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divers - Page 101

  • Les pouvoirs anonymes et l'Histoire

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    Consacré à la pseudo-suppression de l'ENA, qui risque de renforcer la puissance et surtout la nocivité de nos technocrates, L'Insolent du 13 avril[1] a suscité d'intéressantes réactions privées, auxquelles il paraît utile de répondre, au fil de plusieurs chroniques.

    Première question : l'histoire de la conquête du pouvoir par ce phénomène que nous appelons technocratie et qu'on appelait dans les années 1940, la synarchie.

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  • « Cessons d’être des Occidentaux et redevenons des Européens d’origine boréenne » (entretien avec Georges Feltin-Tracol)

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    Pour commencer, pouvez-vous nous donner une brève introduction sur votre domaine d’expertise, votre travail et vos activités en cours ?

    J’ai 50 ans. Formé aux sciences politiques, à l’histoire et à la géographie, j’ai aussi suivi des cours de droit constitutionnel.

    J’écris mes premiers articles dès 1993. J’ai publié une dizaine de livres et collaboré à une dizaine d’autres. En 2005, je fonde avec quelques amis le site identitaire français Europe Maxima dont j’assume la rédaction en chef.

    Je collabore aux Cahiers d’histoire du nationalisme, à la revue Synthèse nationale et au Magazine des Amis de Jean Mabire. Je tiens enfin chaque semaine sur le site officiel de TVLibertés un podcast intitulé « Chronique hebdomadaire du Village planétaire ».

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  • Le Cahier d'Histoire du nationalisme n°21 intitulé : LES PERON, L'ARGENTINE, LE JUSTICIALISME

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    Cette 21e édition des Cahiers d’histoire du nationalisme nous emmène dans les années d’après-guerre en Amérique latine, plus précisément en Argentine, pays qui fut le théâtre d’une expérience politique originale : le Justicialisme. Surtout, le pays des gauchos et de la pampa fut le décor exotique d’une saga qui n’en finit pas de faire parler d’elle, celle des Perón.

    Dans cette nouvelle édition revue et augmentée, qui reprend une partie des deux ouvrages publiés précédemment, Perón, dans la collection « Qui suis-je ? » aux éditions Pardès, et Evita, la reine sans couronne des descamisados aux éditions Dualpha, nous revisitons l’extraordinaire ascension d’une petite « Cosette de la pampa », qui s’est hissée au rang des plus grandes stars mondiales. En sa compagnie, nous assistons à l’émergence d’une doctrine politique originale, tentant de concilier le « national » et le « social », le justicialisme, incarné par son mari le général-président Perón.

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  • La démocratie est-elle la fille de la Révolution française ?, par Yvan Blot.

       (Ce texte d'Yvan Blot est paru dans La Nouvelle Revue Universelle, n° 10 – décembre 2007         

    "Retotale" : le jeu de mot, en tant que jeu de mot, est très réussi; il serait presque amusant, car vraiment spirituel, s'il ne s'agissait d'une réalité épouvantable, que la Terreur et le génocide vendéen sont, très vite, venus illustrer. Puis, plus tard, leurs héritiers et descendants du vingtième siècle, sous les différentes formes de marxisme-léninisme, de Staline, à Mao, Pol Pot etc....

    Dans cette ample réflexion qu'il mène sur la Révolution française, Yvan Blot va bien à l'essentiel, au coeur du problème, lorsqu'il cite et rappelle cette expression, employée par un Sieyès lui-même en proie aux doutes et inquiet - sinon horrifié... - de la tournure que prenaient les évènements.

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  • Journal du chaos

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  • L’AFRIQUE SOUFFRE SURTOUT D’UNE DÉCOLONISATION PRÉCIPITÉE. (2)

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    De 1945 à la chute de mur de Berlin, deux empires coloniaux ont survécu : les Etats-Unis, bâtis sur la conquête de territoires dont les habitants ont été éliminés ou marginalisés, sont la chauve-souris de la décolonisation. Côté rats, c’est une colonie de peuplement où les colons ont le pouvoir et se sont émancipés de la métropole, mais en maintenant longtemps l’esclavage et la soumission des non-blancs ; côté oiseau, c’est la colonie qui a arraché son indépendance et indique aux autres la voie de la liberté. La seconde face permettra d’assumer l’esprit colonisateur lié à la première mais de manière douce : peu de possessions directes, avec des îles, des bases, mais une influence économique, politique et quand il le faut militaire sur une partie grandissante du monde, à commencer par les Etats issus du démembrement de l’Empire espagnol.

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