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écologie et environnement - Page 59

  • Où est le réchauffement annoncé du climat ?

    Dans une très belle étude parue en 2018 dans la revue « Global and Planetary Change » (doi en fin de billet) une équipe de l’Université de Granada en Espagne a mis en évidence l’évolution de la végétation dans la plaine alluviale humide située à l’ouest de la Sierra Nevada appelée le bassin de Padul à 725 mètres d’altitude. L’analyse minutieuse des sédiments a permis de reconstituer l’évolution de la pluviométrie au cours des 11000 dernières années. Les principaux « proxys » utilisés pour cette reconstitution étaient les grains de pollen. Durant la majeure partie de l’Holocène, c’est-à-dire jusqu’à 5000 ans avant le présent, le Padul était un lac et les sédiments de ce lac ont piégé les grains de pollen.

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  • COP26 : le bal des mendiants.

    Nous leur avons donné de si mauvaises habitudes que, pour eux, faire la manche n’est rien moins que naturel…

    Une fois de plus, la voix grave et larmoyante de Mia Mottley, la première ministre de la Barbade, a résonné à la 26e conférence des Nations unies sur le climat (COP26) de Glasgow (Ecosse). « Les pertes et dommages, c’est un déni de la réalité de la crise climatique, un déni que 20 % ou 30 % de l’humanité vivent déjà en “zone rouge”, un déni qu’il y a une ligne de front du changement climatique », a-t-elle clamé. La femme politique, qui avait déjà lancé un vibrant appel à l’action lors de l’ouverture de la COP26, était cette fois invitée à s’exprimer – en visioconférence – au cours de la journée consacrée à l’adaptation et aux pertes et dommages, lundi 8 novembre.

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  • Les effets néfastes des éoliennes sur la santé reconnus par un tribunal

    Une victoire inédite en France et qui fera date. Christel et Luc Fockaert, un couple de Fontrieu (Tarn) a remporté devant la cour d’appel de Toulouse son procès contre une compagnie éolienne.

    La justice a reconnu que les éoliennes pouvaient avoir des effets nocifs sur la santé des riverains. La Cour d’appel de Toulouse dans un arrêt du 8 juillet dernier a déclaré : « Les nuisances sonores et visuelles produites par des éoliennes constituent un trouble du voisinage ». Le délai de pourvoi en cassation étant passé, le couple a donc obtenu gain de cause. Les éoliennes sont reconnues être la cause de différents troubles physiques tels que : maux de tête, vertiges, fatigue, tachycardie, acouphènes.

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-effets-nefastes-des-eoliennes-sur-la-sante-reconnus-par-un-tribunal

  • La République du Congo va planter 40 000 Hectares de forêt

    L’objectif est d’aider à lutter contre le réchauffement climatique et de séquestrer environ dix millions de tonnes de carbone sur une période de vingt ans, selon le ministre de l’économie forestière du Congo, Rosalie Matondo.

    Ce projet de reforestation, dénommé BaCaSi, va se développer dans le centre du pays, près du village de Ngo, dans la région des plateaux. C’est le premier ministre Anatole Makosso qui a donné lui même le coup d’envoi de cette opération, qu’il qualifie de “projet d’envergure, le tout premier en Afrique.”

    En 2011 un projet pourtant semblable avait été initié par le même Congo-Brazzaville, qui portait sur une reforestation d’un million d’hectares, mais il semble ne pas avoir abouti.

    Il existe par ailleurs, un autre projet de “Grande muraille verte” en Afrique. Celui-ci a pour but de stopper l’avancée du Sahara en érigeant une muraille d’arbres de 15 km de largeur sur 7.800 km de longueur, allant de Dakar à Djibouti en passant par 11 pays africains. C’est à dire en traversant des zones instables à risques, ce qui pose évidemment des problèmes de sécurité.

    Certains trouvent malgré tout le projet trop ambitieux et préféreraient que l’on sauve les arbres existants, dans les oasis notamment, au lieu de vouloir en implanter de nouveaux. Mais 4 millions d’hectares d’arbres ont déjà pris racine.

    CH

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-republique-du-congo-va-planter-40-000-hectares-de-foret

  • Durban : le réchauffement climatique démasqué

    On n'a pas tout dit, loin de là, sur le Sommet de Durban consacré au Changement Climatique. Les principaux producteurs de CO₂ continuant à garder leurs distances, rejoints même par le Canada et le Japon tandis que les pays les plus pauvres glapissent qu'ils attendent toujours les pactoles qu'on leur avait fait miroiter à Stockholm. Il leur fut bien promis quelques rallonges, ça ira mieux en 2015 ! On s'engagea cependant à limiter à 2 degrés l'augmentation de chaleur due aux activités humaines. Sur proposition de l'Europe une nouvelle structure juridique obligatoire encadrant les gaz à effets de serre serait signée en 2015 et s'imposerait à tous les pays en 2020. Promesses, promesses... On se sera surtout mis d'accord pour ne pas souffler mot du milliard d'habitants supplémentaires à venir.

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  • COP26 : la farce carbone – Tartufferie écologique

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    La crédibilité de la COP26 s’est perdue dans les gaz d’échappement des centaines de jets privés affrétés par ses prestigieux intervenants. Une fois encore, la grande réunion mondiale « pour le climat » s’est révélée n’être qu’une escroquerie morale et politique.

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  • La COP 26, si peu écologiste...

    Arbre au milieu dévastation

    La COP 26 est une mascarade, piquée de quelques bonnes intentions et recouverte du voile graisseux de la bonne conscience sans lendemain… Le trait peut paraître exagéré, il n’en est malheureusement rien, si l’on se rapporte à ce qu’en disent les médias, autant de connivence que de résistance, et aux enseignements de l’histoire, y compris très récente : il suffit de relire les comptes-rendus des précédentes COP mais aussi les déclarations des candidats aux différentes élections occidentales depuis quelques années, et de les comparer aux réalisations concrètes et aux politiques environnementales des différents pays concernés ! Le constat d’échec et d’hypocrisie est clair et net, malgré quelques espérances persistantes et quelques projets aboutis mais trop épars et minoritaires face au rouleau compresseur de la globalisation, du consommateurisme triomphant (un « consommatorisme », en somme) et de la numérisation accélérée qui complète l’artificialisation des espaces vivants par celle des comportements et des esprits (1).

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  • Face à la pseudo écologie hors-sol, pour une écologie enracinée et identitaire

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    Conclusions de Jean-Yves Le Gallou au VIIe colloque « La nature comme socle, pour une écologie à l’endroit » le 19 septembre 2020.

    La nature a été violemment arraisonnée par la technique et le développement économique : industrialisation de l’agriculture et de l’élevage, artificialisation des sols pour l’habitat, le commerce, le tourisme, destruction des paysages. Cette situation a conduit – dès la fin du XIXe siècle – à se préoccuper de l’écologie, la science de l’habitat, l’étude des écosystèmes vivants. Mais aujourd’hui l’écologie se trouve arraisonnée à son tour par des intérêts idéologiques et marchands. L’écologie est cul par-dessus par tête : comment la remettre à l’endroit ? Face aux pseudos écologistes hors-sols comment retrouver le sens d’une écologie enracinée ?

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  • Ecologie et politique

    [Voici un article tiré du numéro 109 de Défense de l'Occident, daté de février 1973 et donc paru il y a  50 ans. Il  n'a, dans ses développements comme dans sa conclusion, rien perdu de sa pertinence, ni de son actualité.]
    L’hypothèse de la « croissance zéro »
            Depuis quelques temps déjà, existe un courant d’inquiétude quant à la finalité de la croissance sans précédent qui est devenue la caractéristique des économies occidentales. Ce courant, cependant, prenait davantage l’aspect d’une critique philosophique ou éthique que celui d’un mouvement scientifique. Certains travaux de « futurologues », comme Bertrand de Jouvenel, avaient un aspect trop partiel ou trop peu spectaculaire pour provoquer l’inquiétude du grand public. Les travaux effectués par la fameux club de Rome ont pris une toute autre dimension, en raison à la fois de la personnalité des chercheurs et de l’optique globale dans laquelle ils avaient abordé le problème. Il ne se passe désormais plus guère de mois sans que quelque publication ou quelque nouvelle autorité scientifique ne vienne confirmer la tragique plausibilité de l’hypothèse d’un arrêt de la croissance économique ou de la disparition de notre espèce.

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  • COP26 ou salon de l’aviation ?

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    La presse grande-bretonne se gausse de cette débauche d’avions et d’hélicoptères mobilisés pour le déplacement des sauveurs de planète réunis sur leur territoire. Il est à noter que tous les responsables ne sont pas tombés d’accord sur la nature exacte de cet événement mondial.

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