culture et histoire - Page 95
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Au carrefour des croyances : Peut-on encore parler des religions ? - Mise à jour 2.0
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Hommage à Pierre Taupin, héros de la chouannerie du Trégor
Aujourd’hui, c’est le triste anniversaire de la mort, le 10 février 1800, de Pierre Taupin, un des chefs de la troisième chouannerie dans les Côtes-du-Nord, ayant principalement combattu dans l’est du pays de Tréguier.Il naît le 31 mars 1753 à Omméel, dans l’Orne, en Normandie.En 1792, il est valet de chambre de l’évêque de Tréguier, Monseigneur Augustin-René-Louis Le Mintier. Au début de la Révolution, ils s’exilent tous les deux à Jersey pour fuir les persécutions des révolutionnaires.La femme de Pierre Taupin, Ursule et leurs cinq enfants restent. Elle tient un commerce de liqueurs et de confiseries mais en a été dépossédée, vendu comme "biens d'émigrés". Sa grande pauvreté ne l’empêche pas de cacher deux prêtres réfractaires, l’Abbé Francez Lageat, de Coatreven, vicaire à Pleubian et l’Abbé Le Gall, de Pleudaniel, vicaire à Cavan. -
Paris : ces réglementations qui peuvent vous sembler loufoques
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Les universités médiévales (XIIIe-XIVe)
L’université est une invention européenne qui n’a aucun précédent historique ou équivalent dans une autre région du monde. Elle est la conséquence du développement urbain en Occident, et naît dans les premiers temps d’initiatives spontanées d’association de maîtres et d’élèves, à la fin du XIIe siècle. Ces groupements de maîtres et d’élèves font pression tant auprès des pouvoirs ecclésiastiques que des pouvoirs civils pour obtenir les privilèges propres à toute corporation.
Vers le milieu du XIIIe siècle, l’Université parvient à s’affranchir des pouvoirs laïcs et épiscopaux pour ne dépendre que de la papauté. L’Université a alors le monopole de la collation des grades et cooptation, dispose de l’autonomie administrative (droit de faire prêter serment à ses membres et d’en exclure), de l’autonomie judiciaire et de l’autonomie financière.
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"Le choc des civilisations" de Samuel Huntington 2/7
Enfin, après avoir donné sa définition de ce qu’est une civilisation, Huntington dénombre sept grandes civilisations contemporaines (ou plutôt six et demi) :
- La civilisation chinoise qui daterait au moins de 1500 av. JC, voire de mille ans plus tôt.
- La civilisation japonaise, dérivée de la civilisation chinoise et apparue entre 100 et 400 ap. JC.
- La civilisation hindoue depuis 1500 av. JC.
- La civilisation musulmane, née dans la péninsule arabique au VIIe siècle ap. JC., elle s’est étendue en Afrique du Nord, en Espagne, et à l’est, en Asie centrale, dans le sous-continent indien et en Asie du Sud-Est. En conséquence de quoi, on distingue au sein de l’Islam plusieurs cultures ou sous-civilisations : l’arabe, la turque, la perse et la malaisienne.
- La civilisation occidentale dont Huntington date l’apparition à 700-800 ap. JC. L’Occident regroupe l’Europe, l’Amérique du Nord et les autres pays peuplés d’Européens, comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
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La Révolution bolchévique – XIIIème partie
Compte tenu de tout cela, il y a beaucoup à penser sur ce qui se passe de nos jours et comment on ne peut pas croire que la révolution bolchevique était une farce sordide.
La prise du pouvoir par les scorpions ( N.d.l.r: le journaliste Juri Lina définit ainsi les dirigeants bolcheviques, et nous avons expliqué la raison) était un jeu, nous pouvons la définir ainsi.
Entre le 6 et le 7 Novembre, selon le calendrier grégorien, 24/25 Octobre selon le calendrier julien, la comédie atteignit son apogée.
Selon les historiens, les journalistes, comme Juri Lina, mentionné à plusieurs reprises, et les chercheurs qui ont eu accès aux archives secrètes, l’assaut du Palais d’Hiver peut être considéré comme ”virtuel ”.
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"Le choc des civilisations" de Samuel Huntington 1/7
• Présentation : Samuel Huntington, dans Le choc des civilisations, constatait après l’effondrement du bloc soviétique, que l’ordre bipolaire de la guerre froide n’avait été qu’un mode éphémère de relations internationales, laissant réapparaître le monde réel de toutes époques, multipolaire, où la tradition et les mœurs, la mémoire collective et la conscience identitaire, sont ce qui conditionne durablement les rapports entre les peuples. À ses yeux, la géopolitique du monde n’est pas essentiellement fondée sur des clivages idéologiques ou politiques, mais sur des oppositions culturelles dans lesquelles le substrat religieux tient une place centrale. Décryptage de ce modèle théorique.
Archives de SYNERGIES EUROPÉENNES - 2003
Conférence de Metz- Samedi 27.09.03
• Présentation d’un ouvrage de géopolitique : HUNTINGTON (Samuel P.), Le Choc des civilisations, Odile Jacob, 1997.
[Ci-contre : Taking Liberty, Patti Levey, 2003]
Introduction
Identification de l’auteur : Samuel P. Huntington est professeur à l’Université de Harvard. Il dirige le John M. Olin Institute for Strategic Studies. Il a été expert auprès du Conseil national américain de sécurité (NSC) sous l’administration Carter (1977-1981). Par ailleurs, il est le fondateur et l’un des directeurs de la revue Foreign Policy. Il s’agit donc d’un personnage important au sein de “l’école de géopolitique” américaine. Et il n’est pas négligeable de signaler que son livre a été salué par deux autres théoriciens américains de renom :
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Napoléon III, le retour en grâce
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Qui a eu la peau de la Wehrmacht ? avec Jean Lopez
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Liddell Hart et la calamiteuse Deuxième Guerre Mondiale
La prestigieuse histoire de la Seconde Guerre Mondiale (Editions Marabout) de sir Basil Liddell Hart est préfacée par le général Beaufre. Voici ce que cet ancien responsable de l’Otan écrivait :
« Dans le domaine militaire, la vérité, non pas celle du passé mais celle qui se vérifiera dans l’avenir, ne peut pas être généralement trouvée par les voies officielles de la hiérarchie, trop facilement conformiste. Il est donc capital qu’il existe des chercheurs privés, capables de donner libre cours à leur imagination et à leur initiative. »
Le bilan de la Seconde Guerre Mondiale est vénéré aujourd’hui, sous peine de prison. Or voici ce bilan selon Liddell Hart :