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écologie et environnement - Page 60

  • L’homme européen, architecte de la nature

     
    L’homme européen, architecte de la nature

    L’écologie et les sciences de l’environnement ont montré un lien très clair entre la vie des écosystèmes et la délimitation des territoires. En dehors de son territoire, c’est-à-dire de son biotope, l’animal ne peut pas vivre et la plante ne peut pas survivre. Qu’en est-il de l’homme ?

    Homme et territoire

    L’écologie et les sciences de l’environnement ont montré un lien très clair entre la vie des écosystèmes et la délimitation des territoires. En dehors de son territoire, c’est-à-dire de son biotope, l’animal ne peut pas vivre et la plante ne peut pas survivre : il n’y a pas d’ours blancs dans la savane, ni de palmiers sur la banquise.

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  • Né, élevé et abattu à la ferme

    Emilie Jeannin, éleveur, se sera battue durant cinq ans pour enfin parvenir à réaliser son projet éthique : mettre au point un camion qui permette l’abattage des animaux sur leur lieu de vie, à la ferme.

    Plus de transport, plus de stress, plus de longues attentes dans le couloir de la mort. Sa Société “Le bœuf étique” est enfin opérationnelle et Émilie a signé des contrats avec plusieurs éleveurs de bovins.

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  • Écologie poétique : pour une métapolitique possible de l’écologie

    Écologie poétique : pour une métapolitique possible de l’écologie

    Ce texte de Michel Lhomme a été publié dans le numéro spécial de la revue Livr'Arbitres, à l'occasion du VIIe colloque de l'Institut Iliade "La nature comme socle, pour une écologie à l’endroit" le 19 septembre 2020.

    N’en déplaise aux métaphysiciens évaporés, la question de l’être est d’abord celle de l’économie, c’est-à-dire de la production des biens matériels et de leurs échanges, et de la science, c’est-à-dire de la mobilisation des ressources logiques qui en assurent l’efficacité. Parler de biens matériels, c’est mettre l’accent par antinomie sur le principe de la valeur. Persévérer humainement dans son être, c’est-à-dire satisfaire les besoins vitaux (manger, boire, etc.) et, si possible, accéder au bien-être, c’est quoiqu’on dise dans une perspective matérialiste, être déjà animé par le principe du sens, c’est-à-dire de l’orientation culturelle que la valeur donne à l’être.

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  • Ce n'est pas le nucléaire qui menace l'humanité d'anéantissement

    À côté des forces de gravitation, le nucléaire - c'est-à-dire l'énergie issue de la fission de noyaux atomiques - règne en maître sur notre Univers. C'est l'énergie nucléaire - par la fission de l'hydrogène en hélium - qui embrase le soleil, fait de notre planète une réalité plus aimable qu'un roc glacé qu'elle serait sans cela. Ce rayonnement solaire, grâce au miracle de la photosynthèse, se trouve être la source de la vie, de la plus modeste cyanobactérie à la créature humaine. C'est encore l'énergie nucléaire qui, dans les entrailles de la Terre, met en action les mouvements qui modifient sa surface, y érige des montagnes, approfondit des océans, fait vomir des laves et jaillir des volcans... et provoque des séismes. L'énergie nucléaire est partout jusque - à la plus petite échelle - dans de nombreuses techniques de diagnostic ou de thérapeutique médicale. Ainsi une hyper-activité de la thyroïde est assagie par l'ingestion d'une gélule radioactive. Condamner, ou a fortiori diaboliser ce type d'énergie sous le prétexte d'utilisation humaine parfois contes-table, voire détestable, est d'une grande naïveté.

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  • L’avenir de la planète a des ratés… la France aussi

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    Le billet de Patrick Parment

    C’est à Glasgow en Ecosse que se réunissent la plupart des pays, industrialisés ou non pour tenter de se mettre d’accord sur les mesures à prendre face au réchauffement climatique. Sauf que les Chinois et les Russes ne seront pas de la fête. Pour la bonne raison que leurs intérêts économiques ne sont pas en phase avec les mesures que la COP 21 ne manquera pas de tenter d’édicter. Et c’est bien là le grand paradoxe de ces grands rendez-vous internationaux qui, au final, tournent au catalogue de bonnes intentions. Pékin n’entend pas freiner sa croissance et Moscou entend préserver ses avantages. Emmanuel Macron veut faire entendre sa voix au nom de l’Union européenne. Mais les seuls efforts des Européens ne suffiront pas, on s’en doute, à endiguer, contenir ou restreindre la nouvelle phase climatique que connaît la Terre.

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  • Un regard territorial sur la biodiversité

    Un regard territorial sur la biodiversité

    Nul ne saurait actuellement contester la prédominance du sujet environnemental. Les enseignements des élections municipales françaises en juin dernier ont mis en exergue le besoin de composer avec l’impératif écologique, qu’il soit vécu, surjoué ou encore exploité. Au premier plan de ces considérations liées à l’environnement figure la biodiversité, souvent utilisée à tort dans une logique purement « marketing » et in fine politicienne.

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  • La COP26 est une supercherie anti-écologique qui enrichit médias et ONG

    Deux articles intéressants de Valeurs actuelles mettent en évidence cette supercherie :

    Pourtant, l’organisation de ce sommet sur le changement climatique est pointée du doigt pour son hypocrisie. Et ce, avant même son ouverture. D’abord, la majorité des participants se rendront à Glasgow… en avion. Il s’agit de l’un des moyens de transport les plus polluants au monde, rappelle le média (…)

    Certains participants n’hésiteront pas non plus à venir en jets privés. Extinction Rebellion a d’ailleurs dénoncé que ces « vols privés causent la moitié des émissions polluantes du secteur aérien » et ne servent qu’à « seulement 1% de la population mondiale ». En effet, les organisateurs de la COP26 invitent les participants, issus des pays placés sur « liste rouge » en lien avec l’épidémie de Covid-19, à venir en avion. Le but : arriver par certains points d’entrée afin de respecter l’isolement de dix jours réclamé par les autorités britanniques (…)

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  • Pourquoi il faudrait annuler la COP26

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    parLalaina Andriamparany
    28 octobre 2021
    D’après les estimations des Nations Unies, le monde s'apprêterait entrer dans une toute nouvelle ère qui présenterait une température à la hausse de 2,7°C dans le cas où les plans climatiques actuels des différents pays ne s’amélioreraient pas. 
    Que les pays ne remplissent pas les objectifs de la Conférence de Paris est une chose. Mais cela annonce-t-il une catastrophe à venir pour l'humanité ou bien, tout simplement, l'échec de la méthode "planiste" suivie jusqu'ici? Contrairement à ce que croient les tenants du "Grand Reset", qui veulent nous insuffler une bonne dose de peur du "changement climatique" après deux ans de "pandémie", la réponse aux défis écologiques ne se joue pas dans une conférence mondiale aux objectifs déconnectés des situations locales mais dans une conscience commune des difficultés à affronter et dans des réponses nationales ou régionales.  

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  • EFFICACITÉ DU NUCLÉAIRE CONTRE “LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE”.

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    Le 6/11/2007, réélu député, j’ai posé une question écrite au gouvernement. Celle-ci était clairement favorable à l’énergie nucléaire. Ce choix avait été une excellente décision de la Ve République gaulliste, et j’y étais attaché, non par idéologie, mais par le raisonnement, et je percevais qu’au sein même de la majorité à laquelle j’appartenais, la mode écologique et l’idéologie des “pastèques” commençaient à faire des ravages. Le ministre interrogé était celui de l’Ecologie, du développement et de l’aménagement durables.

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