culture et histoire - Page 93
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Septennats Armand Fallières et Raymond Poincaré (1906 – 1920)
Ce document aborde les élections législatives et leurs enjeux, les conditions de nomination des gouvernements successifs, les causes de leur chute, la désignation du Président de la République par les parlementaires. En dehors des longues listes des ministres de chaque gouvernement que l’on trouve largement par ailleurs, il permet de comprendre ce qu’a été l’instabilité gouvernementale de la troisième République et le jeu stérile des partis politiques pour placer leurs chefs. Le grand tombeur de gouvernement de ces deux septennats sera l’impitoyable Georges Clemenceau.
Élection du Président de la République (17 janvier 1906)
Le 17 janvier 1906, les deux chambres se réunissent à Versailles en Assemblée nationale afin de nommer un successeur au président Emile Loubet dont les pouvoirs doivent expirer un mois plus tard et qui ne souhaite pas se représenter.
Deux candidats sont en présence : Paul Doumer (Président de la chambre des députés) et Armand Fallières (Président du Sénat).
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Il y a 400 ans, les prémices du Grand remplacement des Amérindiens
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Aux origines des Lumières, avec Monique Cottret [1/3]
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5 décembre 1870 : mort d’Alexandre Dumas
Alexandre Dumas est probablement l’un des écrivains français du XIXème siècle les plus populaires. Son œuvre littéraire comporte plus de 130 ouvrages.
Né à Villers-Cotterêts le 24 juillet 1802, il est le fils d’un général républicain, lui-même fils d’une esclave noire. Son père meurt en 1806. Le manque de ressources le contraindra vite à gagner d’abord sa vie comme clerc de notaire, puis, à Paris, où l’attire son ambition de conquérir la gloire littéraire, comme employé dans les bureaux de Louis-Philippe, duc d’Orléans.
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La révolution alphabétique chez les Indiens, avec Serge Gruzinski
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L’Histoire génocidaire des États-Unis d’Amérique.
Les États-Unis d’Amérique ont été créés au XVIIIe siècle suite à l’expansion de l’Empire britannique première puissance mondiale de l’époque, sur lequel le soleil ne se couchait jamais. En tant qu’extension du sanglant impérialisme britannique, la destinée de ce pays ne pouvait dévier d’une agressive expansion multinationale comme je le soulignais dans un texte récent : « Depuis sa création, en 1776, la République des États-Unis d’Amérique a été en guerre 220 de ses 240 années d’existence. Chaque Président yankee a promis la paix et a semé la guerre. Donald Trump promet la paix et la prospérité, il fera la guerre et il sèmera la pauvreté, ni plus ni moins que la prétendante Clinton ne l’aurait fait si elle avait été élue » sans compter que depuis 1945 le pays a provoqué environ 200 conflits régionaux (1).
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16 novembre 1917 : Georges Clemenceau, le Père de la victoire arrive au pouvoir
Pour remplacer Paul Painlevé, les pacifistes avoués (Ils ne sont guère nombreux) ou timides (Ils le sont d’avantage) prononce le nom de René Viviani sachant que derrière se profilerait celui de Joseph Caillaux, l’homme de la négociation pour une paix de compromis sans aucune indemnité et surtout sans le retour de l’Alsace-Lorraine.
C’est d’un tout autre côté que se tourne la majorité parlementaire. Ecrasée sous le poids de ses responsabilités, elle aspire obscurément à en être déchargée en portant au pouvoir un homme fort : Georges Clemenceau.
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Deux siècles que ça dure…
Un article paru dans « Le Bien Commun »
Dans La Révolution Française et la Violence, l’historien Hervé Luxardo enrichit la somme des témoignages sur les violences révolutionnaires, montrant qu’elles n’ont jamais été de simples dérapages et que leur logique perdure. Nous l’avons rencontré.
Le Bien Commun : Vous documentez la Révolution française avec de nombreux faits qui nous étaient inconnus, mais ne les rapprochez pas des déclarations pourtant nombreuses de ceux qui ont pensé et fait la révolution. Est-ce volontaire ?
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La Nouvelle Revue Universelle
Pour éviter les errements auxquels peut nous conduire une appréhension de la vie politique réduite à une succession de réactions épidermiques, le militant qui est une personne éveillée en formation continue, doit laisser parfois de côté son « smartphone » et lire les bons auteurs. A la suite de Jacques Bainville, la Nouvelle Revue Universelle nous invite chaque trimestre à rencontrer ce qui se fait de mieux aujourd’hui en matière de réflexion et de pensée, bref, nous donne tout le compost intellectuel, historique et spirituel qu’il convient d’assimiler suffisamment en profondeur pour le transformer en action. Olivier Perceval