économie et finance - Page 111
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France, l'année des faillites d' entreprises et des hausses d'impôts? Charles Gave et Léonard.
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Les gesticulations gouvernementales pour sauver la France de la faillite
par h16
Surprise totale ! Alors que le Tour de France à Casseroles Tintinnabulantes de Macron se poursuit sous les bravos d’une foule en délire, les récentes déclarations de plusieurs membres du gouvernement laissent entendre que des efforts allaient être vigoureusement entrepris pour éplucher les comptes publics.
C’est ainsi qu’on apprend que le gouvernement prétend à présent s’inspirer des travaux du Sénat pour lutter contre la fraude fiscale et sociale : fini le laxisme, fini les cadeaux du fisc, fini les petits arrangements, on va voir ce qu’on va voir !
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« La crise n’en est qu’à ses débuts, débat sur TV Finances ».
par 27 Avr 2023 | |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le camarade Philippe Béchade et moi-même avons discuté immobilier, DPE, crise, taux et bien d’autres choses lors de notre émission mensuelle sur TV Finance.
Voici le résumé de la vidéo que je vous laisse regarder, commenter et partager bien évidemment.
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Suppression de la taxe d’habitation : le piège pervers macronien se referme
Les conseils municipaux avaient jusqu’au 15 avril pour voter les taux d’imposition de fiscalité directe (taxes foncières sur les propriétés bâties et non bâties, taxe d’habitation pour les résidences secondaires).
Le 15 avril était aussi la date limite pour voter le budget communal de l’année 2023. Au moment où nous écrivons ces lignes, les services des préfectures effectuent les contrôles de légalité des délibérations prises par les conseils municipaux. Ensuite, les services des finances publiques mettront « en musique » ces décisions qui auront un impact direct sur l’avis d’imposition des contribuables propriétaires.
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ÉNERGIE ON REFAIT LA FRANCE AVEC MAXIME AMBLARD
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[La Chronique Agora] L'écrasement de la classe moyenne : Riches, moyens ou pauvres… l’inflation nous guette tous.
Notre point de vue cette semaine : l’inflation n’a pas été vaincue. Et elle ne sera pas vaincue sans douleur. No pain, no gain. Les riches doivent perdre de leur richesse à mesure que leurs actifs perdent de la valeur, et les pauvres, à mesure que les programmes de « transfert » du gouvernement fédéral deviennent inabordables.
Aujourd’hui, regardons de plus près ce qui arrive à la classe moyenne. Tout d’abord, elle est la plus durement touchée. Puis, quand vient le moment de prendre les armes contre l’inflation, personne ne veut s’enrôler.
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« Fin du bouclier tarifaire pour les entreprises, début de la hausse des faillites ! ». L’édito de Charles SANNAT
par 24 Avr 2023 | |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Bien évidemment, cette histoire de bouclier tarifaire est d’une stupidité sans borne, puisque vous l’avez tous compris, il s’agit non pas de vendre l’électricité au prix où nous la produisons en France, mais à donner une aide sur le prix de marché à laquelle elle est vendue, aide qui vient évidemment creuser le déficit de notre pays et notre dette de manière totalement artificielle.
Mais, vu que nous avons un gouvernement de nains politiques en Europe incapables d’avoir le courage de faire comme l’Espagne ou le Portugal et de sortir de ce mécanisme délirant de fixation des prix de l’énergie en Europe, et bien ce « bouclier » tarifaire était toujours mieux que rien.
Mais c’est fini !
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Écologie et agriculture : la fracture est là, la facture suivra ! [par Jean-Paul Pelras]
Ce que le monde agricole est en train de vivre est inédit à plus d’un titre.Tout d’abord, car il est empêché dans son quotidien et dans ses activités.Ensuite, car il est désigné quasi systématiquement dès que sont évoquées les questions liées à l’environnement. Enfin, car il perd pied au plan international avec, notamment dans les filières fruitières, légumières, porcines, bovines, ovines, avicoles et bientôt sucrières, une hausse préoccupante des volumes importés et, ceci expliquant certainement cela, une chute exponentielle de sa compétitivité. En marge des événements grand public, comme le Salon de l’agriculture et toute la médiatisation qui lui est corrélée, le capital sympathie dont bénéficient (soit-disant) les paysans caracole aux alentours de 80 %. Seulement voilà, dès que les présentoirs sont rangés et que les animaux sont retournés à la ferme, c’est une autre musique qui prend le relais, avec une succession de dispositifs juridiques qui tendent à contraindre l’agriculteur, à juguler les pratiques et à déstabiliser le métier. -
La Cour des comptes européenne propose d’intégrer le coût de la souffrance animale dans le prix de la viande. Son rapport ne mentionne à aucun moment l’abattage rituel
La viande est-elle trop bon marché ? En pleine inflation, la question peut paraître provocante. Pourtant, plusieurs études scientifiques affirment que le coût social et environnemental des produits carnés est nettement sous-évalué. Ces derniers jours, la Cour des comptes européenne (CCE) a mis le sujet sur la table en faisant une proposition inédite : intégrer le coût de la souffrance animale dans le prix du transport et, in fine, dans le prix de la viande.
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L'ENQUÊTE EXPLOSIVE SUR LA CORRUPTION DE LA GRANDE DISTRIBUTION AVEC MARTINE DONNETTE ET CLAUDE DIOT