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culture et histoire - Page 518

  • Georges Sorel : socialisme et violence 2/4

    L’apologie concomitante du monde rural constitue, chez les socialistes français, une véritable critique de « la réduction économiste de la réalité humaine » (Idée générale de la Révolution). Mais cette apologie ne doit pas être confondue avec un quelconque attachement réactionnaire au monde paysan. L’idéologie socialiste de Proudhon défend la production agricole sans lui coller des valeurs de droite, telles que le fit l’État français entre 1940 et 1944.

    La terre et l’industrie sont 2 facteurs de travail et de production reliées par un système englobant de fédérations. Et la révolution est « le refus de la réduction d’un ordre social pluridimensionnel à la seule finalité économique » (P. Pastori, op. cit.).

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  • La Petite Histoire : Jeanne Hachette, une héroïne française

    Son existence est parfois remise en doute mais sa légende, bâtie au fil des siècles, est loin d’être enterrée. En 1472, alors que les Bourguignons ravagent la région sur les ordres furieux de Charles le Téméraire, une ville pourtant sans garnison va résister aux envahisseurs. Cette ville, c’est Beauvais, où tous les habitants se mobilisent pour en interdire l’accès aux troupes du duc de Bourgogne. Les combats sont farouches, et les femmes y prennent toute leur place, notamment l’une d’entre-elles, une certaine Jeanne Hachette. Armée d’une petite hache, elle repousse un assaillant et parvient même à capturer son étendard, redonnant ainsi du courage à tous les assiégés. Elle restera, aux yeux de l’histoire, le symbole de la résistance beauvaisienne, et surtout de la bravoure des femmes lors de ce siège.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-jeanne-hachette-une-heroine-francaise

  • Georges Sorel: socialisme et violence 1/4

    Pour la plupart de nos contemporains, l’évocation de Georges Sorel revient le plus souvent à l’analyse du théoricien de la violence. Son ouvrage le plus célèbre, Réflexions sur la violence (1908), constitue une contribution irremplaçable au mythe révolutionnaire. On sait l’importance que constitue pour ce penseur exceptionnel le concept de « mythe ». Le mythe révolutionnaire sorélien est inspiré d’une vision polémologique des rapports sociaux. La violence informe l’action révolutionnaire et l’investit d’une conception réaliste de l’histoire. Comme moyen d’agir sur le présent, le mythe prolétarien est un outil au service de la révolution anti-bourgeoise. C’est aussi un outil conceptuel qui doit d’abord s’opposer à la fois à l’utopie socialiste et au conservatisme libéral. Ce discours très original, activiste par excellence, donne une place privilégiée à l’œuvre de Sorel dans notre conception du socialisme.

    Avant d’aborder l’analyse proprement dite du mythe de la violence comme idée-force chez Sorel, il est utile de présenter l’homme et son œuvre. C’est à partir de cette connaissance de l’environnement idéologique que nous pourrons, dans une 2nde partie, présenter les caractères de cette « violence » en tant que mythe et des conséquences qui en découlent sur notre propre position.

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  • Sur la page FB de nos amis du GAR : monarchiste parce que social.

    En ces heures particulières de la vie de notre pays, il est temps de reposer la question institutionnelle : si nous sommes royalistes, ce n'est pas par hasard ou par idéologie, mais par l'étude de l'histoire, "champ d'expérience politique", et par la conviction profonde que la Monarchie royale est la mieux à même d'incarner la justice sociale et de préserver les intérêts du "pays réel" des travailleurs, des métiers, des régions...

    Oui, la Monarchie qu'il faut instaurer pour le XXIe siècle doit être sociale, et elle doit favoriser la vie et l'épanouissement des Français, dans leurs cadres sociaux et professionnels, en permettant aussi la création de "corps de métiers" capables de défendre autant la qualité du travail que de permettre la protection des travailleurs. Tel est le sens de "sociale et corporative".

    Sources : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

    http://www.actionroyaliste.fr/

  • Bastien-Thiry, rebelle d'honneur

    Bastien-Thiry, rebelle d'honneur .jpeg« Bastien-Thiry avait quelque chose de romantique. Ce sera un bon martyr », avait ironisé le général de Gaulle deux jours après l’exécution du lieutenant-colonel. Ce martyr mérite de figurer au panthéon des héros français.

    Le livre que consacre Olivier Sers à l'officier supplicié, publié chez Pardès, est plus qu'une biographie, un témoignage, puisque l'auteur fut lui-même associé à l'attentat du Petit-Clamart, avant d'être arrêté en juin 1962, en cherchant des armes pour tenter de délivrer le lieutenant Degueldre, chef des commandos « Delta » d'Alger.

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  • Le Système est l’héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes (5)

    Aujourd'hui, Robespierre porte costume et cravate, il affiche une apparence distinguée, et loge sans vergogne dans les appartements de la Royauté, tâchant de ressembler à ces autres Rois ou Présidents du monde.

    Mais il ne s'agit que d'un masque, d'une leurre, d'une Tartuferie institutionnalisée : c'est "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui est en place, sous des apparences "normales" et policées; et ce chaos n'est rien d'autre que l'héritier assumé du "chaos explosif des révolutionnaires".

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  • Sicile carrefour des civilisations

    Principale porte de l’Europe pour les migrants africains, la Sicile est, de fait, une sorte d'Eden méditerranéen Au carrefour des civilisations du Mare nostrum s'est construite une culture originale et puissamment séduisante.

    Pozzallo, 19 000 âmes, est un petit port pour les plaisanciers mais un grand Eldorado pour les migrants. Depuis 2014, cette commune du sud de la Sicile est devenue l'un des principaux « points chauds » de l'immigration illégale en Italie. Début juin, à peine intronisé, Matteo Salvini s'y est rendu pour marteler son credo : « La Sicile ne peut plus être le camp de réfugiés de l'Europe ».

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  • SI VIS PACEM PARA BELLUM

    L’Européen contemporain n’imagine pas avoir à faire la guerre. Une réflexion du philosophe Robert Redeker.

         En Centrafrique, au Mali ou en Afghanistan, de jeunes hommes ont récemment perdu la vie sous l’uniforme français. Quel écho rencontrent ces morts survenues dans le cadre militaire ? Dans la société, il est faible.

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