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culture et histoire - Page 430

  • Le chanteur breton Christoff BZH invité par Martial Bild sur TV libertés

    Il est auteur, compositeur et interprète. Il est breton, c’est son identité. Il aime la France, il est donc un chanteur engagé qui sort des sentiers battus. Son deuxième album « Arcadia » a franchi les cercles confidentiels pour connaitre les vrais débuts du succès avec notamment « Dès demain » (avec Romain Guérin) et « Ar Lann Am Helenn » (avec Delphine), des titres phares d’un album aux influences multiples et sophistiquées. Christoff est un chanteur sincère et simple, éloigné des produits marketing et commerciaux que les radios déversent. Il a fait le choix d’être un chanteur à contre-courant quel que soit le prix à payer. Très peu disert et entièrement voué à sa musique, il se confie à TVLibertés et interprète « Dès demain » accompagné de sa seule guitare. L’album « Arcadia » est parfait pour vous accompagner tout au long de l’été !


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    Christoff BZH en concert lors des Journées de Synthèse nationale en 2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le culte solaire1/2

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    Une part considérable des rituels païens se réfère plus ou moins intensément à la force du soleil et à sa course dans le ciel. Les grands rituels festifs saisonniers au moment des solstices et le rituel de remerciement pour les récoltes sont très nettement des rituels solaires. Quant aux rituels qui ponctuent le cours de la vie, ils se réfèrent également, via la symbolique du feu, à des formes du culte solaire et de la vénération pour cet astre. La vénération de la lune et les formes rituelles du culte lunaire ne se retrouvent que sporadiquement dans les rituels solaires que nous venons d'évoquer. Nous nous concentrerons donc, ici, sur le savoir relatif au culte solaire dont nous disposons, mis à part les rituels solsticiaux, qui méritent une analyse plus spécifique.

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  • Perles de Culture n°305 : Et si la République demandait pardon aux Vendéens !

    Anne Brassié reçoit Corentin Stemler pour une pièce de théâtre rédigée avec Guillaume Bernard : « L’empereur et les brigands » (Nouvelles Editions Latines). A la manière d’Anouilh, un lecteur contemporain discute avec l’empereur et lui demande s’il n’est pas temps de demander pardon aux Vendéens. Percutant et dans le même esprit que le livre de Thomas Flichy de La Neuville : « L’Empire de Bonaparte – Laboratoire de la domination absolue », reçu récemment.


    https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n305-et-si-la-republique-demandait-pardon-aux-vendeens

  • « La Traite des Slaves : l’esclavage des Blancs du VIIIe au XVIIIe siècle » de Alexandre Skirda

    Un crime contre l’humanité politiquement incorrect : la traite des Slaves du VIIIe au XVIIIe siècle.

    Sait-on que le mot français « esclave » vient du latin sclavus désignant l’homme slave asservi, terme apparu en ce sens en 937 dans un diplôme germanique puis largement utilisé dans les actes notariés gênois et vénitiens à partir de la fin du XIIe siècle pour finalement s’imposer dans les langues romanes et germaniques ? L’étymologie, encore plus explicite en anglais, révèle un fait historique le plus souvent ignoré non seulement du grand public, mais du milieu historien lui-même : la traite esclavagiste exercée aux dépens des peuples slaves du VIIIe au XVIIIe siècle.

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  • Le 14 juillet... Rétablir la vérité historique, tout simplement

    Cette année, la célébration du 14 juillet est… minimale, covid-19 oblige. Mais n’est-ce pas l’occasion, justement, de renouer avec l’étude de l’histoire, pas forcément celle des manuels de l’éducation nationale (parfois bien mal nommée…), mais celle qui cherche à connaître, à vérifier, à comprendre et, parfois, à éviter les pièges tendus par l’actualité et les rumeurs qui, elles non plus, ne s’arrêtent jamais, au grand dam de l’intelligence et de la mesure.

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  • La traque du Bismarck (François-Emmanuel Brézet)

    François-Emmanuel Brézet, ancien officier de marine et docteur en histoire, est l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la marine militaire allemande durant la seconde guerre mondiale.

    Les éditions Perrin viennent d’éditer en format poche, dans leur collection Tempus, La traque du Bismarck qui retrace les derniers jours d’un mythe, celui du cuirassé Bismarck, mis sur cale le 1er juillet 1936 et lancé à l’eau le 14 février 1939 lors d’une cérémonie présidée par Adolf Hitler en personne.

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  • La spiritualité païenne au sein du Moyen Âge “catholique”4/4

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    De plus, la légende établit une “parenté” significative entre ce roi des Croisés et le mythique "Chevalier au cygne" (l'Hélias français, le Lohengrin germanique) qui, à son tour, se réfère à des symboles impériaux païens (que l’on pense à sa connexion généalogique symbolique avec César lui-même), solaires (voir les relations étymologiques entre Hélias, Hélios et Elie) et pagano-hyperboréens (le cygne qui conduit Hélias ou Lohengrin au "siège céleste" est le même animal emblématique qui ramène Apollon parmi les Hyperboréens et revient fréquemment dans les traces paléographiques du culte nordico-arctique préhistorique). Une telle conjonction d’éléments fait que Godefroy de Bouillon fut un signe de plus — en relation avec les Croisades elles-mêmes — donnant le véritable sens de cette force secrète qui, dans la lutte politique des empereurs germaniques et dans le triomphe même d’un Othon Ier, ne révèle que sa manifestation extérieure la plus visible.

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  • La spiritualité païenne au sein du Moyen Âge “catholique”3/4

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    Mais cette même signification réapparaît aussi dans de très nombreuses légendes relatives aux empereurs germaniques, où interférent le réel et l’irréel, l’Histoire et le mythe. En plus de Charlemagne, Frédéric Ier et Frédéric II, entrés dans la légende, ne seraient jamais morts. Ils auraient reçu en don du mystérieux "Prêtre Jean", qui n'est autre qu'une figure médiévale du "seigneur universel", les symboles d’une vie éternelle et d’un pouvoir non humain de victoire (la peau de salamandre, l’eau de vie, l’anneau d’or). Ils poursuivraient leur existence au sommet d’une montagne (par ex. l’Odenberg ou le Kyffhaüser), quelquefois en un lieu souterrain. Ici également reviennent les symboles, que nous pouvons définir comme universels, d’une tradition païenne très ancienne.

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