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Nous ne sauverons pas le climat quoi que nous fassions car nous sommes trop peu nombreux sur terre, nous les Français pour que nous y changions quoi que ce soit, mais nous pouvons au moins faire du bien à notre économie, produire local, produire durable, et fabriquer réparable.
Lorsque j’étais enfant, il y a une éternité selon mes propres gamins, mes pantalons troués étaient rustinés ! Une fois totalement détruits et irrécupérables, ils étaient taillés en short, les chaussettes étaient reprisées, elles n’étaient pas jetées.
Bref, nous ne manquons de rien.

Ce qu’il y a de bien dans mon coin de Normandie, c’est que l’on n’a pas de pétrole, et pas beaucoup de sous non plus, mais nous avons plein d’idées et une sacrée culture du « système D ».
La débrouille quoi !
Alors par chez moi, le préfet peut toujours s’amuser si le cœur lui en dit d’interdire la vente de piscines gonflables pour les gamins qui ne contiennent pas plus d’eau qu’une baignoire, mais passons, cela n’empêchera nul normand de continuer à mettre son auguste et rural postérieur dans une bonne eau fraiche car plusieurs alternatives existent.

(…)
Les fondations politiques sont une spécificité du système allemand qui ne trouve pas vraiment d’équivalent dans le reste du monde. Il s’agit de structures parapolitiques, financées majoritairement par l’État et rattachées à un parti politique allemand. On compte 7 fondations, la fondation Friedrich Ebert (SPD), la fondation Konrad Adenauer (CDU), la fondation Friedrich Naumann (FDP), la fondation Hans Seidel (CSU), la fondation Rosa Luxembourg (PDS/Die Linke), la fondation Heinrich Böll (Les Verts) et la fondation Desidarius Erasmus (AfD). Elles fonctionnent sur un modèle assimilable à celui d’un think tank avec comme objectif déclaré la promotion d’une ligne idéologique proche de celle de leur parti de rattachement. Elles agissent sur le sol allemand, mais également à l’international. Bien que revendiquant une indépendance vis-à-vis de l’État fédéral, l’examen empirique de l’action des fondations depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale met en lumière leur rôle d’agent d’influence aligné sur les intérêts allemands.

Rappelons les faits : le 13 avril, l’ex-idole des jeunes Hugo Clément se rend au débat organisé par Valeurs actuelles sur l’écologie, et y débat avec… Jordan Bardella, le président du Rassemblement national. Horreur et putréfaction ! L‘excommunication majeure est prononcée : vade retro, Satanas et toute cette sorte de choses.

Il faut entendre, ici, les animaux destinés à la reproduction, l’engraissement et l’abattage. Des efforts doivent être faits notamment lorsqu’il s’agit du transport de ces bêtes. Il est évidemment mis en avant le fait que les acteurs économiques en la matière tentent de réduire les coûts et de maximiser les recettes au détriment du bien-être des animaux.
Nous pouvons toujours mettre des éoliennes (made in China), rouler en voiture électrique (aux batteries made in China), nous pouvons faire du vélo électrique (made in China) et même bouffer des insectes pour faire plaisir à nos khmers verts qui nous pourrissent la vie au sein de la Grosse Commission de Bruxelles, la réalité, c’est que la France c’est 0.85 % de la population c’est-à-dire juste rien du tout, et qu’en plus notre pollution, nous l’avons délocalisée avec nos usines… en Chine !
Voilà la réalité de l’écologie.
0.85 % de la population mondiale pour la France.