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culture et histoire - Page 648

  • Formation et militantisme : Bordeaux, Carcassonne, Evry, Le Mans, Limoges, Lyon, Mulhouse, Toulon...

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  • Le numéro 1182 (27 janvier 2020) de Royaliste est paru...

    Sommaire

    Page 2 – Leçons australiennes. – Un semblant de démocratie participative.
    Page 3 – Affaire Matzneff : justice n’est pas faite. – L’Écho du net.
    Page 4 – Remettre le fret sur les rails. – La quinzaine sociale.
    Page 5 – Libye : le renard du désert.
    Pages 6 et 7 – Retraites : opposition et propositions.
    Page 8 – Reconnaissance faciale ? – Revue des revues.
    Page 9 – Hugo est-il le génie français ?
    Page 10 – Sándor Marai. – La Bruyère. – Le Carnet.
    Page 11 – Le mouvement royaliste.
    Page 12 – Éditorial : Propos sur la dictature.
     
    Nouvelle Action royaliste – 36-38, rue Sibuet - Bloc C - boite 13 - 75012 PARIS

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • En cuisine... la guerre est aussi culturelle !

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    Par Périco Légasse

    Anonçant la rétrogradation de trois à deux étoiles du restaurant Paul Bocuse, en ouverture de sa matinale sur RTL vendredi 17 janvier 2020, notre confrère Yves Calvi, peu connu pour ses outrances, lâchait à l’antenne la phrase culte de Michel Audiard : « Les cons, ça ose tout ». Il ne pouvait mieux dire pour commenter l’aberrante et absurde décision du Guide Michelin. Aberrante, car s’il est un socle sur lequel s’appuie la restauration pour établir un code de valeurs quant aux types de prestations, aux genres culinaires et à l’éthique professionnelle actuellement en vigueur dans l’hôtellerie française, c’est bien le restaurant de Paul Bocuse, à Collonges-au-Mont-d’Or. Socle dont Michelin s’est toujours prévalu, voire inspiré, pour se maintenir comme la référence quasi officielle du mercato hôtelier. Une complicité tacite impliquant un classement particulier pour le temple lyonnais le jour où le grand prêtre viendrait à disparaître.

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  • Trois couleurs de terrorisme

    6a00d8341c715453ef0240a4b84414200c-320wi.jpgOn doit évidemment, d'abord, s'entendre sur les mots. Celui de terrorisme était employé par la presse parisienne au temps de l'occupation pour désigner la résistance. Un quart de siècle plus tard, dans les années 1970, on accolait toujours ce mot à celui de palestinien. Depuis les accords d'Oslo de 1993 et quel que soit l'avenir promis au plan de paix et à la carte des deux États twittés ce 28 janvier par Donald Trump, cette assimilation automatique n'existe plus dans le langage quotidien.

    Le vocabulaire évolue, les goûts et les couleurs aussi. Pendant longtemps on a, par exemple, associé à l'islam son étendard vert : aujourd'hui on attribue cette couleur aux écologistes. Idem pour le bleu que l'on considère désormais comme la douce nuance préférée des Français, alors que dans les guerres de l'ouest elle désigne les cruels jacobins et plus généralement ces républicains qui s'employaient à noyer dans la Loire les Vendéens et les Nantais, à massacrer les Lyonnais, à guillotiner les royalistes, etc.

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  • UN SYMPATHIQUE ARTICLE SUR SYNTHÈSE NATIONALE PUBLIÉ DANS "PRÉSENT" D'AUJOURD'HUI

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    Lu dans le quotidien Présent daté du mercredi 29 janvier 2020, un agréable article signé Jean-Claude Rolinat sur le livre Pour une Synthèse nationale de Roland Hélie cliquez ici

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    Pour une Synthèse nationale :

    Dans tous les milieux de ce qu’il est convenu d’appeler « la droite nationale », dans la plupart des manifestations de la « droite hors les murs », on croise sa silhouette arrondie, allant de stand en stand, prenant la parole ici ou là, animant émissions et interviews sur la web radio, Radio Libertés par exemple. Roland Hélie, infatigable militant ayant gardé l’enthousiasme de sa jeunesse malgré ses 60 ans dépassés, nous fait penser à un débonnaire Falstaff diffusant la bonne parole. Hélie ? « C’est un moine-soldat » diront certains, car le bonhomme ne perd pas l’espoir de voir, un jour, ses idées, « nos » idées mijotées dans nos cercles de pensée, finalement triompher. Que l’on nous permette de douter de la justesse du qualificatif de « moine » lorsque l’on côtoie, à table, l’ami Roland….

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  • Les volontaires du Roi, un passionnant roman historique signé Bernard Lugan et Arnaud Gaudin de Lagrange

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    1789-1794, bien décidé à « torcher les félons », Septime de Saint-Mayeul, héritier spirituel du Connétable de Bourbon, entre en guerre contre la Révolution et ses partisans.
    Sans illusion sur les destinées politiques du pays, conscient de vivre un crépuscule, avec quelques compagnons aussi déterminés que lui, il mène sa « petite guerre » au cri de « Vive le Roi quand même ! », qui pourrait être un « Vive le roi pourtant ».

    Septime de Saint-Mayeul sait en effet que le royaume de France ne sera plus ce qu’il fût. La chaîne étant brisée, plus jamais un Roi ne guérira les écrouelles…
    A travers la vie de ce personnage haut en couleur dont la devise « Plutôt le sang de mon ennemi sur mon sabre que mon sang sur le sien » sert de programme, le lecteur traversera un demi-siècle d’histoire tumultueuse qui le mènera des hautes futaies de la forêt de Tronçais aux intrigues de Versailles ; de l’épopée de la Nouvelle-France aux fracas de la Révolution et des gloires de l’Empire aux déceptions de la Restauration.

    – Editions Balland, 364 pages.

    Pour en savoir plus, c’est ici !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/