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culture et histoire - Page 316

  • Petite histoire des guerres de Vendée (Henri Servien)

    Henri Servien est un journaliste, historien et écrivain catholique français.

    Après avoir discerné les causes successives et le motif central de cette guerre de l’Ouest qui suit la révolution française, Henri Servien passe en revue les chefs de la révolte paysanne. Parfois, des fils du peuple sont aux commandes, et l’auteur nous présente les admirables figures d’un Cathelineau ou d’un Stofflet. Mais le plus souvent, il s’agit des « bons nobles » de la Vendée militaire. Or, ce ne sont pas eux qui ont revendiqué l’honneur de mener la guerre.

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  • Il faut lire Victor Segalen

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    [Ci-dessus :  Portrait de V. Segalen par George-Daniel de Monfreid (ami de Gauguin), 1909]

    Breton errant dans sa quête à la licorne, Segalen, esprit libre et curieux… Segalen, Poète assoiffé d’absolu et tout entier hostile aux dogmes. Segalen, amoureux des lointains empires… Homme des grandes passions, les plus folles - celles de l’âme - espace secret où s’écoule le fleuve du Mystère. Il est l’archéologue du vertige, l’explorateur des sens, le chantre des stèles tutélaires.

    Victor Segalen naît à Brest le 14 janvier 1878. Issu d’une famille bourgeoise, il étudie chez les Jésuites, puis il prépare le concours d’entrée à l’École de Santé Navale de Bordeaux. De formation scientifique, on lui doit une étude sur la pénétration des corps opaques à la lumière par les rayons X. Très tôt toutefois, il se sent attiré par la littérature. Sa thèse de doctorat porte sur « les cliniciens ès-lettres : Les névroses dans la littérature contemporaine ».

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  • Thiriart (Yannick Sauveur)

    Yannick Sauveur a fait partie des proches de Jean Thiriart pendant près de vingt ans.

    Jean Thiriart (1922-1992), peu connu du grand public, fut le fondateur d’une organisation transnationale appelée Jeune Europe qui, dans les années soixante, défendait le concept de nationalisme européen et préconisait une Europe de Vladivostok à Dublin.

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  • C’est toi qu’on t'emmerde, affectueusement ! Avec Ingrid Courrèges(video)

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    La Peste ou le Corona ? Bleu Roi au bleu Marine ? Reprise Rock  « C’est toi qu’on T’EMMERDE, affectueusement ! » avec Ingrid Courrèges


    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mosquées Radicales : ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (Joachim Véliocas)

    Joachim Véliocas dirige l’Observatoire de l’islamisation et est analyste pour l’institut de géostratégie Wikistrat. Il est l’auteur de plusieurs livres d’enquête sur l’islamisme en France.

    Dans une interview au Figaro Magazine (2 septembre 2016), l’islamologue Malek Chebel admettait ceci :

    « Il y a au moins deux types d’islam, l’un violent, l’autre non. L’un est inscrit dans une longue durée. Il est vain d’en nier la dimension expansionniste et donc la violence. Cela commence par l’épopée dite arabe qui a porté le sabre jusqu’en Andalousie. Et je ne suis pas de ceux qui se voilent la face, les liens de cet islam violent avec le Califat et les chefs de l’EI sont publiquement affirmés.« 

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  • Abel Bonnard ou l’exemple de la cohérence 3/3

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    [Ci-contre : couverture de la première édition de 1936. Abel Bonnard analyse la lâcheté des modérés, autre nom des conservateurs, paralysés par leurs adversaires parce qu'ils ignorent que “le premier réalisme, en politique, est de connaître les démons qui se sont cachés dans les mots” et dont la faiblesse “vient beaucoup de ce qu'ils n'ont pas la moindre doctrine”. Égoïstes troublés et opportunistes, les modérés sont incapables de défendre la société]

    Jouissant encore des résidus d’un certain ordre dont ils ont hérité sans en connaître le prix et sans jamais songer à le défendre vraiment, les modérés sont pour Bonnard la quintessence de la médiocrité française, l’expression la plus basse du type humain que fabrique la modernité en général : “l’individu”. C’est en tant qu’il est d’abord un individu — à savoir un homme « réduit par l’exigence de la vanité à l’indigence du Moi […], prompt à se pousser dans une organisation sociale dont il profite sans la soutenir » — que le modéré s’oppose nettement au réactionnaire, « plus fier de l’ensemble auquel il reste attaché que des facultés dont est parée sa nature ».

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  • 1003 : Un modèle de roi chrétien

    Marié à Constance d'Arles, qui assure la gestion des deniers publics, Robert II fait contre mauvaise fortune bon coeur. Bravant les terreurs de l'an Mil, guerroyant contre des féodaux souvent sans foi ni loi, il en impose à plus d'un par son sens de la dignité royale, par sa justice et sa loyauté.

    Cette année-là, la neuvième de son règne effectif, Robert II, trente et un ans, ayant non sans déchirements surmonté les tumultes de son coeur trop tendre, venait de contracter un mariage parfaitement légitime mais, nous l'avons laissé entendre, la jolie fille de Guillaume Taillefer comte de Provence, Constance d'Arles, dix-sept ans, allait être le purgatoire de son mari.

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