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Aujourd’hui, (2021) nous produisons autour de 520 TWh, dont 360 TWh d’origine nucléaire représentant 70 % du total.
Passer de 70 % à 50 % représente une diminution d’environ 100 Twh.
Il faudrait donc implanter, uniquement pour compenser la perte de production d’origine nucléaire, environ 500 000 éoliennes, ce qui est totalement illusoire…
Arrêtons-nous un instant et regardons nos paysages. Nous y voyons de plus en plus ces grandes machines qui délimitent un horizon où jadis la terre et le ciel se confondaient dans cet infini mystérieux. On nous raconte que ces descendants des moulins à vent sont indispensables à notre civilisation car elles produisent une énergie qui, seule, peut « sauver la planète » de ce prédateur destructeur qu’est l’Homme. C’est une énergie « renouvelable » nous dit-on.
Entretien publié dans le n°3532 de Rivarol (cliquez ici)
La crise du « gaz russe » est un rappel de l’importance de l’indépendance énergétique pour une nation. La situation implique aussi d’ouvrir un débat sur l’utilité réelle des « énergies vertes » pour assurer notre approvisionnement stratégique. Bernard Germain revient pour nous sur ce sujet qu’il connaît bien.
Rivarol : Vous vous attaquez dans vos livres à l’escroquerie des énergies vertes. De quand date l’apparition de ce terme et pourquoi est-il devenu si important dans la propagande étatique ?
Bernard Germain : Le terme « énergies vertes » est un synonyme d’« énergies renouvelables ». Ces termes sont apparus au début des années 2000 et proviennent d’un double phénomène :
l’apparition de la théorie du réchauffement climatique en 1990, devenue « dérèglement climatique » car cette théorie du réchauffement a quelques difficultés à s’imposer scientifiquement. En effet, le GIEC (qui dépend de l’ONU) a été pris la main dans le sac, à plusieurs reprises, à tordre la réalité afin de confirmer ses affirmations loin d’être évidentes et surtout non confirmées scientifiquement. Le CO2 a toutefois été décrété responsable de tous nos malheurs climatiques et le « bilan carbone » est devenu le nouveau credo des « progressistes » et gouvernements.
Interrogé sur le thème de l'installation de migrants à la campagne, l'écologiste Yannick Jadot a estimé que "C’est une évidence, c'est une bonne chose. Quand des réfugiés s'installent, ça se passe souvent très bien localement, ça permet à l’école de redémarrer, ça remet de la vie... "
L'environnementalisme agit comme un adversaire révolutionnaire de la civilisation européenne
Dans Die Welt, la philosophe Bérénice Levet accuse le militantisme environnemental, qui repose sur des idéologies utopiques, d'agir comme un adversaire révolutionnaire de la civilisation européenne. Cet activisme doit être opposé à l'idée traditionnelle de la protection de l'environnement, qui recherche "la stabilité, la durée et la continuité". Une "écologie cohérente et consistante" préserve la nature "sans sacrifier les hommes" et, surtout, préserve leur culture.
Un opérateur éolien déballe tout : les politiciens rationnent l'électricité, les consommateurs "se font rouler" !
"Mon estomac se retourne tous les jours", avec ces mots, le directeur général de l'allemand Maka Windkraft commence son commentaire du 17 septembre sur le site Internet de l'entreprise.
Son message aux citoyens qui souffrent des augmentations massives des prix de l'électricité : "Vous allez vous faire avoir.
Les politiciens provoquent une pénurie d'énergie et les clients de l'électricité paient des sommes exorbitantes pour leur l'électricité, alors qu'il y aura tout de même des coupures".
"Mon estomac se retourne tous les jours.
« Tellement de mensonges ont accompagné ce chantier », s’insurge un opposant à la construction d’éoliennes au large de Saint-Nazaire. Pour Alain Doré, coordinateur du collectif associatif contre le parc éolien joint par Boulevard Voltaire, « le plus gros mensonge a été un mensonge d’État ». « Ils nous ont expliqué que le projet éolien du banc de Guérande allait contribuer à lutter contre le réchauffement climatique et les gaz à effets de serre, ce qui n’est pas vrai », développe-t-il. En effet, la France a d’ores et déjà une production électrique décarbonée à hauteur de 92 %, dont près de 70 % sont assurés par le nucléaire.
Christianne van der Wal, ministre de la Politique de la nature et de l'azote, a présenté début juin le « plan azote » néerlandais. Celui-ci prévoit une réduction des émissions d'azote de 12 à 95 %. Ce plan a suscité un grand mécontentement parmi les agriculteurs néerlandais. Mais ces prétendues mesures de protection de l'environnement ne cachent-elles pas bien plus qu'il n'y paraît ? Et pourquoi ces mesures sont-elles mises en avant à une époque où la pénurie alimentaire menace ?
Fabien Bouglé était sur Sud Radio face à Michel Gioria, Directeur général de France Énergie Éolienne et Jean-Jacques Bourdin pour évoquer la loi d’accélération des éoliennes. Dans le cadre d’échanges courtois mais déterminés il a pu développer pourquoi les éoliennes étaient un véritable non sens écologique détruisant le cadre de vie des français.
https://www.lesalonbeige.fr/leolienne-est-elle-une-source-denergie-davenir-en-france/