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culture et histoire - Page 403

  • La Petite Histoire : Anne de France, la régente de fer – Les grandes femmes d’État

    Elle a été la femme la plus puissante d’Europe au XVe siècle. Anne de Beaujeu, aussi appelée « Anne de France », est la fille aînée du roi Louis XI auprès duquel elle apprendra tous les rouages de la politique. À sa mort, c’est à elle que le roi décide de confier la régence et l’éducation du jeune Charles VIII. Anne dirige alors le royaume d’une main de fer, avec intelligence et habileté, dénouant les coalitions, faisant rentrer les grands féodaux dans le rang, et poursuivant l’expansion du domaine royal. Surtout, celle que l’on surnommait alors « Madame la Grande » aura su continuer l’œuvre de son père mais aussi inspirer et éduquer les femmes de la noblesse de son siècle.


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-anne-de-france-la-regente-de-fer-les-grandes-femmes-detat

  • Des centaines de bénévoles se rassemblent pour entretenir les chemins de Saint-Jacques de Compostelle

    Des centaines de bénévoles doivent se rassembler ce week-end pour entretenir les cheminde Saint-Jacques de Compostelle. Une initiative née il y a sept ans dans le Lot et qui se transforme, cette année en grande opération nationale.

    Ils sont foulés chaque année par des centaines de milliers de marcheurs en quête de sens et de beauté. Les chemins qui mènent à Saint-Jacques-de-Compostelle font la joie des pèlerins qui viennent trouver, sur ces routes sillonnées par des milliers de chrétiens depuis le Moyen Âge, du dépaysement, des sensations fortes, du recueillement et même parfois du réconfort. Autant de raisons qui font de Saint-Jacques-de-Compostelle l’une des routes de pèlerinages les plus célèbres d’Europe.

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  • Croatie : la révolution d’avril 1941 2/5

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    Un soulèvement général

    L’assise populaire et le caractère spontané du soulèvement croate trouvent leur confirmation dans une multitude de rébellions locales (5) qui précèdent ou suivent les événements de Zagreb. Ainsi, dès le 3 avril, le capitaine d’aviation Vladimir Kren déserte-t-il et s’envole-t-il pour Graz afin de convaincre les Allemands de ne pas bombarder les villes croates. Trois jours plus tard, le colonel Zdenko Gorjup et d’autres pilotes croates se mutinent sur un aérodrome de Macédoine. Le 7 avril, des patriotes s’emparent de Čakovec où le pharmacien Teodor Košak proclame l’indépendance de la Croatie. Le même jour, des soldats se mutinent à Đakovac puis à Veliki Grđevac et à Bjelovar où les nationalistes (le Dr Julije Makanec, le député Franjo Hegeduš et le sergent Ivan Čvek) prennent le pouvoir (6).

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  • Jean de Brem, sentinelle de l’Europe

    Jean de Brem, sentinelle de l'Europe

    Ouvrage publié en deux volumes aux Éditions de La Table Ronde en 1964, un an après son assassinat, il couvre l’histoire du Vieux Continent, de l’Antiquité aux débuts du XXème siècle. Cette histoire, passionnée et fouillée, se lit aisément et tous les fils d’Europe devraient l’avoir dans leur bibliothèque. Elle connut hélas le même sort que son brillant auteur…

    « Chacun de nous est le dernier des Européens ». Jean de Brem qui s’exprime ainsi dans son Testament1 est la figure même de cet homme européen, archétype oublié dont l’absence fait tant défaut à l’heure actuelle. À l’instar de Dominique Venner ou d’Ernst Jünger, en lui cohabitent deux entités à la fois distinctes mais, à bien y regarder, intrinsèquement liées.

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  • Le socialisme héroïque de Mazzini

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    Prophéte du nationalisme italien, Giuseppe Mazzini est, malgré sa réputation d'homme de gauche, un des esprits les plus originaux de son temps. Dans ses écrits, ignorés des Français qui réservent leur admiration à Garibaldi, Mazzini oppose la notion de "devoirs" à celle des "droits" de l'homme. Jean Mabire nous invite à redécouvrir cet éternel rebelle et militant du mouvement ouvrier, qui était fasciné par les héros de l’Antiquité. Si en 1849, l'entrée des troupes françaises dans Rome mit fin à la brève expérience du pouvoir de Giuseppe Mazzini, celui-ci, réfractaire à tout compromis, à la différence des trois artisans de l'unité italienne (Victor-Emmanuel, Cavour et Garibaldi), s'opposera jusqu’au bout à la nouvelle autorité royale italienne comme il s'opposait au pouvoir de l'empire autrichien et à tout matérialisme, qu'il soit capitaliste ou communiste. Il en appelait à "l'élite européenne du parti de l'action"... Avanti Paladin !

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  • Massu (Pierre Pellissier)

    Pierre Pellissier est l’auteur de plusieurs biographies, dont celles de Robert Brasillach et du général Salan. Il a également consacré des ouvrages à la Bataille d’Alger et à celle de Diên Biên Phu.

    Sa biographie du général Jacques Massu nous fait découvrir l’homme, l’officier, le catholique. On le suit depuis l’enfance jusqu’à ses derniers jours sous l’uniforme. Il s’éteint le 26 octobre 2002, après avoir reçu l’extrême-onction des mains du père Maurice Cordier, ancien comme lui de la 2ème DB.

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  • Mazzini, le révolutionnaire solitaire

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    Giuseppe Mazzini (1805-1872) n'est pas seulement un des pères de l'unité italienne (avec Cavour, Garibaldi et Victor-Emmanuel II). Formé par le droit et la philosophie, il est également un théoricien moderne de l'idée républicaine, dans le contexte du Risorgimento (du verbe italien risorgere, resurgir), processus lent et complexe qui invente littéralement la nation italienne. Le rôle essentiel qu'il a joué dans l'histoire de son pays mérite autant d'être connu que l'héritage politique et intellectuel qu'il a laissé. C'est lui qui a élaboré le projet le plus cohérent et le plus moderne : rassembler l'Italie dans une république unitaire. Ayant passé l'essentiel de sa vie en exil, il est à l'échelle européenne l'un des principaux théoriciens de la démocratie moderne, du nationalisme et de la question sociale, ce qui a fait de lui l'un des adversaires longtemps redoutés de Marx. Ses idées restent actuelles sur de nombreux points : la politique comme religion civile ; les rapports entre les nations et l'union des peuples en Europe ; une conception politique et sociale qui s'efforce de concilier libéralisme, démocratie et socialisme, anticipant sur les conceptions du solidarisme voire du socialisme libéral selon des commentateurs actuels. 

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  • Éric Zemmour : « Ce n’est pas la colonisation qui a permis à la France de se développer économiquement, c’est le travail des ouvriers français. Les colonies nous ont coûté très cher » (MàJ)


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