Sous le pseudonyme de Marquis de La Franquerie, André Lesage (1901-1992), écrivain monarchiste catholique, ancien rédacteur en chef de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes, fut un auteur prolifique.
culture et histoire - Page 380
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La mission divine de la France (Marquis de la Franquerie)
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Qu'est-ce que la monarchie absolue ? - Philippe Pichot-Bravard (Radio Courtoisie)
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Le connétable des lansquenets
Dans Le roman vrai d’un fasciste français, une biographie romancée de René Resciniti de Says, vieux militant royaliste maurrassien, Christian Rol rapporte une anecdote révélatrice. « Néné l’Élégant » passe un jour à « La Mère Agitée », un restaurant parisien bien connu de la mouvance. Il dîne non loin de la table de Dominique Venner qu’il n’apprécie guère et avec qui il engage pourtant une vive discussion historique. « Ce soir-là, la conversation dévie sur le Connétable de Bourbon qui avait levé les armes contre la papauté et François Ier. Ce à quoi Venner était très favorable (1). »
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Les idées à l’endroit : Jung et les labyrinthes de l’âme
Fondateur de la psychologie analytique, lecteur de Freud – dont il se séparera – Jung fut un explorateur hardi de la psyché et un aventurier de l’esprit qu’une curiosité à la fois scientifique et spirituelle mena jusqu’aux confins des traditions religieuses et mystiques d’Orient et d’Occident (alchimie, gnose, hermétisme, bouddhisme, hindouisme…).
Archétypes, inconscient collectif, extraversion, introversion, son œuvre déploie un réseau de concepts qui s’articule avec les mythes et les symboles intemporels de l’humanité. -
L'âme de Jeanne de l'abbé Stephen Coubé [Éditions Voxgallia]
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Don Diego Lopez de Haro à la bataille de Las Navas de Tolosa (16 juillet 1212)
Batailles mémorables de l’histoire de l’Europe. Sixième partie.
Las Navas de Tolosa est à la fois un symbole de ce que peuvent accomplir les Européens lorsqu’ils sont unis et illustre « l’Inattendu » en histoire.Après cinq siècles de paix romaine et trois siècles de pouvoir wisigoth, la péninsule ibérique est progressivement conquise à partir de la fin du VIIe siècle par les musulmans. Profitant en partie des dissensions qui règnent alors parmi les héritiers du royaume wisigoth, les musulmans vont étendre rapidement leur emprise à la majeure partie de la péninsule, jusqu’aux royaumes du Nord comme l’Asturie où se réfugie Don Pelayo, héros mythique qui va donner le premier signal de la « Reconquista ».
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Les derniers jours de Versailles (Alexandre Maral)
Archiviste-paléographe, docteur ès lettres, Alexandre Maral est conservateur général au château de Versailles, où il est chargé des collections de sculpture et directeur du Centre de recherches. Il est déjà l’auteur de plusieurs ouvrages de référence.
Il nous décrit avec brio ces derniers jours de Versailles qui apparaissent comme la naissance dramatique de l’absolutisme démocratique.
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Erreurs & mensonges historiques - Charles Barthélemy [Éditions Voxgallia]
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Les prolégomènes de l'attaque allemande contre l'URSS (22 juin 1941) 2/6
Sur base du droit des gens, les Soviétiques ont incorporé immédiatement dans leurs structures étatiques les territoires attribués à leur sphère d'influence. À l'aide de leurs techniques manipulatoires bien éprouvées, ils ont fait élire dès octobre 1939 des représentants pour les assemblées nationales ouest-ukrainienne et biélorusse. Ces 2 assemblées ont tenu diète séparément : l'une à Lvov (Lemberg ; Lviv) en Ukraine ; l'autre à Bialystok en Biélorussie. Les orateurs se sont succédé à la tribune pour dire que leur rêve le plus cher était d'être annexés à l'URSS (5). À la suite de quoi, les 2 assemblées nationales ont voté à l'unanimité pour l'annexion aux RSS de Biélorussie et d'Ukraine (6).
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Les prolégomènes de l'attaque allemande contre l'URSS (22 juin 1941) 1/6
Plus d'une génération après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'historiographie souffre encore et toujours de la mise au secret des archives de guerre alliées. Ce sont surtout les archives de Moscou qui demeurent inaccessibles aux historiens. Malgré cela, les historiens ont pu, au cours des dernières décennies, réfuter pour l'essentiel la thèse des vainqueurs : celle d'une attaque-surprise de Hitler contre une “Union Soviétique qui ne voulait que la paix”. Un historien diplômé, qui s'est spécialisé dans ces questions, nous donne un survol des opinions sur cet épisode de la Seconde Guerre mondiale et dresse le bilan de l'historiographie allemande sur ce sujet.