culture et histoire - Page 227
-
2000 ans de tradition écologique et paysanne
-
Autopsies hâtives
Ce 5 mars n'aura pas seulement correspondu 70e anniversaire de la mort de Serge Prokoviev, mais le même jour à celui du départ vers l'enfer, où certainement il rôtit, de Joseph Vissarionovitch Djougachvili, plus connu sous le nom de Staline, - ou du moins de l'enveloppe corporelle de ce personnage démoniaque.
Rappelons ce qu'écrivaient alors en France les intellectuels de gauche, ceux qui ont façonné les esprits de générations presqu'entières d'universitaires, de technocrates, de journalistes, de professionnels des droits de l'Homme, de cinéastes et de politiciens. D'un terrible et consternant florilège publié en 2022 dans Le Figaro sous la signature de Jacques de Saint-Victor j'extrais ici quelques lignes significatives.
-
Codreanu, l’envoyé de l’Archange
Les éditions Reconquista Press ont réuni en un seul ouvrage le livre L’Envoyé de l’Archange publié en 1938 par les frères Jérôme (1874-1953) et Jean (1877-1952) Tharaud, prix Goncourt en 1906, membres de l’Académie française, au sujet de la situation en Roumanie et du charismatique capitaine Codreanu, ainsi que, sur le même sujet, les articles de l’écrivain et journaliste Lucien Rebatet parus dans l’hebdomadaire Je suis partout à l’automne 1938.
-
« Faf & Curious » - N°14 - Epona (05/03/2023)
-
Mémoire de la Vendée
Le succès cinématographique de "Vaincre ou mourir" pourrait surprendre certains. Largement mérité, selon votre chroniqueur, il dépasse la sphère des nostalgiques de la royauté et de la France traditionnelle. Annoncerait-il un retournement culturel contre la vague de destruction, dont le "wokisme" marque le point culminant ? Il serait sans doute prématuré de le présumer, tant est grande l'ignorance, l'occultation de l'histoire.
Les critiques du film portent parfois sur telle ou telle prestation d'acteurs, ou sur le centrage de sa dramaturgie sur le personnage de François-Athanase de Charette, l'un des chefs de l'insurrection des paysans de l'Ouest contre la dictature jacobine.
-
Le navet de BHL subventionné par France Télévisions
En une semaine, le film de propagande ukrainienne pour bobos de Bernard-Henri Lévy a fait 898 entrées dans toute la France. Quel exploit !
Mais pourquoi se soucier du public quand on a des amis bien placés ? BHL a ainsi pu compter d’une subvention de 300.000 euros accordée par France Télévisions et donc puisé directement de vos impôts.
-
Une nouvelle revue non-conformiste : OMERTA
En savoir plus cliquez ici
-
Fête de la Saint Martin et traditions populaires de nos régions
Le 11 Novembre nous fêtons la Saint Martin apôtre des Gaules. Surtout fêtée en Allemagne, la coutume est devenue plus marginale en France mais commence à renaître notamment dans le Nord et l’Est !
Jeune légionnaire romain Martin croisa à Amiens à l’hiver 334 la route d’un mendiant presque nu. N’ayant d’autre richesse que sa tenue de soldat, il trancha son manteau de son épée en deux parties et donna la moitié au pauvre. La nuit suivante, Jésus Christ lui apparut revêtu de la moitié du manteau donné au pauvre, ce qui le poussa à se faire baptiser puis à devenir moine. Le reste de son manteau, appelé « cape » fut placé plus tard, à la vénération des fidèles, dans une pièce dont le nom est à l’origine du mot Kapelle et chapelle.
-
Qui a peur de la géopolitique ?
[Ci-dessus : Jeu des Rois par Anatoly Kudryavtsev, 1996-1998]
Un spectre hante l’Europe d'aujourd'hui. Des conseillers politiques de la Maison Blanche, d'anciens agents du KGB cherchant à se recycler, des publicistes libéraux défendant de troubles et occultes intérêts réactionnaires, des professeurs gauchistes amateurs de liaisons dangereuses avec les droites, tentent désespérément d'en trouver la trace. Ce spectre, c'est la géopolitique.
Eh oui, elle revient au grand galop, cette géopolitique condamnée à une damnatio memoriae depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, dont on a nié la validité sans lui permettre de se défendre et d'apporter les preuves de sa pertinence, que l’on a réduite au silence pendant toute la guerre froide qui avait imposé au monde une lecture strictement idéologique et socio-économique des conflits. Pour satisfaire au rituel du langage dominant, il fallait dire qu'elle était une “pseudo-science”, fondée par deux pères historiques : l’embarrassant Friedrich Ratzel, auteur, entre 1882 et 1991, d'une Anthropogeographie évolutionniste et déterministe (que l'on a longtemps considérée comme l’antécédent wilhelmien du racisme hitlérien) (1), et le général, diplomate et érudit Karl Haushofer, qui avait caché Rudolf Hess dans sa maison après le putsch raté de Munich en 1923 et dont le fils, poète ésotérique, fidèle, comme son père, à l’idée d’une alliance nord-européenne entre l’Allemagne et l’Angleterre, sera massacré par la police nazie le 23 avril 1945 à l’âge de 42 ans.
-
La France sous nos yeux, un chantier d’« archéologie culturelle »
Après L’Archipel français (2019), un ouvrage qui présentait l’Hexagone comme une juxtaposition de territoires divisés (les centres-villes gentrifiés, les banlieues communautaristes et les campagnes « périphériques »), le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.