Après avoir prospéré pendant des décennies, les chiens de garde sont désormais lâchés dans notre quotidien: hommes et femmes politiques, journalistes, personnels de l’éducation nationale, artistes… Omniprésents. Haineux. Malfaisants.
Ils n’ont pas de profil spécifique mais on peut les repérer à leur goût commun pour la collaboration avec l’ennemi.
Ils se divisent en deux grandes catégories: ceux qui, décérébrés par la propagande médiatique et scolaire, manquent du moindre discernement et ceux qui, espérant retirer des prébendes de la décadence de leur propre civilisation, sont totalement cyniques. La période pré-électorale et la crainte que les patriotes ne réalisent des scores importants, les font tous sortir du bois, y compris ceux dont la stratégie consistait jusqu’ici à communiquer à bas bruit, sur le mode anesthésiant.
Ils sortent du bois, l’artillerie lourde en main, pour « dézinguer » l’adversaire politique et surtout pour commencer à se placer. Petits calculs entre amis du mensonge !