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Il faut bien l’avouer : aujourd’hui, malgré les efforts des militants monarchistes de toutes tendances, le royalisme semble presque invisible aux yeux de nos contemporains, baignés dans l’ambiance distractionnaire de la société de consommation, désormais plus numérique que physique, et par l’angoisse actuelle de la maladie qui rôde dans nos villes : cette dernière menace semble d’ailleurs tétaniser toute capacité de réflexion politique, au point de prédire une élection présidentielle au second tour semblable à l’élection précédente, avec un même destin électoral…

La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion…
Pour maîtriser les dérives de la société de consommation et de l’individualisme libéral, il s’agit de sortir d’un économisme étouffant et stérile.
Cet économisme est le fruit naturel et nécessaire d’une économie de marché qui est aussi ancienne que les grands marchés médiévaux ou le commerce des cités italiennes. Il n’est pas question de revenir là-dessus.

Dix ans après avoir publié Comprendre l’Empire, Alain Soral, dirigeant d’Egalité & Réconciliation, signe Comprendre l’époque, un nouvel essai politique sous-titré Pourquoi l’Egalité ? édité chez Kontre Kulture (190 pages, 15,50 euros)
Alain Soral y démontre comment toutes les absurdités du monde moderne sont avancées au nom d’un mot magique, l’égalité, suprême arnaque qui se traduit le plus souvent en réalité par plus d’inégalité et d’oppositions conflictuelles.
De page en page, le polémiste pourfend naturellement sans ménagement les différents lobbies qui sèment le chaos. L’épilogue est consacré à la brûlante actualité du Grand Reset mondialiste sous prétexte covidien.
https://www.medias-presse.info/dix-ans-apres-comprendre-lempire/141887/

Le sujet des langues régionales hérisse tellement qu’à Marianne, parmi les nombreux débats qui nous agitent, celui-ci est un des plus animés.
© Hannah Assouline
Ce qui fragilise la langue française, ce ne sont pas les langues qui portent l’histoire de ce pays mais la déferlante effroyable de l’uniformisation culturelle induite par la globalisation.
« La langue basque est une patrie que l’on emporte à la semelle de ses souliers. » La phrase est de Victor Hugo. Parce qu’il fallait un écrivain, quelqu’un qui habite sa langue et qui sait ce que chaque mot charrie de mémoire et d’imaginaire pour comprendre le rapport des Basques à cette langue étrange, unique au monde, lointaine trace de celle que parlaient les hommes qui peuplaient l’Europe avant les invasions indo-européennes.