
Ce combat contre les réserves de substitution ici, là contre les barrages ou les retenues collinaires, emmené par des ONG comme Greenpeace ou autres lobbies altermondialistes, s’attaque aussi à l’élevage, à la consommation de viande et à ce qu’ils nomment « l’agriculture agro-industrielle ».
Pour que le combat paraisse juste, il convient de trouver un nom qui fasse peur pour désigner l’ennemi : dans le cas des réserves d’eau de substitution de Vendée, de Charente ou des Deux-Sèvres, ce sera les « méga-bassines » !