culture et histoire - Page 310
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Une autre histoire du siège de Paris (1870-1871)
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Introduction à l’analyse géopolitique (Olivier Zajec)
Olivier Zajec, diplômé de Saint-Cyr et de Sciences-Po Paris, est chargé de recherches à l’Institut de Stratégie et des Conflits (ISC), directeur adjoint de la revue Stratégique et enseigne actuellement à l’Ecole de Guerre.
Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, Joseph Staline prit la décision d’interdire strictement l’étude de la géopolitique sur tout le territoire soviétique. Réputée allemande, cette » science » ne pouvait être que maléfique. Aujourd’hui, quelle revanche pour cette méthode d’approche : tout est » géopolitique » !
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Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.
Texte intégral du discours prononcé par Alexandre Soljenitsyne, le samedi 25 septembre 1993, aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée .
Dans ce discours, Soljénitsyne dit le mal qu'il faut penser de toute révolution. De la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationnalistes du bonheur du peuple"...
On notera que tel est l'objet profond de nos analyses, sur ce quotidien lafautearousseau.
Sur la réalité des révolutions, sur les horreurs qu'elles engendrent, sa pensée se "dédouble" dans une vision grandiose et universelle des maux que le monde a connus de leur fait, aux XIXème et XXème siècles. Il appelle de ses voeux le temps où seront érigés, en Russie, des monuments pour témoigner de cette barbarie et souhaite que les Français en fassent autant, non seulement comme objet de mémoire, mais aussi, mais surtout, comme condition d'une renaissance.
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Le DÉBARQUEMENT de QUIBERON - 23 juin au 21 juillet 1795
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Dictionnaire de stratégie (Arnaud Blin et Gérard Chaliand)
Arnaud Blin, spécialiste de l’histoire de la guerre, est l’auteur de plusieurs ouvrages remarqués consacrés à l’angle stratégique de diverses grandes batailles.
Gérard Chaliand, spécialiste des conflits asymétriques, est l’auteur de plusieurs ouvrages de géopolitique et de stratégie.
Dans sa définition la plus générale, la stratégie est l’intelligence des rapports de force.
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Naissance d’une nation : Clovis et les principes fondateurs de l’identité française, d'Hilaire de Crémiers.....(Deuxième partie). 4/4
Hélas, la belle légende, si intimement mêlée à notre histoire, fut confrontée à un nouvel esprit critique plus corrosif. Dès les débuts du XVIIIe siècle, le doute s’installa chez les érudits. Il commença à poindre dans la nouvelle Histoire de France de Le Gondec en 1728. Passons. Le siècle se partagea. La critique gagna vite des points. Elle avait d’innombrables arguments, et fort sérieux. Où sont les documents contemporains authentiques ? Que faut-il croire des récits hagiographiques ? La légende est née avec le temps surajoutant au merveilleux l’extraordinaire. Mais voilà ! Ce qui n’était pas permis, advint dans un pays trop vif d’esprit : ce fut le ricanement ! Et puis, il y eut une odieuse dispute.
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Histoire du Consulat et du Premier Empire (Jean-Philippe Rey)
Jean-Philippe Rey, historien, est déjà l’auteur de quelques livres consacrés au Premier Empire.
S’intéresser à l’histoire du Consulat et du Premier Empire revient, bien sûr, à croiser sans cesse la trajectoire de Napoléon. Sa volonté et son ambition constituèrent des moteurs essentiels du processus qui conduisit à mettre en place, tout en même temps, un ordre social nouveau, un régime politico-administratif inédit et un système géopolitique sous influence française.
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Terres de Mission n°261 : Histoire des traditionalistes
Eglise universelle : Histoire des traditionalistes
L’historien Yves Chiron vient de publier un ouvrage monumental au titre parfaitement explicite : « Histoire des traditionalistes ». Il nous présente ici les origines du traditionalisme et ce qui en constitue les fondements intellectuels et doctrinaux. Il explique les raisons du développement de ce courant et de sa permanence, en particulier en France et aux Etats-Unis.
Eglise en France : Pèlerinage aux Lucs-sur-Boulogne le 7 mai
Le 28 février 1794, plusieurs centaines de femmes et d’enfants étaient massacrés aux Lucs-sur-Boulogne par les colonnes infernales du général Cordellier. En mémoire de ces martyrs de la foi, le père Argouarc’h, de la Sainte croix de Riaumont, organise un pèlerinage de la Chabotterie, manoir de Charrette, aux Lucs-sur-Boulogne le samedi 7 mai.
Eglise en Marche : Histoire du MJCF. Une jeunesse missionnaire au service du Christ
Le MJCF (Mouvement de la Jeunesse Catholique de France) a fêté il y a peu l’anniversaire des 50 ans de sa fondation. A cette occasion, un album abondamment illustré, a été publié, contenant de nombreux documents et témoignages. Dominique Vannini, un des auteurs de ce travail collectif, et ancien de l’équipe de fondation du MJCF présente les intuitions originelles et le fonctionnement de ce mouvement d’apostolat de jeunes par d’autres jeunes.
https://www.tvlibertes.com/terres-de-mission-n261-histoire-des-traditionnalistes
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Naissance d’une nation : Clovis et les principes fondateurs de l’identité française, d'Hilaire de Crémiers.....(Deuxième partie). 3/4
Charles d’Orléans, le prince charmant, le prisonnier d’Azincourt qui resta de si longues années captif en Angleterre, parlait de la France de la même manière :
En regardant vers le pays de France
Un jour m’advint à Douvres sur la mer...Qui ne se souvient de cette poésie ? et qu’y demandait-il ?
De voir France que mon cœur aimer doit.
Charles d’Orléans représentait le parti d’Orléans : c’était le parti national.
Et Christine de Pisan ? Elle parlait de la France pareillement ! Et voilà comment elle en vint à écrire son “Dittié en l’honneur de la Pucelle” ! Comme Alain Chartier écrivit lui aussi sa “Lettre sur Jeanne”.
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C’était un 7 mai… 1954 : chute de Diên Biên Phu
Une guerre perdue à Paris…
Après six mois de lutte héroïque – illustrée notamment par les nombreux blessés et amputés qui ne voulaient pas quitter le front, ou par les paras volontaires qui sautaient pour rejoindre leurs camarades alors que la bataille était perdue – et une résistance acharnée, parfois à l’arme blanche, face à des troupes supérieures en nombre (dix fois plus, à un moment), en matériel et envoyant des jeunes kamikazes, étant à court de munitions et bombardée sans cesse dans l’enfer de la cuvette, l’armée française (comprenant des légionnaires, des paras, des troupes coloniales, des combattants indigènes), fautes de renforts suffisants, dut décréter le cessez-le-feu.
A l’issue de cette bataille, 12 000 combattants de l’Union française furent faits prisonniers. Seuls 3 290 seront rendus aux autorités françaises…