Le modèle de l’hypermarché a-t-il fait son temps ? Ce concept révolutionnaire du « tout sous le même toit », popularisé en 1963 par Carrefour, a conquis le monde entier. Aujourd’hui pourtant, le pionnier français, comme ses concurrents, a un genou à terre. En cause notamment, la crise du gigantisme, associé à une déshumanisation du commerce et à la surconsommation, pointée du doigt à l’heure des grands défis écologiques. Selon les experts, la toute-puissance de certains groupes serait menacée d’ici dix ans. Désormais, tout le secteur cherche à sauver ce qui peut l’être, quitte à verser dans des pratiques à la limite de la légalité.
économie et finance - Page 114
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Hypermarchés, la chute de l’empire
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Energie et effondrement industriel. Macron tenu en échec par l’Allemagne !
par 18 Oct 2022 | |
Il n’est pas content notre Manu.
Il commence à comprendre à quel point l’Allemagne est en train de nous couillonner et ce n’est pas possible de l’accepter.
Pourquoi ?
Parce que ce n’est pas possible.
Il n’est pas possible d’accepter d’être mis à mort économiquement par une règle sur la fixation des prix de l’énergie en Europe sur laquelle l’Allemagne ne veut pas revenir. Pourquoi ?
Parce que la France possède l’électricité la moins chère d’Europe, et si nous vendons notre électricité par rapport à ce qu’elle nous coûte réellement, alors les grosses industries de la Ruhr pourraient avoir une furieuse envie de venir s’installer en France !
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Budget : Plus de 6 Français sur 10 sont opposés à l'utilisation du 49.3 par le gouvernement
Deux Français sur trois (66%) sont en effet opposés à l'utilisation de cet article de la Constitution, qui permet de faire adopter un texte sans vote du Parlement. Dans le détail, 33% sont "tout à fait opposés" et 33 "plutôt opposés."
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Opposition majoritaire
Elle atteint 75% chez les ouvriers, 60% chez les 18-24 ans et 70% chez les actifs.
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La France livre l’Allemagne en gaz pour la 1ère fois de l’histoire !
Cette dépêche Reuters attire notre attention sur une grande première.
« La France a commencé jeudi à livrer directement du gaz à l’Allemagne à travers leur interconnexion frontalière, pour la première fois dans l’histoire des échanges entre les deux pays, dans le cadre d’un accord conclu pour faire face à la baisse des importations de gaz russe.
Les premières capacités de livraisons par gazoduc commercialisées s’élèvent à 31 gigawattheures par jour (GWh/j) alors que l’interconnexion d’Obergailbach (Moselle) peut permettre un flux maximum de 100 GWh/j, a annoncé dans un communiqué GRTgaz, qui gère la majeure partie du réseau de transport de gaz en France.
Voilà que nous livrons du précieux gaz à l’Allemagne qui en manque cruellement, et s’il est normal de le faire pour protéger nos amis allemands, il serait souhaitable que ces mêmes amis se montrent amicaux, et en échange nous permettent de fixer le prix de notre électricité comme cela nous arrange nous et pas eux. Car c’est l’Allemagne qui bloque et refuse que la France puisse fixer les prix de l’électricité par rapport à nos vrais coûts de production.
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« Bruno décrouvre un risque majeur pour l’industrie française dont la production chute de 10% ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Haaaaa, notre Steve Austin en col roulé, notre lumière du ministère, notre phare dans le cauchemar économique, notre vedette de la dette vient de parler.
Il vient d’entrevoir la lune, je dis bien entrevoir, parce que notre Bruno n’a pas encore franchi le Rubicon, son Rubicon.
Je l’aime notre Bruno. On sent bien qu’il a tout compris le pauvre bougre et qu’il est coincé de tous les côtés. Manu, Babeth-la-doudoune, sans oublier la Cruelle von-der la hyène, qui veut faire la guerre au monde entier. Pas facile de composer avec tout ça. Mettez-vous à sa place 30 seconde. Zut, quoi, faites preuve d’empathie.
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Le Samedi Politique avec Loïk Le Floch-Prigent - Nord Stream, nucléaire : le sabotage énergétique (video)
Les Français auront-ils du chauffage cet hiver ou devront-ils tous céder à l’injonction de Bruno Le Maire, le ministre de l’économie, d’acheter des cols roulés ? Alors que la guerre en Ukraine a permis à Ursula von der Leyen de décréter des sanctions qui portent préjudice à nos pays européens, la disparition de notre souveraineté énergétique était programmée de longue date et entamée depuis longtemps à force de politique de sape de l’industrie. L’abandon de la maintenance des centrales nucléaires ajouté à l’obsession pour les éoliennes sans discernement, en passant par des approvisionnements étrangers incohérents, voilà désormais la France renvoyée à l’heure des délestages, des rationnements et des pénuries.
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L'ex-Chancelière allemande Angela Merkel réaffirme qu'elle ne "regrette pas du tout les décisions" prises de signer des accords de gaz naturel avec la Russie lorsqu'elle était au pouvoir
L'ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, a déclaré qu'elle ne regrettait pas sa décision de signer des accords de gaz naturel avec la Russie au cours de ses 16 années au pouvoir, arguant que Moscou est depuis longtemps un "fournisseur d'énergie fiable" et offre des prix plus bas que ses concurrents.
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La moitié des logements en Ile-de-France ne pourra plus être louée à partir de 2023 car ceux-ci sont trop énergivores
45% des résidences principales d’Ile-de-France entraient, en 2018, dans l’une des trois classes énergétiques G, F ou E. Un chiffre qui monte à 55% pour les logements locatifs privés.
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La crise énergétique en Europe sera longue et s'étendra jusqu'en 2023 et 2024, voire au-delà, prévient le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto
La crise énergétique actuelle en Europe sera longue et s'étendra jusqu'en 2023 et 2024, voire au-delà, a averti le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, à l'issue d'une réunion des ministres européens de l'énergie mercredi. Selon lui, des problèmes géopolitiques et de sécurité sous-jacents sont à blâmer.
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« L’économie russe à l’agonie ! » (ironie)
Du moins dans les fantasmes délirants de l’économiste
en chefen herbe B. Lemairepar Vincent Gouysse.
N’en déplaise au sinistre de la macronie en charge de l’économie et des finances qui promettait il y a sept mois de « livrer une guerre économique et financière totale » afin de « provoquer l’effondrement de l’économie russe », la cible principale (revendiquée) des sanctions atlantistes semble aujourd’hui être totalement manquée ! En ce jour d’octobre 2022, la journaloperie merdiatique atlantiste reconnaît en effet que « L’économie russe résiste mieux que prévu aux sanctions » :