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culture et histoire - Page 315

  • Le premier numéro de La Furia, le « Hara-Kiri de droite », s’est écoulé en deux mois à 60.000 exemplaires dont 25.000 en kiosque

    Le but est de réarmer les pensées. » Le 18 mai, lors d’un live organisé par la chaîne YouTube « Livre noir », Laurent Obertone livre l’ambition de La Furia. Ce trimestriel lancé en début d’année se présente comme un « Hara-Kiri de droite », célèbre magazine des années 1960 plusieurs fois interdit. La couverture rose bonbon du numéro 2, sorti le 24 avril, affiche, à sa « une », une caricature d’Emmanuel Macron, assis sur un tas de billets, vêtu d’une veste de costume et de bas résille. Les titres – « Les Dessous du pouvoir », « Politiciens : sont-ils aussi vicieux que les journalistes ? », ou « Sardine Ruisseau contre-attaque » – donnent un avant-goût de la ligne éditoriale subversive.

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  • Royauté et incarnation, par Vladimir Volkoff.

     

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    Eric Muraise dit dans "Le Grand Monarque", que la France possède encore quelques monarchistes mais des royalistes, non. Différence : les monarchistes préfèrent un régime; les royalistes aiment un homme.

    La monarchie est à la royauté ce que le déisme, avec son horlogerie, est à l'Église avec ses chapiteaux et ses encensoirs. Eric Muraise peut avoir raison. Nous en connaissons tous de ces monarchistes grincheux qui n'ont qu'un sujet de conversation : dénigrer le Prince. Ils ont le choix, pourtant, surtout à notre époque où il y a de moins en moins de trônes et de plus en plus de prétendants. Mais non : le Prince, qu'ils se reconnaissent est toujours celui qui leur plaît le moins. Ils s'arrangent pour regretter l'aïeul, préférer l'oncle, attendre le petit-fils. Dans l'histoire, même, aucun Louis, aucun Henri ne les satisfait. Au mieux, ils vénèrent un Childebrand quelconque, dont personne n'a jamais entendu parler. Ces monarchistes Jean-­qui-grogne ne sont pas des royalistes ; car la monarchie ne sera jamais qu'une idée, tandis que la Royauté est une incarnation.

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  • 1917, l’année qui a changé le monde (Jean-Christophe Buisson)

    1917

    Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint au Figaro Magazine, présente aussi une émission sur la chaîne Histoire et l’auteur de plusieurs ouvrages historiques ayant trait aux Balkans.

    1917 ? Cette année-là, éclatent en Russie deux révolutions : l’une mettra à bas en quelques jours un régime monarchique et une dynastie solidement installés depuis plusieurs siècles; l’autre instaurera un système totalitaire inédit qui s’étendra à tous les continents et fera plusieurs dizaines de millions de victimes.

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  • 21 mai 2013 : acte ultime de Dominique Venner

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    Avant de se donner la mort, le mardi 21 mai 2013 à 16 heures, devant l’autel de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, l’écrivain et historien Dominique Venner a fait parvenir une lettre d’explication à ses amis.
    La dernière lettre de Dominique Venner.

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  • En souvenir de Jean Mabire

    Mabire

    Pour autant que je m’en souvienne, j’ai dû lire Jean Mabire pour la première fois en 1972, dans un numéro spécial d’Historia, sans trop bien me souvenir si l’article était signé Henri Landemer ou de son nom propre. C’était la belle époque de nos adolescences, que je narre très superficiellement dans mon hommage à Yves Debay, camarade d’école, futur directeur des revues Raids et L’Assaut et bien entendu, fervent lecteur précoce, lui aussi, de Jean Mabire. Finalement, par le biais des premiers numéros d’éléments, au début des années 70, l’image de Jean Mabire, écrivain, se précise pour moi : non seulement, il est celui qui narre, avec simplicité et puissance, la geste des soldats de tous horizons mais il est aussi celui qui s’intéresse aux réalités charnelles et vernaculaires, au vécu des gens, disciple qu’il est, à ce niveau-là, d’Olier Mordrel, l’ancien directeur de la revue nationaliste bretonne Stur, pour qui l’engagement devait être dicté par les lois du vécu et non par des abstractions et des élucubrations intellectuelles. Mordrel et Mabire sont en ce sens nos “Péguy” païens, ceux qui nous demandent d’honorer les petites et honnêtes gens de chez nous, nos proches, nos prochains, et d’honorer aussi le brave soldat qui, avec l’humilité de sa condition, accomplit son devoir sans récriminer.

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  • Les fausses accusations du Russiagate transmises à la presse contre Donald Trump avaient été directement approuvées par Hillary Clinton, son équipe de campagne nie avoir transmis au FBI

    L’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton a témoigné devant une cour fédérale de justice qu’Hillary Clinton avait personnellement autorisé à l’automne 2016 des fuites à la presse affirmant que Donald Trump avait des liens avec une banque russe.

    Robby Mook a déclaré avoir assisté à une réunion avec d’autres hauts responsables de la campagne où ils ont été informés d’une cyberactivité étrange qui suggérait une relation entre la Trump Organization et Alfa Bank, localisée à Moscou. Le groupe a décidé de partager l’information avec un journaliste, et Mook en a parlé à Hillary Clinton elle-même. “Nous en avons discuté avec Hillary”, a déclaré Mook, ajoutant plus tard qu'”elle était d’accord avec cette décision”.

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