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culture et histoire - Page 100

  • La lutte de l’Occident contre le courant de l’histoire

    par Jan Krikke

    Une politique catastrophique peut être imputée à un manque de conscience de soi, ou à la croyance que le monde voit l’Occident comme l’Occident se voit lui-même. Un article d’Asia Times, les milieux d’affaire de Hong Kong qui décrit d’une manière assez impitoyable l’impuissance de l’occident qui n’arrive pas à renoncer à des mœurs dépassées par la réalité et qui se ment à soi-même autant qu’aux autres, leur principale arme «le dollar» est en train de devenir leur talon d’Achille et leur armée n’est pas loin d’être aussi peu convaincante, il ne s’agit pas comme ils le voudraient de recommencer la guerre froide et les coalitions, les idéologies qui vont avec, il s’agit de les empêcher de nuire en partant de la réalité.

    Danielle Bleitrach

    ***

    On parle de guerre de plus en plus fort en Occident. Le ministre allemand de la Défense a proclamé ce mois-ci que l’Allemagne devait reconstruire son armée, comme l’a fait son collègue britannique. Au début de la guerre en Ukraine il y a deux ans, les médias occidentaux ont dépeint l’armée russe comme désespérément inefficace, dépassée et corrompue. Pourtant, ces dernières semaines, la Russie est devenue un danger imminent qui nécessite le réarmement de l’Europe.

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  • La Révolution bolchévique – VIIIème partie

    Le premier Romanov a été élu par une assemblée populaire,
    La tâche a été rejetée à plusieurs reprises par la mère de Michel I, l’assemblée a dû insister.

    Le gouvernement de Michel I et son père le Patriarche Filaret et les rois anglais contemporains Jacques et Charles Stuart.

    Elisabeth Petrovna, fille de Pierre le Grand, et George II Auguste de Hanovre, roi d’Angleterre.

    Cette analyse historique a à voir avec la révolution bolchevique, du moment qu’on oblige les gens à croire que la révolution a éclaté parce qu’il y avait un mauvais gouvernement pendant des siècles en Russie … .

    En 1613, le premier Romanov a été élu, Michel, un jeune garçon de seize ans, une assemblée populaire a insisté afin qu’il accepte le mandat de gouverner la Russie, étant donné le jeune âge, sa mère avait refusé un poste similaire. Par conséquent, nous avons des Romanov élus, souvenons-nous, élus par une Assemblée populaire  qui devait insister pour qu’ils acceptent des honneurs et des devoirs. Il n’y a pas une autre famille régnante élue par le peuple d’une manière pacifique et pressante. Les Russes les voulaient absolument.

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  • La place de la Femme dans la société française au cours des siècles

    La Femme celte

    Durant toute l’époque gauloise, les femmes avait une indépendance économique totale. En effet, La société celte admettait la propriété individuelle mobilière à côté d’une propriété foncière collective. Elles pouvaient donc posséder des biens propres consistant en objets utilitaires, en bijoux et en têtes de bétail. Les femmes pouvaient donc user de ce droit de propriété à leur guise, aliéner sans contraintes les biens acquis, en acquérir d’autres. Lorsqu’elles se mariaient, elles conservaient leurs biens personnels et elles les reprenaient en cas de dissolution du mariage.

    Le mariage celte était d’ailleurs une institution souple, résultat d’un contrat dont la durée n’était pas forcément définitive. Les femmes choisissaient librement leur époux. Comme dans toutes sociétés, il arrivait que des parents voulussent arranger le mariage pour des raisons d’opportunité économique ou politique. Mais même dans ce cas, elles avaient leur mot à dire.

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  • La Révolution bolchévique – VIIème partie

    Une analyse de la  gestion sage des Romanov

    La Russie des Romanov a sauvé les Etats-Unis

    Le gouvernement mondial des banquiers  continuait à organiser la ‘révolution’ …

    Nous avons déjà mentionné que Benjamin Disraeli, Premier ministre britannique et écrivain, avait appréciait beaucoup Alexandre II, fils de Nicolas Ier.

    Après la défaite de la guerre de Crimée, la Russie était un pays de plus en plus faible, les révolutionnaires appartenant aux sectes occultes profitaient de la terrible défaite en Crimée

    pour convaincre les agriculteurs et les ouvriers de se soulever contre le pouvoir des «Zar oppresseur ». Provoquant une grande colère et de la haine dans les sectes qui voulaient s’approprier la Russie rapidement, Alexandre II Romanov fit ressusciter son pays, et réussit dans cette tâche difficile.

     La priorité absolue : l’abolition du servage.

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  • La bataille de Berlin, dernier combat avant la fin

    La bataille de Berlin fut la dernière opération d’envergure de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Elle constitue un des plus importants combats de l’histoire de l’humanité, avec la bataille de Stalingrad.

    La bataille de Berlin débuta le 16 avril 1945 en périphérie lointaine de la capitale du Reich, où l’armée soviétique entra le 25 avril. Des deux côtés de la ligne de front on recense près de 3,5 millions de soldats, plus de 50 000 canons et 10 000 tanks.

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  • Les nombreuses affaires politico-financières de la troisième République Radicale

    L'Histoire de la troisième République est particulièrement ponctuée de très nombreux scandales financiers durant lesquels les hommes politiques de la troisième République seront impliqués dans de vastes réseaux de corruption.

    Des "Chèquards" de l'Affaire de Panama, qui conduira à la disgrâce de Georges Clemenceau pendant une décennie, à l'Affaire Stavisky, cette succession d'affaires finira par générer dans l'opinion une répulsion pour les parlementaires. Son paroxysme sera atteint le 6 février 1934 où on entendra dans les rue des Paris le cri de  "Abat les voleurs". Cette journée de contestation contre la corruption sera la plus importante qu’ait connue Paris depuis 1848.

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  • Islam. Dario Fernandez-Morero dénonce le mensonge d’al-Andalus

    Le mensonge d’al-Andalus

    Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.

    Après le livre de Sérafin Fanjul Al-Andalus, l’invention d’un mythe (Editions du Toucan), la récente publication du livre de Dario Fernandez-Morero, professeur au département d’espagnol et de portugais de l’Université Nortwestern (Illinois), Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus, mythes et réalités (éditions Jean-Cyrille Godefroy) remet lui aussi l’histoire à l’endroit en dénonçant la falsification d’al-Andalus. Clair et passionnant, largement accessible aux non-spécialistes, cet ouvrage a l’immense mérite de replacer l’occupation musulmane de l’Espagne dans le long conflit civilisationnel opposant l’islam à l’Europe.

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