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En 1832, la capitale française compte 785 000 habitants. Elle est alors divisée en douze arrondissements eux-mêmes partagés en quartiers qu’habitait une population composée à 70% de pauvres. Sur le plan social, la ville apparaît en effet très inégalitaire et les contrastes sont très marqués entre les nouveaux quartiers bourgeois, modernes et aérés, et les zones populaires combinant l’absence d’hygiène, l’insalubrité, la difficulté d’accès à l’eau et l’exigüité de logements misérables. C’est sur ce terrain propice que va se développer l’épidémie importée d’Inde où le mal était alors endémique.
L’Histoire est pleine de surprises et d’imprévus. Certes, la possibilité d’une instauration monarchique en France paraît fort lointaine et, surtout, difficile. Mais rien n’est impossible: l’exemple espagnol est la preuve que ce qui paraît improbable peut arriver.
C’était un dimanche du printemps 1974 : nous étions dans un autocar qui nous amenait, mes camarades escrimeurs et moi, à Vannes ou à Lorient pour une compétition de fleuret. Quelques semaines auparavant, le président Pompidou était mort ; désormais, les affiches électorales vantaient les noms de ses potentiels remplaçants, débordant largement des panneaux officiels dédiés aux joutes présidentielles et s’étalant sur les murs, les placards d’affichage publicitaire ou les portes des universités. Une affiche, à la sortie de Rennes, nous intrigua : il était question d’un candidat royaliste, et nous pensâmes alors que c’était un héritier des rois, ou quelque chose comme cela, et je crois que, amusés, nous avons alors crié « vive le roi ! », sans penser ni à mal ni à la République… J’avais 11 ans et la politique, alors, se confondait avec l’histoire et le monde des adultes, et je fréquentais assidûment la première sans m’intéresser vraiment au second.
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Par Johan Hardoy ♦ Édouard Limonov est un auteur russe de notoriété internationale. Son existence mouvementée l’a successivement mené à être poète à Moscou, sans-abri puis domestique à New York, écrivain à Paris, engagé aux côtés des Serbes, dissident puis prisonnier politique en Russie. Le 17 mars 2021 correspond au premier anniversaire de sa mort. Ceux qui voudront en savoir plus sur sa vie et son œuvre consulteront avec bonheur le site actualisé tout-sur-limonov.fr, ainsi que le blog Antifixion de son vieil ami parisien Thierry Marignac.
Au début des années 2000, son engagement politique « national-bolchevique » lui a valu d’être condamné à quatre ans de prison suite à une accusation pour trafic d’armes et tentative de coup d’État au Kazakhstan. Avant d’être libéré au bout de deux ans et demi, en partie grâce à une campagne de soutien internationale, il avait mis à profit son temps de captivité pour écrire encore huit livres, dont le Livre de l’eau.
Zinzin au pays des moviets est un peu la version 2020 de Tintin au pays des soviets, dans lequel Hergé envoyait son courageux personnage qui l’a rendu célèbre démonter les mensonges du régime communiste et ses faux-semblants, qui bernaient encore une partie de l’intelligentsia occidentale. Mais cette fois, ce n’est pas le régime rouge dont les mensonges sont mis à nu, mais ceux de cette démocratie dans laquelle nous vivons. L’auteur dépêche Zinzin et son double, Tartempion, derrière les décors de pâte et carton qui occultent notre vue.
De Marion Duvauchel, Historienne des religions et des idées :
L’histoire maçonnique a été (et elle est toujours) le domaine de prédilection d’inductions ou de généralisations hâtives, rendues plus hasardeuses par des arrière-plans passionnels, dont l’éternelle théorie du complot. Les complotistes sont décidément partout. Le complot franc-maçon présumé nous vient de l’abbé Barruel dont les travaux consistaient à affirmer (plus qu’à véritablement établir) que la Révolution française avait été un processus organisé pendant des décennies dans des loges et dans des clubs, en particulier des Jacobins, afin de permettre à la bourgeoisie libérale de s’emparer du pouvoir.
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