
Au micro d’Europe 1, Valérie Pécresse se présentait le 17 janvier comme l’incarnation d’une « droite contemporaine »[1], par opposition à Éric Zemmour, accusé d’être « nostalgique d’une France du passé ». Valérie Pécresse est une candidate qui porte en elle toutes les fautes et les compromissions de sa famille politique. À au moins deux titres : premièrement, elle démontre à quel point la droite (dite « républicaine », « gaulliste » ou « post-gaulliste », etc.) est idéologiquement soumise à la gauche. En outre, elle révèle son manque criant de vision pour lutter contre les dangers qui menacent véritablement l’identité de notre pays.







