Un personnage à (re)découvrir.
https://www.medias-presse.info/le-marechal-franchet-desperey/94852/
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Un personnage à (re)découvrir.
https://www.medias-presse.info/le-marechal-franchet-desperey/94852/
Louis Dasté, de son vrai nom André Baron, ingénieur, journaliste et militant nationaliste français antidreyfusard, fut proche de la Ligue de la patrie française (dirigée notamment par Jules Lemaître et François Coppée) puis de l’Action française. Fondateur de divers journaux antimaçonniques, il est l’auteur de plusieurs livres dénonçant l’action des sociétés secrètes.
Riche actualité éditoriale pour Alain de Benoist qui, après Le moment populiste, fait paraître aux éditions du Rocher Ce que penser veut dire. Un voyage au coeur du monde des idées, limpide et stimulant, de Rousseau à Michéa. Pour changer le monde, il faut le comprendre. Et pour le comprendre, il faut l’interpréter. Ici commence le travail de la pensée.
Un livre d’Alain de Benoist, c'est une caisse à outils mise à la disposition de ceux qui cherchent mieux comprendre et agir le monde qui les entoure. Le thème de ce livre-ci, Ce que penser veut dire, est a la fois un prétexte et une leçon. Une pensée efficiente, pour lui, n’est pas un système de vérités impératives. Seuls les doctrinaires et les médiocres fonctionnent ainsi. Une pensée efficiente est, d'abord, l’exemple d’une méthode, d'un déploiement d'idées, d’une dissémination ordonnée de repères qui tentent de configurer, de représenter, de cartographier le labyrinthe du monde en vue d'une action sur celui-ci.
Xavier Martin, Professeur émérite d’histoire du droit à l’Université d’Angers, est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages sur les implications d’une approche réductrice de l’humain dans l’esprit des Lumières, sous la Révolution, et durant la séquence napoléonienne.
Pour cet épisode, on continue, avec la thématique de ce mois de septembre sur les plus grands maréchaux de l’Empire. Après Murat et Ney, place maintenant à Davout. Surnommé le Maréchal de Fer, Louis-Nicolas Davout est le seul maréchal invaincu des guerres napoléoniennes. À ses hommes comme à lui-même, il imposait une rigueur et une discipline de fer, ce qui lui permettra de remporter bien des batailles épiques. La plus célèbre d’entre elles, celle qui lui vaudra son titre de duc, c’est bien entendu la bataille d’Auerstaedt, où il écrase les Prussiens à un contre trois grâce à ses talents de manoeuvrier et de tacticien. Il n’a jamais failli, n’a jamais été vaincu, n’a jamais trahi Napoléon.
La lassitude du Général
Le domaine réservé est donc, c’est une constante de la Ve République, l’apanage du chef de l’État. Le Premier ministre, s’il ne s’y aventure pas, peut espérer renforcer son rôle sur d’autres terrains. Georges Pompidou, plus ambitieux que Michel Debré (1), y parvient avec talent. Après les législatives du 25 novembre 1962, où il a démontré dans le combat électoral sa pugnacité, il entend rendre manifeste l’activité du gouvernement. Ce renforcement du Premier ministre va en outre à la rencontre de ce que Burin des Roziers (ancien secrétaire général de la présidence de la République 1962-1967) appelle dans sa communication, « la lassitude du général ». Tenté constamment par le retour à Colombey, supportant mal l’air confiné de l’Élysée, l’ancien chef de la France libre se plaît peu à peu à se dessaisir de certaines initiatives et surtout de leur application. Ainsi, une fois le Premier ministre saisi d’un dossier, le Président est étonnamment absent. Il maintient là sa vieille maxime militaire : on juge de l’exécution après coup, et pas en cours d’exécution.
Vu sur BVoltaire Par Gabrielle Cluzel
Ainsi donc, quelques jours avant le 25 septembre, journée d’hommage national aux harkis, Emmanuel Macron annonce une loi à venir « de reconnaissance et de réparation » à leur endroit. C’est fort, très fort, trop fort. Si fort que la droite réunie vacille, interdite, et doit reconfigurer son logiciel. Comment ne pas se réjouir, mais comment ne pas non plus flairer l’entourloupe à plein nez ?