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culture et histoire - Page 520

  • La première union des droites

    La première union des droites .jpegL’union des droites est une arlésienne : elle est sur toutes les lèvres, on l’attend en vain. Son apparition date pourtant de 1849. Cette union, baptisée « Parti de l’Ordre » fut un succès, hélas sans lendemain.

    Février 1848. Comme tous les quinze ans, Paris fait sa révolution. Après la Monarchie de Juillet s’installe une République, deuxième du nom. Au suffrage universel masculin (pour la première fois en France !) on élit une Assemblée nationale constituante. Cette chambre est fort disparate. En apparence, une vaste plaine de « républicains modérés » (six-cent sièges domine.

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  • Zoom – Jean-Gilles Malliarakis : 100 ans du PCF, parlons-en !

    Journaliste, écrivain, intellectuel de droite, Jean-Gilles Malliarakis publie, en collaboration avec Charles Culbert : « La terreur rouge – Théorie et pratique ». Alors que la presse subventionnée a fêté les 100 ans du Parti communiste français en décembre dernier, l’auteur fait quelques rappels nécessaires :

    – En France, St Just préfigure Marx et l’on peut faire une parenté entre jacobinisme et bolchévisme. De la Terreur bleue à la Terreur rouge.

    – Dès 1922, à travers les documents Tchernov, les dirigeants occidentaux connaissaient le totalitarisme communiste et ses méthodes, 50 ans avant « L’archipel du goulag » d’Alexandre Soljenitsyne.

    – L’héritage communiste n’est pas liquidé. Il n’y a pas eu de possible « Nuremberg du communisme ». Et aujourd’hui, la Chine reste le remarquable élève du système totalitaire soviétique.

  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes (17)

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

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  • Qu’est ce que le nationalisme-révolutionnaire ? 3/3

    Elle oppose une Waffen SS matrice de la « révolution européenne », « socialiste » car sans intellectuel ni Juif, à une figure enrichie de l’Ennemi total où le discours sur l’anéantissement du judéo-bolchevisme désigne dorénavant un monstre judéo-américano-soviétique dont « l’impérialisme » agresserait l’Europe. Dès 1943, la République Sociale Italienne se veut un au-delà du fascisme, en renouant avec les racines révolutionnaires du phénomène grâce à une idéologie socialiste et eurofédéraliste. Les grands axes idéologiques du néo-fascisme n’ont ensuite plus guère variés jusqu’à nos jours.

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  • Qu’est ce que le nationalisme-révolutionnaire ? 2/3

    Leur opportunisme extrême est à lier au fait qu’ils ont plus développé une vision du monde qu’un corpus doctrinal monolithique. Alors qu’ils s’affirment intransigeants, les NR peuvent aussi bien : proclamer qu’ils sont les ennemis ultimes des nationaux et participer à l’encadrement et/ou à la marge d’un parti national-populiste ; appeler à la jonction avec les gauchistes et se rapprocher des néo-nazis ; exalter les notions raciales et être jacobins ; prôner l’action directe ou un patient travail de formation philosophique, etc. Malgré les références constantes à Lénine, il n’y a donc pas un dogme qui construit l’action, mais la recherche d’une action politique extrayant de l’impuissance et, finalement, c’est ici la propagande qui construit l’idéologie et non l’inverse.

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  • Qu’est ce que le nationalisme-révolutionnaire ? 1/3

    Ce texte de Nicolas Lebourg a été publié début 2009 sur Fragments sur les Temps Présents, pour cause d’actualité nous le republions.

    Le nationalisme-révolutionnaire se veut l’un des phénomènes politiques les plus originaux de ces dernières décennies. Il équivaudrait à un néo-fascisme qui serait un fascisme de « gauche », économiquement socialiste, globalement pro-soviétique durant la Guerre froide, souvent philo-maoïste. Cela a mené à la production d’autres désignations, toutes basées sur l’attirance de l’oxymoron provocateur : « gauchistes de droite », « nationaux-communistes », « fascistes de gauche », « nazi-maoïstes », « rouges-bruns », entre autres. Il est en tous cas certain que le nationalisme-révolutionnaire se construit via une propagande sur le thème du fascisme de gauche et une stratégie qui se veut un léninisme de droite. L’histoire du nationalisme-révolutionnaire reste cependant indubitablement liée à l’humiliation de l’échec de l’Algérie française qui oblige les néo-fascistes à chercher une nouvelle voie tant en leurs pratiques qu’en leur idéologie.

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  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes (16)

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

    Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...

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