Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 647

  • SACR TV, la chaine vidéo de nos amis du GAR sur Dailymotion et YouTube.

    https://www.dailymotion.com/search/sacr tv/videos

    https://www.youtube.com/user/SACRvideos/videos

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/24/sacr-tv-la-chaine-video-de-nos-amis-du-gar-sur-dailymotion-e-6214617.html

  • Ces mouvements fascistes qui ont choisi la résistance au nazisme

    Ces mouvements fascistes qui ont choisi la résistance au nazisme.jpegDécidément, où s'arrêtera le révisionnisme ? En 1984, un livre du Club de l'Horloge posait la question. Socialisme et fascisme  une même famille ? (Albin Michel) et y répondait par l'affirmative. Tout récemment, ce sont deux universitaires, MM. Handourtzel et Buffet, qui démontrent dans un essai au titre évocateur que La collaboration... à gauche aussi (Perrin, 1989). Autant de mythes soigneusement entretenus depuis plus de 40 ans sur la prétendue non compromission de la gauche avec le fascisme qui s'effondrent. Ceci acquis, c'est à un autre montage qu'il s'agit de s'attaquer, celui de l'équation fascisme = collaboration. Des mouvements - et non seulement des individualités - classés comme fascistes ou « d'extrême droite » ayant, en Europe, durant la dernière guerre, choisi la Résistance, il n'en manque pas. Place aux faits.

    Philippe Vilgier

    Qui furent les premiers résistants français ? La réponse d'Alain Griotteray dans son livre 1940 : La droite était au rendez-vous (Laffont, 1985) ne laisse planer aucun doute. Ce furent des nationalistes.

    Lire la suite

  • Adieu, mon vieux ‟Minute”, par Francis Bergeron

    9560-20200225.jpgUne décision du tribunal de commerce en date du 29 janvier 2020 nous apprend, sans autres explications, que l’hebdomadaire Minute a été mis en liquidation. Ce journal satirique et d’investigation, sorte de Canard enchaîné de droite, a joué un rôle capital, exceptionnel même, dans l’histoire des droites françaises, et dans l’histoire à l’époque gaulliste, et ceci pendant près de 60 ans. Quand un confrère de cette importance disparaît, on ne peut s’empêcher de se demander : pourquoi cette disparition ? Et aussi : qu’aurait-il fallu faire pour l’éviter ?

    Malgré sa longue existence, malgré le prestige lié à son nom, marque d’une véritable indépendance d’esprit, Minute a connu des hauts et des bas : d’abord de fabuleux tirages, ceci dès son lancement, en 1962, de Gaulle régnant (mais il faut dire que nous étions encore dans l’âge d’or de la presse papier), jusqu’aux années 1980 (250 000 ventes hebdomadaires, essentiellement en kiosque). Minute, c’était le vaisseau amiral d’une imposante flotte de journaux de droite. Mais à partir de la fin des années 1980, commencèrent les difficultés. Des difficultés internes, mais aussi celles liées à une montée de l’ostracisme et du sectarisme à son égard.

    Lire la suite

  • MERCREDI 26 FÉVRIER : L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS A COMME INVITÉ VINCENT VAUCLIN CANDIDAT AUX "PRIMAIRES POUR LA FRANCE"

    RL 137 2020 02 26 V VAUCLIN.jpg

     

    ÉCOUTEZ LES PRÉCÉDENTES

    ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ

     
  • Un auteur et son oeuvre : Julius Evola (1898-1974)

    4259047273.jpg

    par Michel Malle

    Ex: https:lemondeduyoga.org

    3844841867.jpgDe l’orient tantrique au club des seigneurs, en passant par l’hermétisme et le spiritualisme masqué, nombreux sont les sujets de réflexion de Julius Evola. Mais il est des caractéristiques que l’on retrouve dans chacun de ses écrits, donnant à l’ensemble de son œuvre une certaine unité : une compréhension particulière de la magie, l’aspiration à des altitudes inconnues …

    « L’homme dont nous allons tracer le portrait tenta de suivre la voie d’un karma yogi, c’est-à–dire qu’il choisit l’action comme voie de réintégration spirituelle : l’action conforme au Dharma (la Norme Universelle). Il a toujours dit: « René Guenon fut mon maître », c’est pourquoi nous envisagerons son oeuvre en rapport avec celle de Guénon, et cela d’autant que, dans son testament, fondant l’association qu’il a laissé, Evola précise ainsi le but visé : « Défendre les valeurs traditionnelles au sens où l’entendait René Guénon, Julius Evola et d’autres auteurs de même doctrine ». Même si nous devrons nous opposer à lui, ce sera donc dans cette sienne optique. « Je ne me suis pas borné à exposer les doctrines traditionnelles, j’ai cherché quels pouvaient être leurs aboutissements dans la réalité » dit-il, en entendant par là « dans l’action « . « J’ai donc cherché les conséquences à tirer des doctrines traditionnelles dans le sens d’une organisation sociale et politique de l’État », et aussi, avec plus de succès selon nous, dans le sens d’une éthique et d’une pratique pour l’homme traditionnel contemporain. Cette volonté d’engagement a conduit Evola à travailler de concert avec les divers mouvements fascistes de ce siècle. Cet aspect de sa vie, indissociable de son oeuvre, est problématique et, pour cette raison, nombre de « spiritualistes » n’osent pas l’aborder ou la déforment. Cette couardise ne sera pas nôtre : l’oeuvre mérite d’être connue, les questions qu’elle pose doivent l’être, et si les réponses ne nous satisfont pas toujours, il nous faudra en trouver de meilleures.
    […]

    Lire la suite

  • Des fouilles auraient mis au jour le tombeau de Romulus, fondateur de Rome

    Une «découverte exceptionnelle», selon les mots d’Alfonsina Russo, directrice du Parc archéologique du Colisée. Lors de fouilles dans le secteur de l’ancien Forum romain, les archéologues ont découvert un sarcophage dans une chambre sous l’ancien Capitole. Un sarcophage qui, selon des textes antiques, pourrait être celui de Romulus, le fondateur mythologique de Rome.

    […]

    Tous ces indices ont conduit à une nouvelle fouille et à la (re)découverte d’une chambre souterraine, sous la colline du Capitole, le centre religieux de la ville antique. Les archéologues y ont trouvé un sarcophage d’un mètre 40 de longueur et une pierre circulaire, «probablement un autel». Tous deux taillé dans la même roche volcanique que celle de la colline du Capitole. Le sarcophage daterait du VIe siècle avant notre ère.

    […]

    Le Figaro

    https://www.fdesouche.com/1340053-des-fouilles-auraient-mis-au-jour-le-tombeau-de-romulus-fondateur-de-rome

  • 1789-1917 : une révolution peut en inspirer une autre

    Maître d'oeuvre du livre noir du communisme, Stéphane Courtois ne pouvait pas être absent de celui consacré à la Révolution française. Il y démontre avec rigueur les similitudes entre la révolution de 1789 et celle de 1917. La filiation entre les deux événements est tellement saisissante qu'elle pourrait porter le titre célinien « D'une révolution l’autre ».

    En février 1917, la révolution russe est inaugurée par le chant de La Marseillaise. Au cours des premiers mois, elle suit une pente démocratique et constitutionnaliste. Au mois d'août, le gouvernement de Kerenski connaît une phase purement républicaine. Tout se passe relativement dans le calme.

    Au mois d'octobre, tout bascule. Comme en France en octobre 1791. Le 7 novembre, Lénine pousse ses camarades, aidés de la populace, à s'emparer du Palais d'hiver, où siège le gouvernement provisoire, rééditant ainsi l'attaque des Tuileries le 10 août 1792. Il instaure un double pouvoir, légal avec l'assemblée constituante en cours de formation, et révolutionnaire avec le soutien de la rue, plagiant ainsi les Jacobins et la commune de Paris de 1791. De même que le Comité de salut public avait instauré la dictature d'un groupe d'activistes - les Jacobins -, qui avait rapidement mené à la dictature d'un seul homme - Robespierre -, Lénine instaure le Conseil des commissaires du peuple, formé des seuls bolcheviks et placé sous son contrôle de plus en plus autocratique. Comme Robespierre avait abandonné la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 pour le règne de la Vertu, Lénine proclame la Déclaration des droits du peuple travailleur abolissant les droits de l'homme en Russie. À l'image des révolutionnaires français, Lénine instaure une « démocratie totalitaire » inaugurée par la dictature du Comité de salut public : loi des suspects, tribunal révolutionnaire et terreur. Dès sa prise de pouvoir, Lénine assimile les cosaques du Don à la Vendée de 1793. Le 24 janvier 1919, il ordonne de « décosaquiser » « erreur massive contre les riches cosaques qui devront être exterminés et physiquement liquidés jusqu'au dernier ». Ordre qui n'est pas sans rappeler celui de la Convention contre les Vendéens. En juillet 1918, Lénine met à mort le tsar, sa famille et ses parents. Comme en France, l'assassinat est un élément majeur du déclenchement de la guerre civile nationale. À partir de 1919, Lénine lance l'internationale communiste qui appelle à la guerre civile internationale. On trouve là un écho lointain du décret voté en 1792 par la Convention : « La nation française déclare qu'elle traitera en ennemi le peuple qui, refusant la liberté et l’égalité, voudrait traiter avec le prince et les castes privilégiées, s'engage à ne déposer les armes qu'après raffermissement de la souveraineté et l’indépendance du peuple sur le territoire duquel tes troupes de la république sont entrées, qui aura établi les principes d’égalité, et établi un gouvernement libre et populaire. »

    Au nom de ce principe, l'Armée rouge pénètre en Ukraine et en Géorgie pour y instaurer la soviétisation. Staline reste sur la même ligne. Il passe de la terreur ordinaire à la grande terreur de 1937-1938 comme Robespierre était passé des massacres de septembre à la grande terreur de juin-juillet 1794. Stéphane Courtois va très loin dans l'analogie. Il compare le fameux rapport Khrouchtchev, présenté lors du XXe congrès du Parti communiste d'Union soviétique, à une manoeuvre de la Révolution française. Le 24 février 1956, il dénonce ouvertement les crimes de Staline pour redorer le blason du communisme. De la même manière, la Convention, après la chute de Robespierre dont elle avait été complice, avait organisé le procès de Carrier, l'organisateur des noyades de Nantes. Le stalinisme en accusation pour sauver le communisme comme la terreur avait été condamnée pour sauver la Révolution.

    Nous ajouterons une analogie complémentaire : comme la Révolution française, la Révolution russe est encore glorifiée de nos jours. Malgré les crimes qu'elles ont commis et le sang qu'elles ont répandu.

    le Choc du Mois Janvier 2008

  • Lancement d’un cercle de formation catholique à Saumur

    Lancement d’un cercle de formation catholique à Saumur

    Loïc Yven, président du tout jeune cercle L’Aquinate de Saumur, a répondu aux questions du Salon beige:

    Vous lancez un cercle de formation catholique à Saumur. Pourquoi ?

    Je pars d’un constat personnel : au soir de ma vie, à l’heure de mon jugement particulier, saurais-je dire au Christ que j’ai fait tout ce que je pouvais pour mieux le connaître et ainsi l’aimer de plus en plus, comme le dit le chant de la promesse scoute ? Vaut-il mieux comparaître devant Dieu en connaissant mon catéchisme ou en sachant que l’éolien est une vaste arnaque ? Voilà pourquoi j’ai lancé un cercle de formation catholique, que je pense plus urgent et plus essentiel qu’un cercle de conférences (qui garde toute son importance néanmoins). De nombreux catholiques ont hélas plus de connaissances profanes que religieuses. A l’heure de l’infobésité, de Wikipédia et des chaînes de hard news, il faut replacer nos priorités dans le bon ordre. Messire Dieu premier servi, disait sainte Jehanne !

    Lire la suite