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culture et histoire - Page 354

  • « L’islam est beaucoup plus proche du communisme que d’une religion » : conférence d’Odon Lafontaine (Olaf) sur les origines de l’Islam

    Intéressante conférence,  politiquement incorrecte, d’Olaf (Odon Lafontaine) sur le secret des origines de l’Islam et sur la lente construction de cette idéologie politico-religieuse, fabriquée historiquement par ses chefs pour justifier leurs actions et y faire adhérer leurs troupes. Un sujet d’une importance capitale au moment où une immigration musulmane de masse, largement endoctrinée, s’introduit dans nos pays de civilisation chrétienne et tandis que des guerres sont menées sous couvert de l’Islam partout dans le monde et notamment à travers d’horribles attentats sur le sol de France, comme aujourd’hui à la gare Saint-Charles de Marseille. Attentat qui a coûté la vie à au moins deux voyageuses.

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  • L’Action Française et l’Islam (IX/XI)

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    Inclusion ou assimilation… 

    les premières réflexions

    En 2016, selon Jean-Paul Gourévitch, la masse des immigrés, en comptant les descendants nés en France, et les irréguliers (évalués à 500 000), avait doublé en 25 ans : elle s’élèverait à 8 millions de personnes, soit 22% de la population. En 2015, le flux s’est emballé avec les offensives islamistes en Libye et en Syrie. L’Union européenne a laissé pénétrer dans la zone Schengen 900 000 Syriens, Afghans, Irakiens, Marocains, Pakistanais, Somaliens, Albanais et Kosovars, presque tous musulmans.

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  • Et Rome s’enfonça dans la nuit (Gilles Cosson)

    Gilles Cosson, polytechnicien, après une carrière d’homme d’affaires, s’est consacré à une recherche spirituelle, est devenu un grand voyageur et un écrivain, auteur de nombreux romans historiques et de quelques essais.

    Ce roman historique décrit le long siège de Rome entamé en l’an 409 par le wisigoth Alaric. Le héros central de l’ouvrage est un personnage imaginaire, un vieux sénateur du nom de Tullius Metellus, qui tente de sauver Rome, se rend à Ravenne pour y rencontrer l’empereur Honorius, un faible, et envisager avec Innocent III, le pape de l’époque, comment assurer la survie d’une civilisation.

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  • Altheim, Spengler, Nietzsche et la décadence, mythe de la Révolution conservatrice

    Dans son analyse du roman antique (Roman und Dekadenz), Franz Altheim note que cette forme très par­ticulière de la littérature antique présente une sorte de désordre stylistique, correspondant à une époque de transformation profonde de la société et de la politique. C'était une époque où s’achevait la civilisation de la polis et que s’affirmait la civilisation alexandrine, concentrée sur les grandes cités cosmopolites, dans des empires tentaculaires. d’Alexandrie à Pergame et à Rome, où disparaissaient les antiques idéaux républicains, triomphait une plèbe urbaine aux origines composites mais homogène dans son style de vie. Dans toute la Grèce, le roman s’était substitué à toutes les autres formes littéraires canoniques, telles l’épopée et la tragédie. Le roman antique s’est formé par les concours de rhétorique sophistique, dans la poésie érotique, l’historiographie, où l’on confondait tous les styles, pour les unifier ensuite dans une forme nouvelle, témoin de la désagrégation des formes anciennes mais néanmoins spécifique.

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  • Idée prussienne, destin allemand 5/5

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    Après 1870, l'Allemagne fut réorganisée en de plus grands ensembles. La Kleinstaaterei — division en petits États — prit fin et laissa la place à un monde “bipolaire” : au Nord, la Prusse (qui avait pris de l'extension à l'Est et à l'Ouest) et la Saxe ; au Sud, le Bade-Würtemberg et la Bavière, dont les attaches culturelles avec l'Autriche étaient plus qu'évidentes et l'adhésion au nouvel ensemble assez réticente. Le Nord l'emportait dans tous les domaines de direction : économique, militaire, démographique et politique. Das Preussentum était un principe d'État, une idée directrice et une éthique. C'était un mythe mobilisateur et unificateur. Au Sud, en Bavière, se manifestaient la part romantique de l'Allemagne, une sensibilité particulière, des coutumes, un art de vivre tournés plutôt vers la patrie charnelle que vers la communauté nationale ; en d'autres termes, une inci­tation à la résistance contre l'unité.

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  • Idée prussienne, destin allemand 4/5

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    Mais les lourdes charges financières imposées aux habitants n'étaient pas administrées arbitrairement ; l'État pro­mouvait la construction des manufactures et des filatures, fondait des banques et entreprenait l'assèchement des marais. Cette politique, très moderne pour l'époque, créait emplois et subsistance, tout en étant accessoire­ment (et accessoirement seulement) philanthropique. Cette philanthropie accessoire déterminait aussi la politi­que d'immigration xénophile : huguenots, protestants de Salzbourg, vaudois, mennonites, presbytériens écos­sais, juifs, trouvèrent en Prusse une nouvelle patrie. Tous pouvaient parler leur langue, cultiver les valeurs reli­gieuses de leur choix et vivre à leur façon. Les plus hautes fonctions leur étaient très rapidement accessibles. Les quelques millions de Polonais qui, après les conquêtes territoriales du XVIIIe siècle, étaient devenus Prussiens n'eurent à subir aucune politique de germanisation forcée, comme ce fut le cas quelques décennies plus tard. Une telle libéralité provenait du fait que la Prusse n'était pas un “État national” et ne souhaitait pas l'être ; son objectif était d'être un “État de raison”. La philanthropie n'y avait donc rien de sentimental, elle n'était qu'un moyen au service de la raison d'État.

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  • Les Rothschild (Edouard Demachy)

    Edouard Demachy (1854-1927), issu de la haute société parisienne du Second Empire, est le fils de Zoé Girod de l’Ain (1827-1916, fille du général-baron Félix Girod de l’Ain) et de Charles-Adolphe Demachy (1818-1888), gérant de la banque Seillière-Demachy et régent de la Banque de France.

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  • Les écritures gauloises livrent leurs secrets : « A l’encontre du mythe d’une Gaule peuplée d’habitants sans écriture, les Gaulois ont laissé des centaines de documents écrits »

    Contrairement à une idée reçue, les Gaulois utilisaient l’écriture. Un vaste programme de recherche prévoit la prochaine mise en ligne de la totalité des inscriptions gauloises recueillies à ce jour sur notre territoire. Voici un avant-goût de ce qu’il dévoilera.

    Ce n’était pas écrit dans le sable… Et pourtant, le cinéaste québécois Denis Villeneuve serait sans doute surpris d’apprendre que le titre de son film “Dune” (2021) inspiré du roman éponyme de science-fiction (1965), de l’écrivain Frank Herbert, était un mot d’origine gauloise ! Un nom né de dun ou dunos qui désigne les sommets, et que l’on retrouve dans dunon (citadelle, oppidum, colline). Latinisé en dunum, il a donné “dun“, présent dans la toponymie d’Issoudun dans le Centre-Val de Loire – l’antique Uxellodunum (la haute forteresse) -, ou encore de Lyon, Lugdunum (la colline de Lug). Mot voyageur passé du gaulois au germanique, puis au moyen néerlandais, “dune” est ensuite revenu dans la langue française autant que dans l’anglaise.

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  • Idée prussienne, destin allemand 3/5

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    Et enfin : Rudolf Augstein, Preussens Friedrich und die Deutschen (Fischer, Frankfurt/M., 1981 ; rééd.) ; Achim von Borries (Hrsg.), Preussen und die Folgen (JHW Dietz Nachf., Berlin-Bonn, 1981) ; Richard Dietrich (Hrsg.), Politische Testamente der Hohenzollern (Deutsches Taschenbuch Verlag, München, 1981) ; Werner Knopp, Preussens Wege, Preussens Spuren (Droste, Düsseldorf, 1981) ; Christian von Krockow, Warnung vor Preussen (Severin & Siedler, Berlin, 1981) ; Johannes Rogalla von Bieberstein, Preussen als Deutschlands Schicksal (Mine ; München, 1981).

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