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culture et histoire - Page 645

  • Julien Freund : La fin des conflits ?

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    Julien Freund : La fin des conflits ? par Chantal Delsol

    Ex: https://www.chantaldelsol.fr

    Communication prononcée au colloque Julien Freund, Strasbourg, 2010

    970348252.jpgOn sait que Julien Freund ne croit pas à la fin possible des conflits dans le monde humain. C’est bien d’ailleurs ce postulat, fondamental dans sa philosophie, qui l’avait opposé à son premier directeur de thèse, Jean Hyppolite, l’avait conduit à chercher un autre directeur de thèse qu’il avait trouvé en la personne de Raymond Aron, et avait occasionné un débat pathétique et drolatique avec Hyppolite lors de la soutenance de thèse.

    L’accusation d’utopisme porté par Freund aux pacifistes ne l’englue pas dans un empirisme cynique, mais laisse la porte ouverte à une espérance qui est d’une autre sorte. Je voudrais montrer que cet idéal, outre qu’il marque l’empreinte religieuse dans l’esprit de notre auteur, signe la marque de son temps : il n’a pas pu voir quel genre de « fin des conflits » est attendue aujourd’hui, tout autre que celle des utopies présentes à son époque. Ce qui montre l’inscription de sa pensée dans une époque, en même temps que sa pérennité.

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  • Dans l'Incorrect, une liste utile des médias royalistes...

    La Rédaction a apprécié le "site royaliste quotidien", "consacré à l'actualité", "très productif" : le rajeunissement de notre équipe et la conséquente chute spectaculaire de sa moyenne d'âge (plus que divisée par deux : moins de quarante ans) explique évidemment cette réactivité, ce dynamisme qui sont remarqués par tous...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La voracité géopolitique des USA

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    L'opinion publique croit volontiers que les États-Unis d'Amérique sont entrés dans une période d'hégémonie planétaire au cours du XXe siècle en suivant les orientations de l'école anglo-saxonne de géopolitique. Or la rapacité de ce pays à s'emparer de territoires n'est pas un accident ou une mauvaise manie prise après deux conflits gigantesques. Cette inclination à la prédation mondiale, stimulée par la « Destinée Manifeste » (1845), le mythe puritain néo-biblique d'établir une Jérusalem terrestre et la haine profonde du vieux monde européen, date des origines mêmes de l'entité yankee.

    Les causes de la Guerre d'Indépendance américaine (1775-1783) sont variées. Outre le souhait des treize colonies d'Amérique du Nord d'être représentées au Parlement à Londres et le mécontentement des colons de payer de nouvelles taxes sur les journaux, les documents officiels, les almanachs, le thé, le verre, l'huile, le plomb, le papier, etc., la révolte des Insurgents s'explique aussi par le refus obstiné du roi anglais George III de les autoriser à s'emparer des immenses terres fertiles amérindiennes situées entre les monts Appalaches et le Mississippi. L'indépendance de 1783 assure de facto l'annexion des « territoires indiens » renforcée en 1803 par l'achat de la Louisiane française.

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  • La bataille de Stonne, Ardennes, 1940

    Renaud Camus Même le carnage du Bataclan n'a pas réussi à réveiller le dormeur France. 1.jpegEnfin un livre qui fait un sort aux clichés sur 1940 ! Dominique Lormier fait connaître, par son travail, un épisode de cette tragique année pratiquement inconnu du grand public. Peu de Français connaissent, en effet, le nom de ce petit village des Ardennes, Stonne, qui vit en mai 1940 l'une des batailles parmi les plus acharnées de la campagne de France. Le 10 mai 1940, l'armée allemande lançait son offensive sur le front occidental, des Pays-Bas au Luxembourg. Les troupes franco-britanniques se portèrent au secours de la Belgique, tombant dans le piège tendu par les Allemands qui, profitant de l'absence du gros des troupes franco-anglaises, percèrent le front à Sedan, là où le dispositif français était faible. Les Allemands bénéficièrent d'une supériorité écrasante en infanterie, chars et avions dans ce secteur. Ils furent aidés en cela par l'aveuglement et la rigidité intellectuelle de l'état-major français qui considérait les forêts des Ardennes comme infranchissables par des divisions blindées et a persisté à considérer, contre toute évidence, que l'offensive allemande dans ce secteur n'était qu'une manœuvre de diversion.

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  • George Steiner, maître à lire, par Gérard Leclerc.

    La mort du grand universitaire George Steiner nous invite à revisiter une œuvre critique d’une extrême importance. C’est la culture qui donne son âme à une civilisation qui est faite de richesses patrimoniales et d’échanges. Sans compter cette richesse commune qu’est la Bible.

    En apprenant lundi soir la mort de George Steiner, d’instinct j’ai recherché ses livres dans ma bibliothèque. N’était-ce pas avant tout l’homme des livres, lui le lecteur insatiable et le transmetteur ? Malheureusement, ma bibliothèque étant en dérangement et en instance de rangement, je n’ai pu retrouver le carton où ils sont provisoirement emballés. J’aurais aimé relire quelques pages d’Après Babel que j’ai lues à peu près à sa parution, sous le conseil pressant de Pierre Boutang au milieu des années soixante-dix. Steiner m’avait ouvert tout un monde, qui est celui de la parole et de l’écrit avec la polyphonie des langues, ce trésor merveilleux.

    Universitaire de réputation mondiale, Georges Steiner est d’abord connu comme critique, un métier qu’il considérait avec la plus grande humilité. À Stéphane Barsacq qui l’interrogeait là-dessus, il répondait : « J’aimerais, si on se souvient de moi, oui j’aimerais que ce soit en tant que maître à lire. Maître à penser, je n’ose pas y aspirer, maître à lire, oui. » Et pour se mieux faire comprendre il empruntait une métaphore à Pouchkine : « C’est moi qui écrit les lettres, vous vous contentez de les mettre à la boîte. » La richesse de sa vie, notre professeur estimait que ça avait été de mettre les lettres à la boîte. Et encore : « Quand on a passé sa journée à enseigner Le roi Lear ou Phèdre ou Partage de midi, l’on se dit : “À quoi bon ?” Parce que la richesse de ces textes, de ces hommes est d’un ordre tout à fait différent du nôtre… » Mais, cher maître, pour pouvoir transmettre, il faut savoir se pénétrer du génie d’autrui et savoir aussi traduire, qui est bien une des plus belles facultés de l’esprit humain !

    Steiner avait une hantise qu’il exprimait à Barsacq dans les termes les plus directs : « Les temps vont être très difficiles, il n’y a pas de doute… Et il y a une forme de populisme, plein de vengeance, qui dit : on en a assez de votre culture, vous nous emmerdez avec votre culture. » Les pop stars n’ont-ils pas remplacé les écrivains ? Et pas seulement pour la jeunesse. À l’Élysée, pourtant sous François Mitterrand, Régis Debray était en concurrence sévère avec Jack Lang pour donner la prééminence aux écrivains par rapport aux vedettes du showbiz. Mais Steiner demeurera comme un témoin, gardien des vraies richesses de l’esprit et du cœur. Je pense à son appartenance juive, souvent compliquée, mais qui tenait d’abord à son attachement au livre des livres, la Bible. Ce livre dont il savait mieux que quiconque qu’il avait irrigué toute la grande littérature occidentale !

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 5 février 2020.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/06/george-steiner-maitre-a-lire-par-gerard-leclerc-6210597.html#more
  • Entretien avec Fabrice Robert (Fraction) : « La vie est un combat, aussi bien dans la rue que dans l’octogone ! »

    Le site Breizh-info.com a récemment publié un entretien avec Fabrice Robert qui relance différents projets autour de Fraction. Un groupe qui – de par son engagement sans concessions – a considérablement marqué de son empreinte la scène du rock enraciné. Un retour qui se produit quelques temps après la sortie d’une nouvelle production d’In Memoriam.

    Découvrez cet entretien !

    S’il y a un retour musical sur lequel peu de gens auraient misé, c’est bien celui du groupe Fraction, groupe phare de la scène rock identitaire dans les années 90 et 2000. Derrière ce retour, un homme qui, après quelques années de retrait de la scène politique, fait donc son retour sur la scène musicale : Fabrice Robert.
    Un nouveau site Internet vient de sortir, des nouveaux morceaux sont annoncés, et pourquoi pas une reformation en concert dans les prochains mois ? C’est ce que nous avons demandé à Fabrice Robert. Entretien avec le fondateur du mouvement identitaire, et vétéran du hardcore 100 % Nissa, 100 % Europa, qui nous a accordé une interview exclusive, lui qui ne s’était plus exprimé dans un média depuis de nombreuses années.

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  • Perles de Culture n° 240 : Le véritable engagement du maréchal Pétain

    Anne Brassié et Frédéric Pic évoquent les films “La llorona”, “Scandale”, “L’adieu”, “Qu’un sang impur…” et “La fille au bracelet”. Puis, Jacques Boncompain, dans son livre, Je brûlerai ma gloire (Muller Editions), révèle à partir d’archives inédites, le véritable engagement du maréchal Pétain.https://vimeo.com/389440835

    https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n-240-le-veritable-engagement-du-marechal-petain

  • Vérités sur les esclavagismes et les colonialisme

    Vérités sur les esclavagismes et les colonialismes.jpegRéplique à Houria Bouteldja par Bernard Antony

    L’AGRIF a fait mettre en examen madame Houria Bouteldja pour ses propos d’incitation à la haine raciste contre les « blancs » qu’elle appelle « souchiens », et des soutiens qui doivent accepter d’être « rééduquer »… « avant qu’il ne soit trop tard »… « S’ils veulent sauver leur peau ».

    Houria Bouteldja alimente assurément la fureur de ces jeunes sauvages hurlant « mort aux blancs ! » dans les scènes de lynchage que l’on sait, comme place des invalides, au Mans ou à Perpignan.

    Elle impute aux Français, aux  « blancs », tous les méfaits du colonialisme et de l’esclavage n’hésitant pas, quoique vivant en France et payée par la France, à se dire française de « papiers », à exalter son nationalisme algérien, et sa « race arabe » (qu’entend-elle par là ?) dans le plus parfait mépris du fait qu’elle est de race blanche et que, pour ce qui est des odieux système de traite de traite négrière hors de l’Afrique, celui de la traite orientale, Garbo-musulmane, l’emporte par la durée et le nombre sur celui de la traite occidentale.

    Dans sa dialectique aussi sommaire que cynique, elle s’efforce ainsi, au mépris le plus total de la vérité, de rallier les noirs à sa cause de la reconquête arabe-islamique, tablant au fond, selon une sorte de racisme, non moins odieux car implicite, sur leur crédulité, ce qui révolte la plupart de ceux qui, connaissent l’histoire, refusent avec indignation leur instrumentalisation.

    Nous ne répondant pas à la haine d’Houria Bouteldja par la haine. Car l’histoire est riche d’exemples, depuis saint Paul, de ceux qui à la lumière de la vérité, ont trouvé le chemin de l’amour.

    C’est tout ce que nous souhaitons à Houria Bouteldja en rappelant dans ce petit livre et en puisant largement dans les meilleurs ouvrages, des vérités qu’elle semble totalement ignorer sur le colonialisme et l’esclavage, qui ne fut pas le monopole d’une seule race ou d’un seul peuple mais dont sa culture devrait tout de même faire repentance.

    À commander à Reconquête-Diffusion, 70, boulevard Saint-Germain, 75005

    Reconquête septembre 2010

  • Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, GAR, La Rochelle, Limoges...

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