Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 238

  • Il y a 5 000 ans, la domestication du cheval en Europe de l’Est

    Il y a 5 000 ans, la domestication du cheval en Europe de l’Est

    La domestication du cheval remonte à la plus haute antiquité, eût pu dire le grand Alexandre Vialatte. En vérité, elle lui est-même antérieure. Des fouilles archéologiques sur des sites d’Europe de l’Est montrent que la domestication du cheval est vieille de quelque 5000 ans, donnant aux Indo-Européens un avantage décisif.

    Des squelettes de la steppe eurasienne de l’âge du Bronze révèlent qui ont été les premiers cavaliers de l’Histoire. Plusieurs approches complémentaires ont été utilisées pour savoir où et quand a pu avoir lieu la domestication du cheval, véritable révolution dans l’histoire humaine. Cette fois-ci, il ne s’agit pas de paléogénétique. Si des faisceaux d’indices concordants plaçaient la steppe eurasienne de l’âge du Bronze, s’étendant de l’Ukraine à l’Asie centrale, en tête des hypothèses, il n’y avait pas pour autant de preuve définitive. Les chevaux sauvages ayant été répandus de l’Asie centrale à la péninsule Ibérique il était encore possible d’être surpris.

    Lire la suite

  • Pour l’honneur de Ðiện Biên Phủ : nos soldats seront enterrés dignement

      Arnaud Florac 23 mars 2023
    C'est un nom mythique de notre Histoire récente. 
    On peut dire ce que l'on veut des guerres coloniales, et on en dit souvent n'importe quoi, mais on ne peut pas, on ne doit pas oublier cette bataille de désespoir et d'héroïsme absolu. 

    Lire la suite

  • L’Empereur et les Brigands – Le théâtre de l’histoire (Guillaume Bernard & Corentin Stemler)

    Une pièce de théâtre, un spectacle, qui a pour ambition d’être une œuvre littéraire et une évocation historique confrontant Napoléon Ier à un autre personnage, Le Lecteur, qui peut être interprété aussi bien comme sa conscience que comme le jugement de l’Histoire. Tout à tour, ils accusent et ils plaident, parfois ils s’accordent.

    Lire la suite

  • Pierre Perret, passé du côté obscur de la France ?

    C’est à mourir de rire… Voilà donc , le papy poupin des « Jolies colonies de vacances » et du « Zizi », l’antiraciste pro-migrants de la petite « Lily », celui qui pourfendait le Front national avec « La Bête est revenue », voilà qu’à 88 ans, ce gentil bien-pensant se fait traiter de réac par ses copains !

    Lire la suite

  • Giorgio Locchi et le mythe surhumaniste (2/3)

    Giorgio Locchi et le mythe surhumaniste (2/3)

    Philosophe, journaliste et essayiste, Giorgio Locchi (1923-1992) fut l’une des figures tutélaires de la Nouvelle Droite, tutélaires mais lointaines, effet du temps. Raison pour laquelle il fallait la désensabler. C’est l’objet des deux ouvrages qui sont aujourd’hui édités par la Nouvelle Librairie dans la collection Agora de l’institut Iliade : Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste et Définitions. L’occasion de renouer avec un auteur fascinant qui fut un maître à penser. Son fils, Pierluigi Locchi, répond à toutes nos questions. Deuxième partie.

    Éléments : Quelle place pour le surhumanisme aujourd’hui ? Et quelle différence faut-il établir entre l’anti-égalitarisme et le transhumanisme ?

    Lire la suite

  • Le procès du Commandant de Saint Marc – « Nous ne laisserons pas notre honneur en Algérie » (Bernard Zeller)

    Les Nouvelles Editions Latines qui avaient déjà publié le procès des généraux Challe et Zeller complètent leur catalogue à l’occasion des 60 ans du putsch avec cette publication du procès du commandant de Saint Marc. Une édition qui n’est pas seulement la transcription de la sténographie des débats… mais un témoignage Pour l’Histoire.

    Lire la suite

  • De la légitimité du pouvoir

    De la légitimité du pouvoir

    Dans un monde où le droit inaliénable de communier avec Dieu est piété, où les églises sont entourées par les gendarmes car elles ont osé se soumettre à la loi de Dieu et non pas à la loi des hommes[1], où la dictature communiste de l’URSS règne en maître absolu, rappeler les critères qui rendent un pouvoir légitime s’avère nécessaire.

    Lire la suite