
En ces temps, nombreux sont ceux qui s’alarment avec juste raison de la dégringolade du niveau d’instruction des élèves, de la vacuité des programmes et – corollaire aujourd’hui avéré – de la chute de 4 points, en une génération, du niveau moyen du QI de la population !
On sait aujourd’hui que le développement encéphalique est loin d’être terminé à la naissance et que son achèvement se fait jusqu’à l’adolescence, en grande partie par des acquisitions que l’on pourra qualifier alors de « secondaires », fonction notamment de l’apprentissage.







