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culture et histoire - Page 519

  • Petites réflexions éparses sur la découverte de l’Amérique par les Scandinaves 2/3

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    Meier et Zschweigert évoquent aussi la voie “terrestre” vers l’Amérique, qu’il était possible d’emprunter, il y a environ 16.000 ans. La calotte glaciaire pesait à l’époque sur l’ensemble de la Scandinavie, sur une bonne partie des Iles Britanniques et sur tout le pourtour de la Baltique et sur l’Allemagne du Nord. L’actuel Canada et une bonne frange du territoire des États-Unis se trouvaient aussi sous une épaisse calotte. Mais la côte orientale de la mer Blanche et l’Alaska étaient dégagés de l’emprise des glaces. Il y avait possibilité, en longeant la banquise arctique et en passant de la Sibérie occidentale à la péninsule de Kola, d’aller vers les Spitzbergen et, de là, au Groenland.

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  • Petites réflexions éparses sur la découverte de l’Amérique par les Scandinaves1/3

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    En me demandant d’écrire un petit article sur la découverte de l’Amérique par les Scandinaves, Bernard Levaux, sans aucune intention maligne, ouvre, une fois de plus, ma secrète boîte de souvenirs d’adolescent. C’est une fois de plus parce que l’article qu’Yves Debay a écrit récemment dans les colonnes de ce bulletin, avait déjà ravivé quelques bons et solides souvenirs car ce sacré Yves Debay était un camarade d’école, forcément inoubliable vu sa personnalité, et un compagnon de voyage en Grèce en 1973. Enfin, parce que le thème que Bernard Levaux me demande d’aborder me ramène en fait à la même année : The Vinland Saga – The Norse Discovery of America est le tout premier livre sérieux, le tout premier classique, que j’ai acheté en anglais, sans vraiment connaître encore tous les secrets de la langue de Shakespeare. Généralement, en anglais, j’achetais en temps-là des livres ou des revues sur les maquettes d’avions ou de chars, comportant profils ou guides de peinture. À cette époque, j’avais la même habitude que le Professeur Piet Tommissen, dont on vient de déplorer la disparition à Bruxelles en août 2011, celle d’inscrire la date d’achat de chaque livre sur un coin de la première page. C’est donc avec émotion que j’ai repris entre mes mains de quinquagénaire ce premier bon livre anglais de ma bibliothèque et que j’ai retrouvé la mention “20 Jan. 1973”.

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  • Les artistes sous le Covid-19. Bébert des Forbans - Charles Gave

  • Inexprimable exception Culture : les nombres contre l’art, par Natacha Polony.

    Bande à part, 1964, Jean Luc Godard © Anouchka films / Orsay films / Collection Christophe L 

    La crise sanitaire nous a privés de la rencontre "charnelle" avec l'art. Mais au royaume de la performance, l'efficacité s'était déjà invitée en vedette dans le monde de la création. Au détriment de l'émotion.

    Savons-nous réellement ce qui nous manque quand les théâtres, les musées, les cinémas sont fermés, quand les concerts et les expositions sont annulés ? Sommes-nous seulement persuadés que quelque chose nous manque ? Il est significatif que, plusieurs fois au cours de cette pandémie, les discours politiques aient oublié ce pan de notre vie commune, alors même qu’il représente aussi ce qui devrait intéresser nos pragmatiques décideurs : des emplois et une production de richesses.

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  • La première union des droites

    La première union des droites .jpegL’union des droites est une arlésienne : elle est sur toutes les lèvres, on l’attend en vain. Son apparition date pourtant de 1849. Cette union, baptisée « Parti de l’Ordre » fut un succès, hélas sans lendemain.

    Février 1848. Comme tous les quinze ans, Paris fait sa révolution. Après la Monarchie de Juillet s’installe une République, deuxième du nom. Au suffrage universel masculin (pour la première fois en France !) on élit une Assemblée nationale constituante. Cette chambre est fort disparate. En apparence, une vaste plaine de « républicains modérés » (six-cent sièges domine.

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  • Zoom – Jean-Gilles Malliarakis : 100 ans du PCF, parlons-en !

    Journaliste, écrivain, intellectuel de droite, Jean-Gilles Malliarakis publie, en collaboration avec Charles Culbert : « La terreur rouge – Théorie et pratique ». Alors que la presse subventionnée a fêté les 100 ans du Parti communiste français en décembre dernier, l’auteur fait quelques rappels nécessaires :

    – En France, St Just préfigure Marx et l’on peut faire une parenté entre jacobinisme et bolchévisme. De la Terreur bleue à la Terreur rouge.

    – Dès 1922, à travers les documents Tchernov, les dirigeants occidentaux connaissaient le totalitarisme communiste et ses méthodes, 50 ans avant « L’archipel du goulag » d’Alexandre Soljenitsyne.

    – L’héritage communiste n’est pas liquidé. Il n’y a pas eu de possible « Nuremberg du communisme ». Et aujourd’hui, la Chine reste le remarquable élève du système totalitaire soviétique.

  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes (17)

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

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  • Qu’est ce que le nationalisme-révolutionnaire ? 3/3

    Elle oppose une Waffen SS matrice de la « révolution européenne », « socialiste » car sans intellectuel ni Juif, à une figure enrichie de l’Ennemi total où le discours sur l’anéantissement du judéo-bolchevisme désigne dorénavant un monstre judéo-américano-soviétique dont « l’impérialisme » agresserait l’Europe. Dès 1943, la République Sociale Italienne se veut un au-delà du fascisme, en renouant avec les racines révolutionnaires du phénomène grâce à une idéologie socialiste et eurofédéraliste. Les grands axes idéologiques du néo-fascisme n’ont ensuite plus guère variés jusqu’à nos jours.

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