Zeev Sternhell (1935-2020) est un historien israélien, largement reconnu comme un spécialiste du « fascisme ». Hostile à son objet d’étude, comme sioniste de gauche marxisant convaincu, il avait néanmoins adopté une véritable démarche d'historien, en menant des recherches sérieuses sur la documentation primaire, soit les écrits des personnalités réputées « fascistes », et les points de vue des contemporains à leur sujet.
culture et histoire - Page 426
-
Sternhell historien du fascisme, ou la séduisante imposture
-
Carl Schmitt face à la gauche
-
Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 5/5
Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
Cette “guerre préventive” se déclenche donc le 22 juin 1941. Les Allemands avancent rapidement. Après 4 jours, toute la Lithuanie tombe entre leurs mains ; vers la mi-juillet, ils sont aux portes de Leningrad. Le Reich se trouve désormais confronté à une mosaïque de peuples slaves et non slaves, aux frontières floues, disséminés sur un territoire immense, qu'il s'agit d’administrer, d’abord pour faciliter les opérations militaires, ensuite pour créer les bases d’un avenir non soviétique. Les avis divergeaient considérablement : les uns souhaitaient imposer un régime dur de type colonial dans l’espace balte, ukrainien, biélorusse, russe et caucasien ; les autres estimaient qu'il fallait se mettre à l’écoute des aspirations des peuples occupant ces pays, canaliser ces aspirations au profit du reste de l’Europe et atteler leurs potentialités humaines et économiques à un grand projet d’avenir : l’espace indépendant de la Grande Europe, de l’Atlantique à l’Oural et au-delà.
-
Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 4/5
Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
-
Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 3/5
Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
- Ce n'est pas l’Allemagne qui a attaqué la France et l’Angleterre, mais ce sont la France et l’Angleterre qui ont attaqué l’Allemagne et ont donc pris sur elles la responsabilité de la guerre actuelle.
- Après le déclenchement des hostilités, l’Allemagne a fait des propositions de paix à la France et à l’Angleterre et l’Union Soviétique a ouvertement soutenu ces propositions allemandes, parce qu'elle a cru et croit toujours qu'une fin rapide de la guerre améliorerait radicalement le sort de tous les pays et de tous les peuples.
- Les castes dominantes de France et d’Angleterre ont rejeté de façon blessante les propositions de paix allemandes et les efforts de l’Union Soviétique en vue de mettre rapidement fin à la guerre. Voilà les faits.
-
Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 2/5
Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
-
Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 1/5
Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
La problématique complexe des relations germano-soviétiques revient sur le tapis en Allemagne Fédérale depuis quelque temps. Trois livres se sont penchés sur la question récemment, illustrant leurs propos de textes officiels ou émanant de personnalités politiques. Pour connaître l’arrière-plan de l’accord Ribbentrop-Molotov, l’historien britannique Gordon Lang, dans le premier volume de son ouvrage,
-
Selon que vous serez Blanche ou Noire, les jugement médiatiques vous feront une plagiaire ou un auteur à succès !
Car c’est ainsi maintenant. Et, par la magie du pouvoir médiata loi n’est pas la même pour tout le monde
En 1996, sa condamnation pour plagiat (que l’on nomme aujourd’hui pudiquement « contrefaçon » !) de « Quand j’avais cinq ans, je m’ai tué », d’Howard Buten, n’empêche pas l’écrivaine franco-camerounaise Calixthe Beyala d’être primée. Ni, surtout, de poursuivre une carrière de récidiviste.
Peu d’auteurs ont incarné avec autant de morgue le peu d’effet sur un parcours d’un plagiat reconnu par la justice. Condamnée en mai 1996 pour avoir pillé le best-seller d’Howard Buten, confondue de nouveau quelques mois plus tard – sans la moindre suite judiciaire cette fois – pour s’être un peu trop inspirée d’au moins cinq autres auteurs, Calixthe Beyala n’en a pas moins obtenu, dans la foulée de son procès, le Grand Prix du roman de l’Académie française pour Les Honneurs perdus (Albin Michel, 1996) – le livre avait figuré la même année sur les premières sélections du prix Goncourt !
-
Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie contre la Révolution antisociale de 1791 et d'après...
Si vous étudiez l'histoire sociale française, vous constaterez aisément que la Révolution française fut le pire moment "libéral" de l'histoire de France, en particulier à travers les lois d'Allarde et Le Chapelier de 1791 qui détruisirent les corporations et tout le modèle social corporatif quand les lois de 1790 contre l’Église avaient déjà entraîné une hausse immédiate de la pauvreté, en particulier dans les campagnes...
-
Asmodée, le gardien du trésor de Salomon - Démonologie