économie et finance - Page 114
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L'économie en eaux troubles: ep.3 P.Béchade
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Les dépenses en armes et en énergie tuent l’économie polonaise, par Stanislav Leshchenko
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[Tribune] EDF nous doit plus que la lumière, Emmanuel Macron aussi (2/2)
Découpler le prix du gaz et celui de l’électricité
Le 30 septembre dernier Bruno Le Maire avait écrit à la commissaire européenne Margrethe Vestager, pour demander que soit remis en cause les règles du marché énergétique européen : « pour qu’on arrête une bonne fois pour toutes d’aligner le prix de l’électricité sur le prix du gaz ». Deux mois plus tard, et ce malgré l’urgence, rien n’a bougé ! Bruno Le Maire ne parle plus de « son combat » pour modifier les règles du marché européen, mais de « boucliers » et de « subventions ». Pour les PME cela s’appellera « l’amortisseur d’électricité[1] ». Une fois encore, au lieu de penser le changement, nous changerons le pansement !
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[Tribune] Dans mon courrier, la petite lettre d’EDF : jusqu’à 423 % d’augmentation ! (1/2)
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Le grand déclassement des Français est en marche, par Florent Machabert
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Crise de l'énergie : Une entreprise sur quatre risque de quitter l'Allemagne en raison de l'inflation et de la flambée des coûts énergétiques, avertit un groupe industriel du pays
Une entreprise allemande sur quatre envisage de déplacer sa production vers d'autres pays dans le contexte de la crise énergétique, a déclaré Tanja Gönner, PDG de la Fédération des industries allemandes (BDI), au média Die Welt am Sonntag.
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"s'il n'y a pas d'autre choix, je fabriquerai un autre téléphone" : Elon Musk envisage la création d'une "alternative" si Twitter était retiré des boutiques Apple et Google
Elon Musk a déclaré qu'il pourrait lancer son propre smartphone si Twitter était retiré des plateformes populaires comme Apple et Google, suggérant qu'il pourrait ne pas avoir d'autre option.
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L’Allemagne coule, l’Europe avec et Bruno Le Maire ne s’en rend absolument pas compte
par H16
Tiens, voilà qu’une Große Katastrophe se profile sur l’horizon teuton : on apprend qu’Uniper, la principale société allemande de vente de gaz et premier distributeur de l’entreprise russe Gazprom, doit faire appel à l’État allemand à hauteur de 55 milliards d’euros suite à une perte nette kolossale établie à 40 milliards d’euros depuis le début de l’année.
Un milliard d’euros par-ci, un milliard d’euros par-là et, rapidement, on commence à parler gros sous. En tout cas, à 55 milliards d’euros, voilà une somme rondelette qui va peut-être faire réfléchir Olaf Scholz sur les choix énergétiques opérés ces dernières années par l’Allemagne : manifestement, multiplier les efforts sur les énergies renouvelables revient un peu trop à multiplier aussi les approvisionnements en gaz et à se retrouver en fâcheuse posture lorsque la conjoncture internationale change un tantinet.
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Ukraine. Emmanuel Macron annonce "une contribution supplémentaire de 6 millions d'euros pour le transport et la distribution par le programme alimentaire mondial de céréales d'Ukraine à destination du Yémen et du Soudan" (Vidéo)
Après avoir rappelé que "Nous contribuons à hauteur de 14 millions de dollars à l'acheminement, par le programme alimentaire mondial, de 25.000 tonnes de blé (...) à destination de la Somalie", Emmanuel Macron annonce "une contribution supplémentaire de 6 millions d'euros pour le transport et la distribution, par le programme alimentaire mondial, de céréales d'Ukraine à destination du Yémen et du Soudan". Pour le président de la République : "Les pays les plus fragiles ne doivent pas payer le prix d'une guerre qu'ils n'ont pas voulue. La France comme l'Ukraine et comme tous nos partenaires, a décidé de faire et fera toujours le choix d'une solidarité en actes"
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« La BCE veut forcer les Français à emprunter à taux variables dès 2023 !! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.