Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 382

  • Histoires navales

    « La ligne claire », une vision du monde où le beau est au service du sens

    long-john-silver.jpg.webpLong John Silver (Lauffray et Dorison)

    Le célèbre pirate du roman L’Île au trésor revient dans une aventure semée de dangers à cause d’une lady au fort caractère. Des côtes anglaises jusqu’au cœur de la jungle amazonienne, le grand pirate vivra encore bien des péripéties.

    Une histoire sombre pour adultes, des dessins particulièrement travaillés.

    Série de 4 tomes.

    grandes-batailles-navales-glenat.jpg.webpLes grandes batailles navales (dir. Jacques Delitte)

    Une remarquable collection parrainée par le musée national de la Marine et scénarisée par Jean-Yves Delitte, le peintre officiel de la Marine, où se relaient des dessinateurs talentueux pour nous faire revivre les grandes batailles navales qui firent l’histoire. Chaque volume ayant en plus l’avantage de se terminer par un cahier historique qui met en perspective ladite bataille.

    Pour ne parler que de Lépante, les auteurs nous font revivre cette bataille décisive – qui mit fin le 7 octobre 1571 à l’expansionnisme ottoman en Europe – en utilisant deux personnages de fiction : Don Quichotte et Sancho Panza, les célèbres héros créés par Cervantes. Choix qui n’est pas dû au hasard, ce dernier ayant été lui-même engagé à l’âge de 24 ans dans la bataille où il perdit la main gauche.

    https://institut-iliade.com/histoires-navales/

  • La Kriegsmarine et l'Opération Barbarossa 3/3

    km310.jpg

    La campagne de Russie

    Mais un projet militaire va s'avérer plus déterminant que tous les problèmes soulevés par la stratégie nouvelle, proposée par la marine allemande, plus déterminant aussi que tous les problèmes non résolus et toutes les occasions perdues : celui de lancer une campagne contre la Russie. Ce projet freine définitivement le développement de la stratégie maritime suggéré par Carls. La stratégie maritime dépend désormais de la guerre sur terre.

    Lire la suite

  • La France divisée contre elle-même (Adrien Abauzit)

    Adrien Abauzit est avocat, conférencier et écrivain.

    Son nouvel essai politique repose sur la thèse que la décomposition de la France s’explique avant tout par le phagocytage de la France par l’Antifrance. Adrien Abauzit évoque donc l’histoire de France, en débutant à Noël de l’an de grâce 496, lorsque Clovis, roi des Francs, choisit par son baptême donne une destinée nouvelle au regnum Francorumet en terminant aujourd’hui, avec le règne d’une hyperclasse, qu’il décrit comme née de la vassalisation des élites des grandes puissances mondiales à l’oligarchie anglo-américaine.

    Lire la suite

  • De Gaulle… Mythe, imposture et trahison

    A un moment où le général De Gaulle fait l’objet d’une admiration presque unanime et hors de tout bon sens, nous publions ce texte de José Castano.
    Et nous rappelons l’existence de l’excellent livre du colonel Le Pargneux.

    « On peut se demander ce que connaîtront nos petits-enfants de l’Histoire de France, et surtout comment ils comprendront qu’un homme qui a signé, non pas la capitulation, mais un armistice devant une armée ennemie victorieuse, peut être un traître… et qu’un autre, tel De Gaulle, put accepter la défaite en Algérie, alors que son armée avait gagné la guerre, livrer aux couteaux des égorgeurs des dizaines de milliers de civils, près de cent mille de ses soldats, et être quand même placé au Panthéon des Héros ! » (+ Roger HOLEINDRE, 8e RPC, Président du Cercle National des Combattants)

    Lire la suite

  • La Kriegsmarine et l'Opération Barbarossa 2/3

    km310.jpg

    La Marine : facteur de décision dans la guerre

    La marine de guerre allemande s'est toujours définie dans et par sa lutte contre la flotte britannique. Dans cette optique, l'Allemagne, en s'opposant à l'Angleterre, est logiquement, par la volonté du destin, obligée de devenir une puissance thalassocratique à l'échelle du globe. Cette vision des choses est solidement ancrée dans la marine depuis Tirpitz. Le corps des officiers de marine n'a jamais cessé de penser et d'agir dans le cadre de ces idées claires et compactes ; tous ses objectifs s'inscrivent dans cette logique implacable, même après 1918, année de la défaite que n'admettent pas plus les officiers de marine que ceux de l'armée de terre. Dans son Dienstschrift IX (Note de service IX), rédigé en 1894, Tirpitz avait conçu le rôle des armées de terre — protéger l'État contre l'arbitraire de l'ennemi — comme inférieur à celui, sublime, de la marine : emporter la décision en cas de guerre.

    Lire la suite

  • La Kriegsmarine et l'Opération Barbarossa 1/3

    km310.jpg

    En conquérant toute la côte atlantique de la France en juin 1940, les armées de Hitler ont dégagé le Reich de l'encerclement maritime que lui avaient imposé les Britanniques et les Français. La victoire allemande à l'Ouest ouvre au Reich les portes du large. À partir de ce moment, la Kriegsmarine ébauche des projets globaux et non plus purement défensifs, limités à la Mer du Nord et à la Baltique. C'est l'Amiral Carls, Commandant en chef du Groupe Est, qui fut le premier à fournir une étude globale, définissant les objectifs de la guerre sur mer (1). Son mémorandum reflète parfaitement l'état d'esprit des chefs de la marine allemande, après que les côtes atlantiques de la France soient tombées aux mains des Allemands.

    Lire la suite

  • Le tournant de la Régence (Marion Sigaut)

    Marion Sigaut est une historienne bien connue de nos lecteurs, spécialisée dans l’histoire de France au XVIIIe siècle.

    Son livre Le tournant de la Régence examine cette période qui dure à peine huit ans, de 1715 à 1723, et va marquer un basculement irréversible conduisant inexorablement à la Révolution.

    Lire la suite

  • L’Afghanistan, éternel « tombeau des empires ». Par Philippe Conrad

    L’Afghanistan, éternel « tombeau des empires ». Par Philippe Conrad

    L’humiliation des Américains à Kaboul n’est en rien une surprise. Ils n’ont rien voulu apprendre ni comprendre de ce « pays des Cavaliers » (Kessel), ni des expériences passées. Les flux et reflux de l’histoire permettent pourtant d’y voir plus clair dans la situation présente. Récit et explication.

    « Combattre en Afghanistan est très dur pour des raisons géographiques, nationales et religieuses. Avant de lancer une opération militaire, il faut tenir compte de nombreux éléments et prendre une décision mûrement réfléchie, la tête froide. » Auteur de ces lignes, le général Boris Gromov commandait, en février 1989, le retrait soviétique d’Afghanistan. En 2001, au moment où, en réponse aux attentats du 11 septembre, l’Amérique chassait le pouvoir taliban de Kaboul, il avertissait les responsables américains des difficultés qu’ils allaient rencontrer face au régime islamiste installé depuis 1996.

    Lire la suite