 mai 2014). Cette agrégation répond à plusieurs logiques.

    Une logique défensive du fief capétien, perpétuellement convoité par les grands féodaux, au premier rang desquels les Plantagenêt. Le traité de Paris, en 1259, met fin à cette guerre contre l'Angleterre sur la base de concessions territoriales réciproques. Si Louis IX est capable de prendre les armes, il entend surtout consolider une position et poursuit une diplomatie où le recours à la force n'est utilisé qu'en dernier recours. De 1242 (victoire de Saintes) à 1259, il rachète des droits (Blois et Chartres), impose son autorité aux Poitevins et ne combat pas, préférant abandonner le Roussillon pourvu que le roi d'Aragon renonce à la Provence, ou troquant la suzeraineté du Sud-Ouest pour conserver les pays de la Loire.

    L'extinction des guerres privées

    Une logique politique dans la promotion constante d'un modèle capétien qui unifie en permanence le royaume : unité monétaire, unité fiscale, unité judiciaire, bien sûr, mais aussi unité pacifique, avec la reconduction en 1245 de la Quarantaine-le-Roi, ordonnance de Philippe-le-Bel exigeant quarante jours de négociations avant que deux parties n'en viennent à la guerre, sous peine de crime de lèse-majesté.

    Une logique généreuse, enfin, qui induit une double diplomatie. D'une part, Louis IX s'efforce d'apaiser les conflits extérieurs : son statut de roi très puissant (la France est bien peuplée et sa chevalerie nombreuse et pas encore obsolète) l'autorise à être consulté comme à rester neutre, comme dans le conflit qui opposa l'empereur Frédéric II et le pape Innocent IV. De la même manière, et comme le rappelait Elie Hatem dans L'Action française (n° 2885), Louis IX accorde la nationalité française aux maronites. Le cas des Juifs est exemplaire : Louis IX mettra longtemps à appliquer les décrets romains, défendra les Juifs, répugnera à les bannir de France et d'ailleurs annulera ce décret. La souplesse du système permet une intégration progressive (jusqu'aux mesures de Louis XVI).

    D'autre part, il engage les septième et huitième croisades, pour la reconquête des lieux saints mais surtout pour la conversion des musulmans, dont le fascinant Saladin, saint Louis croyant fermement aux vertus civilisatrices de la chrétienté.

    Du temporel au spirituel

    Cette triple logique procède toujours du proche au lointain et s'efforce d'intégrer en permanence les territoires physiques comme les « territoires spirituels ». Le royaume de Louis IX est en équilibre dynamique perpétuel, en reconfiguration permanente, et cet état de fait sera maintenu jusqu'à nos jours, la reconfiguration pouvant être violente (Algérie et Alsace-Lorraine au XXe siècle) ou douce (Maroc et statut de Mayotte).

    La spécificité médiévale, qui prend aujourd'hui une résonnance toute particulière, est la souplesse du système. Car le monarque bénéficie d'un triple privilège : il hérite une situation, il a le temps, il peut se repentir.

    Un royaume dépassé

    Dans l'équilibre territorial physique, c'est la sédimentation des conflits qui permet leur résolution, et c'est le caractère personnel de la possession qui autorise des tractations aujourd'hui saugrenues : troquer une province contre une autre est devenu au fil du temps de plus en plus complexe. Un pouvoir désincarné n'a que deux solutions : l'abandon pur et simple, qui passe par une mise à mort symbolique du territoire, déchu de sa nationalité, ou la guerre à outrance, car aucune amputation n'est tolérable.

    Dans l'équilibre des territoires spirituels, le roi peut se permettre d'être à la fois un souveraintemporel et un sujet spirituel. La chrétientéinforme mais ne contraint pas (et la papauté perdinéluctablement tout pouvoir au fil des siècles),là où le droit international se prétend universel etse déshonore à chaque conflit. De même, saintLouis interdit l'ordalie et invente la supplicatio,c'est-à-dire l'adresse directe au roi: bel exemple d'intégration proche de la justice. Mais surtout, le roi a le loisir de se raviser : éloignées horsdes villes, les prostituées pourront se rapprocher.
    Cette dialectique d'un proche et d'un lointain constamment redéfinis mais toujours unifiés dans un même espace de pensée permet cemiracle français de la création continue duroyaume. Il ne jaillit pas d'un coup comme unconcept, il se développe comme un arbre gothique, poussant loin ses racines dans le sol ethaut son houppier dans le ciel.

    Hubert Champrun monde & vie 21 mai 2014 

  • Conférence Dextra : L'éducation que restera-t-il à nos enfants ?

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    Yseul Turan porte-parole des Antigones viendra nous parler de l’éducation et du devoir de transmission. Nous vous attendons nombreux au El Siete, 283 rue Saint Jacques à 19 h 30 !

    http://www.oragesdacier.info/

  • [Paris] Cercle du vendredi 06 juin

    Rendez-vous ce vendredi 6 juin à 18h30 aux locaux d’AF pour le cercle étudiant !

    "Vers quelle écologie ?, Critique de l’écologisme moderne."

    Au siège, 10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris

     
  • Noyau mou = pépin ! Comment constituer des noyaux durs pour l’action ?

    Pour se former et agir, lecture, cours et conférences sont des moyens précieux mais qui malheureusement n’engagent pas de façon profonde l’intelligence, la volonté, la mémoire et les passions.

    Jean Ousset dans la troisième partie de son livrel’Action au Chapitre 5 : Se rencontrer explique pourquoi le fonctionnement en cercles d’étude et d’action est si efficace. Extraits :

    « La formule des cercles d’études manque de charme. Elle est pourtant celle des « rencontres » les plus authentiques, les plus personnelles, les plus souples, les plus polyvalentes. Formule du vrai dialogue ; lequel est d’abord « un entretien, une conversation entre deux ou plusieurs personnes »… Des personnes !

    Personnes qui peuvent être en désaccord sur mille points, mais en profonde union sur mille autres. Voisins grincheux, peut-être, mais dont les épouses sympathisent, dont les enfants sont inséparables.Ce qui fait que le dialogue est toujours possible entre de tels êtres, parce qu’à ce degré et dans ces conditions le chrétien et le juif, le communiste et le passionné des Encycliques se connaissent sous d’autres traits que ces seuls là. Ils peuvent donc converser d’une façon tout à la fois plus large et plus souple. Sans se trouver comme immédiatement réduits au « champ clos » des oppositions ou séparations suggérées par un étiquetage sommaire. Cela permet de comprendre à quel point les structures grégaires de nos sociétés de masses peuvent être contraires aux conditions d’un vrai dialogue. Parce que, sous le joug d’un totalitarisme, envahissant, les institutions ne sont plus à mesure humaine. Si donc, comme on le prétend, la Cité, pour s’épanouir, doit être une « cité du dialogue », il est indispensable qu’elle soit riche en corps intermédiaires. Parce qu’il n’est de dialogue pleinement humain que dans ces micro-groupes. Parce quec’est dans ces groupes que les hommes se connaissent vraiment, « personnellement », qu’ils parlent mieux de ce qu’ils sont autant que de ce qu’ils savent. C’est dans cet esprit que cercles, cellules, groupes doivent être conçus. Petit nombre de personnes… qui acceptent de donner à leur propos un certain ordre, un sens, un tour plus précis, au lieu de s’abandonner au caprice anarchique des bavardages habituels.

    Les cellules et cercles dont nous parlons ne veulent être qu’une certaine systématisation …d’une culture méthodique de bonnes fréquentations, de bons entretiens. Combien forment ainsi des cercles sans même s’en douter dont un grain de systématisation suffirait à décupler le rayonnement bienfaisant !

    La difficulté ne tient donc pas au principe du cercle. Elle ne peut venir que du travail qu’on se propose d’y accomplir, de l’étude qu’on lui demande. Mais, sincèrement, croit-on qu’il soit possible, sans étude, sans travail, sans un effort de formation sérieuse, de mener à bien le combat dont il est question dans cet ouvrage ? …

    S’il est donc nécessaire de travailler, comment refuser d’admettre que le cercle d’étude soit certainement la meilleure façon, la plus vivante, de s’adonner au travail qu’il faut absolument accomplir.

    Dès lors, « ... Il est facile de le constater, l’effort de la recherche grave la vérité profondément dans l’esprit ; la joie que procure sa découverte la fait aimer. Et c’est à quoi tend la méthode des cercles... Elle fait un appel constant au travail personnel de tous ses membres, tous actifs (...) Il s’adresse à toutes les facultés, utilise toutes les capacités (...) Dans ces intimes et fréquentes réunions se nouent des amitiés solides (...) S’il est assez fréquent, l’activité qu’il suscite n’est pas intermittente, mais constante. Le travail personnel qu’il exige maintient d’une réunion à l’autre l’esprit en haleine... »

    Ces quelques mots permettent de comprendre la richesse de la formule :

    • Possibilité de faire se rencontrer les gens selon une bonne harmonie psychologique, leurs intérêts, leurs soucis communs.
    • Possibilité d’une bonne fréquence et, par là-même, d’une excellente continuité d’influence.
    • Soutien mutuel quasi spontané. A cette réserve près que le caractère d’intimité de la formule réduit sa force expansive. Le fait de se retrouver toujours peu nombreux peut être une occasion de lassitude, si rien n’est conçu pour la résorber (tel un congrès annuel par exemple).
    • Plus grande facilité d’intelligence de la doctrine.
    • Mode de réunion le moins onéreux.
    • Quant à la sécurité, si l’on comprend l’extrême souplesse de la formule, elle peut être invulnérable.
    • Quant au perfectionnement continu, la formule n’a-t-elle point pour elle le témoignage de tout ce qui, au cours de l’histoire, s’est fait de plus durable, de plus profond ? Est-il mode de réunion où l’autocritique puisse être à la fois plus efficace et amicale. Le cercle, en outre, ne déracine pas. Chacun peut s’y montrer « au naturel », sans changement d’allure, avec son langage familier. Sans ces transformations d’attitude ou de ton, qui sont le lot habituel des réunions plus vastes. »

    Lire et télécharger dans son intégralité le Chapitre 5 : Se rencontrer dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre un cercle contacter Ichtus. Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Michel Janva