culture et histoire - Page 427
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Le Seigneur des Anneaux raconté par la DROITE - Le Soleil se lève #23 (Ferrier, Les Zardoziens)
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Auguste Comte
Auguste Comte est né le 19 janvier 1798 à Montpellier (Hérault). Il perd la foi à l'âge de 14 ans. Admis à l'âge de quinze ans à l'Ecole Polytechnique, où il fut surnommé Sganarelle ou le philosophe par les élèves, il ne la fréquentera pas longtemps car la promotion fut dissoute suite à une révolte. Il vit à Paris de quelques leçons de mathématiques et fait la connaissance de Saint-Simon vers 1817. Il sera son collaborateur jusqu'en 1825. Saint-Simon (1760-1825), parent du mémorialiste, eut une grande influence sur lui. Acquis aux idées à la mode, converti à la vision du monde de la bourgeoisie, Saint-Simon participa à la guerre d'Amérique aux côtés de La Fayette.
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CARREL, CET INCONNU
Il ne se passe pas de semaine sans que quelque censeur vindicatif ne vienne cracher sur la tombe d'Alexis Carrel. Le prix Nobel, auteur du best-seller L'homme cet inconnu, est accusé d'avoir été «raciste», «eugéniste», « théoricien des chambres à gaz » et «collaborateur». Cela suffit pour que des gardiens auto-proclamés de la mémoire exigent que les rues, les boulevards, les avenues ou les facultés Alexis-Carrel soient débaptisés. Or, Jean-Jacques Antier, dans la biographie qu'il vient de lui consacrer (1) nous brosse le portrait d'un scientifique au parcours hors du commun.
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« Jean Lartéguy : le dernier centurion » de Hubert Le Roux
« Incontournable pour ceux qui souhaitent une bonne introduction à la vie et à l’œuvre du dernier centurion, ce livre plaira et peut-être même régalera les connaisseurs les plus exigeants »
Dans son livre « Jean Lartéguy Le dernier Centurion » Hubert Le Roux présente Jean Lartéguy comme un historien, un romancier - deux personnages qui souvent s’opposent - un sociologue, un peintre et un philosophe. Jean Lartéguy aura été un grand spécialiste de « l’aventure militaire » et, surtout, il aura œuvré tout au long d’une période unique en son genre où l’ensemble de l’armée française a mené le combat au feu, qu’il s’agisse des professionnels ou d’appelés du contingent, dans ce qu’on a appelé vulgairement les guerres coloniales.
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LA NUIT DES PRIVILÈGES.
Un ami qui souhaite garder l’anonymat a commis ce papier sur le blog de « La dépêche francophone, prospective sociale ».
Le 4 aout est déjà loin derrière nous, mais le sujet méritait d’être évoqué, surtout en ces termes, qui l’inscrivent bien dans notre actualité.(NDLR)
Tous les ans, au quatrième jour du mois d’août, je me demande ce qui me reste comme privilèges, sachant qu’ils seront abolis durant la nuit qui vient…
Depuis l’arrivée de la COVID, j’ai de moins en moins le privilège de pouvoir me déplacer librement, encore moins celui de sourire à mon prochain, a fortiori de l’embrasser (et il s’agit ici, exclusivement, et je tiens à le préciser pour éviter toute confusion, de ma prochaine). Que me reste-t-il donc de si précieux, que l’on pourrait me supprimer ?
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Histoire de la France en 365 dates (Claude Quétel & Isabelle Dumielle)
Isabelle Dumielle est docteur en histoire, diplômée de la Sorbonne, et déjà auteur de plusieurs ouvrages, notamment sur la Grande Guerre. Claude Quétel est directeur de recherche au CNRS et l’auteur de plusieurs ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale. Ensemble, ils ont rédigé cette Histoire de France en 365 dates destinée à offrir des repères chronologiques aux jeunes Français, en butte à des programmes scolaires où l’histoire est à la fois sans cesse rétrécie en termes d’heures d’enseignement et mondialisée, pour mieux fuir toute histoire nationale.
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Pertes de la guerre 1914-1918 : quelles régions ont-elles versées le plus le prix du sang ?
Quand on regarde la carte des régions les plus frappées par la Première Guerre Mondiale, on constate que les départements n’ont pas été égaux devant la mort.
– Départements comptant plus de 8,8 % des hommes morts : Corrèze, Côtes d’Armor, Lozère, Mayenne et Vendée.
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Les monstres et créatures de légendes - Bestiaire des Mythologies
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Le défi d’une utopie : « La face cachée du multiculturalisme »
S’il ne fera pas l’unanimité, l’essai de Jérôme Blanchet-Gravel est une lecture néanmoins nécessaire. Ses deux cents et quelques pages précisent non seulement le multiculturalisme mais aussi les termes de la fracture intellectuelle – et donc potentiellement politique – latente entre un nationalisme classique et la mouvance identitaire.
Le multiculturalisme n’est pas un progressisme
Jérôme Blanchet-Gravel circonscrit le multiculturalisme en l’inscrivant au sein de la « postmodernité », soit l’époque dans laquelle nous nous trouvons, époque qui rompt avec la modernité principalement libérale. Parce qu’il est postmoderne, le multiculturalisme exprime et contribue à un retour du tribalisme, du religieux, de la Tradition, de l’hédonisme et du nomadisme.
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Un entretien avec Horst Mahler 4/4
Quand sonnera l’heure du besoin et de la nécessité, l’appartenance au peuple allemand, par l’origine familiale, la langue et la culture, primera; ce sera une communauté solidaire et un espace de protection contre les influences extérieures, y compris pour les militants de gauche. Elle (re)deviendra très vite une réalité vivante. Le blabla inconsistant qui ne cesse de poser des questions sans raison, comme chercher à savoir si la nation est encore une réalité adaptée à notre temps ou non, sera balayé. L’influence délétère des cénacles de la côte orientale des États-Unis ne pourra plus s’exercer.