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économie et finance - Page 112

  • Les prix de l'électricité en France pour l'hiver prochain sont déjà deux fois plus élevés que ceux de l'Allemagne, alors que le pays s'efforce de redémarrer ses centrales nucléaires vieillissantes, a rapporté Bloomberg mercredi. "L'affaiblissement de la

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    Les prix de l'électricité en France pour l'hiver prochain sont déjà deux fois plus élevés que ceux de l'Allemagne, alors que le pays s'efforce de redémarrer ses centrales nucléaires vieillissantes, a rapporté Bloomberg mercredi.

    "L'affaiblissement de la production d'énergie nucléaire en France signifie que le coût de son électricité pour l'hiver prochain est plus de deux fois supérieur à celui de l'Allemagne, alors que les inquiétudes concernant la santé des réacteurs du pays persistent", peut-on notamment lire sur le site de Bloomberg.

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  • Gaz, au 1er juillet, tout le monde aura des prix révisables… chaque mois !!!

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    Attention, au 1er juillet 2023, nous passerons tous en tarifs « libres » sur le gaz puisqu’à cette date, les tarifs dits règlementés prendront fin.

    Je ne parle pas des entreprises, mais bien des particuliers.

    Engie prépare activement la fin des tarifs réglementés

    Avec la fin annoncée des tarifs réglementés de vente du gaz, le 1er juillet, 2,3 millions de clients pourraient être automatiquement basculés sur cette nouvelle offre.

    « Malgré la fin des tarifs réglementés de vente du gaz (TRVG) au 1er juillet prochain, il n’y aura pas de coupure du service. Engie l’a assuré en présentant ce mercredi son « offre passerelle », sur laquelle basculeront tous les clients qui n’auraient pas encore choisi une offre de marché d’ici là. Aujourd’hui, ils sont encore 2,3 millions – contre 2,6 millions en début d’année ».

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  • [La Chronique Agora] L'incohérence des subventions en Europe : Nous devons revenir aux principes fondateurs du marché commun.

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    Selon une tendance que j’ai décrite à plusieurs reprises dans La Chronique Agora, les pays européens s’orientent de plus en plus vers des modèles de subventionnement de l’industrie, dans le but de s’aligner sur les très vastes projets des États-Unis visant à soutenir les transitions économiques respectueuses du climat. Cela a créé une situation dans laquelle l’Union européenne punit les États qui soutiennent leur industrie nationale, mais les incite également à le faire.

    Prenons un exemple dans lequel la Commission européenne applique strictement les règles anti-subventions de l’Union.

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  • Le FMI, association de malfaiteurs

    Au moment où Lula, depuis Pékin, attaque à juste titre le FMI, et où la Tunisie refuse de céder au chantage de cette officine occidentale, citons cet extrait d’une étude de l’Université de Boston :

    « Malgré d’importantes recherches au FMI montrant que l’assainissement budgétaire n’est peut-être pas une voie optimale vers la reprise économique, les auteurs n’ont trouvé aucun changement significatif dans le niveau d’assainissement budgétaire requis par le FMI depuis la crise financière mondiale de 2008 ».

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  • Bruno Le Maire aux fraises

    Georges Michel 16 avril 2023

    Soyons chauvins : les meilleures fraises de France, que dis-je, d’Europe et même du monde sont produites dans la plaine de Carpentras. 

    Dans ce Comtat Venaissin dont le ciel et la terre sont en quelque sorte une promesse d’Italie. Après tout, cette terre papale ne fut rattachée à la France qu’en 1791. Hier, en somme, lorsqu’on a un peu le sens de la profondeur de notre Histoire. À l’époque, on n’y produisait pas encore de fraises. Il faudra attendre la fin du XIXe siècle, avec notamment la mise en eau du canal de Carpentras sous Napoléon III, pour que la culture de la fraise se développe.

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  • Les métamorphoses de l’octroi

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    La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

    Les spécialistes d’histoire fiscale n’ignorent pas qu’il a existé en France une contribution indirecte prélevée au profit des municipalités sur des produits importés, voire sur les personnes entrantes, appelée l’octroi. Cette taxe est l’un des facteurs déterminants dans le déclenchement de la révolution en 1789. Abolie presque aussitôt, elle est assez vite rétablie malgré maintes critiques exaspérées par ces « douanes intérieures » et leurs agents de service parmi lesquels, à la fin du XIXe siècle, le célèbre peintre Douanier Rousseau (alias Henri Rousseau, 1844–1910). Ses détracteurs l’accusent régulièrement de favoriser la noblesse, puis la bourgeoisie, soit les nantis en général. C’est en 1943 que le gouvernement de Pierre Laval supprime définitivement l’octroi. La IVe République met plus longtemps à entériner cette décision (1948 !).

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  • Indépendance énergétique de la France : un rapport parlementaire accablant

    La commission parlementaire, improprement nommée  « sur la souveraineté énergétique » vient de rendre son rapport.

    Ce document de près de 500 pages, intitulé dans la réalité « raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France » suppose que la souveraineté en matière énergétique soit définie, ce qui n’est pas le cas. Si le peuple possède sa souveraineté (ce qui n’est pas évident par les temps qui courent), celle-ci est définie par ses attributs. En matière de production d’énergie, on peut parler d’autonomie, laquelle procure une indépendance vis- à-vis des autres pays, mais je ne vois pas comment l’énergie pourrait être souveraine, c’est-à-dire décider par elle-même de la façon de se produire.

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  • C’est trop tard, bébé maintenant, c’est trop tard

    par Andrei Martyanov

    Ah, Carole King. Dans les nouvelles :

    « L’UE veut utiliser l’argent des sanctions contre la Russie pour financer la reconstruction de l’Ukraine. Mais il faut d’abord trouver l’argent, et la situation juridique n’est pas claire, comme le montrent des documents non publiés. Mais Bruxelles a trouvé une astuce ».

    Mais, mais… maintenant ils concluent que l’UE ne peut pas toucher à ces fonds et qu’ils doivent être rendus à la Russie une fois les hostilités terminées, en admettant qu’ils les trouvent. Comme le chantait Carole King, il est trop tard. L’Occident combiné a volé cet argent à la Russie et maintenant toute tentative de jouer « judiciairement » est risible – il est trop tard. L’UE a montré ce qu’elle était et il n’y a rien à dire : L’UE paiera pour la restauration du pays 404, y compris pour les territoires qui ont été rattachés à la Russie, et cela ne se fera pas en « investissant » les fonds de la Russie dans les plans foireux de l’UE et en utilisant les intérêts de ces fonds pour payer la restauration de 404. L’UE, tout comme les États-Unis, est incapable de conclure un accord, un point c’est tout. La Russie a tiré les conclusions qui s’imposaient.

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