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Agression d’Erik Tegnér : M. le Procureur Wattebled, vous êtes au pied du mur !

M. Julien Wattebled est le nouveau procureur de la République en poste à Saint-Brieuc. Il a été nommé début février 2025, en remplacement de son prédécesseur Rémi Heitz, de triste réputation, dont les violences des gauchistes, antifas et autres nervis de gauche le laissaient de marbre. Ainsi, lors des deux manifestations à Callac où les gendarmes ont été agressés par plusieurs centaines de ces tarés d’extrême gauche, aucun de ces agresseurs n’a été traîné en justice et encore moins condamné.

Oui, je sais, un procureur de la République dispose de l’opportunité des poursuites, c’est-à-dire que pour une infraction, il peut décider de poursuivre ou de classer sans suite. En l’occurrence, Rémi Heitz ne semblait guère indisposé par les violences, agressions et dégâts des antifas, même dans le cadre de manifestations non déclarées. Ce qui est assez scandaleux quand on voit qu’à l’inverse, pour avoir simplement manifesté dans les rues de Romans-sur-Isère en signe de protestation contre la mort de Thomas, la cinquantaine de jeunes manifestants présents ont été pourchassés par les CRS, mis en garde à vue et certains condamnés à de lourdes peines par le tribunal en deux temps trois mouvements. Et là, le procureur local avait trouvé qu’il y avait matière à poursuivre alors qu’aucun dégât n’avait eu lieu de la part des manifestants, aucune violence, aucun blessé. La seule chose qui leur était reprochée était d’exprimer leur indignation face à l’ignoble meurtre du jeune Thomas par des racailles venues de Romans pour « planter du Blanc ».

Un deux poids et deux mesures qu’on retrouve partout en France. Pourquoi cette mansuétude de tant de procureurs face aux exactions de ces milices ultra-violentes de gauche ? Pourquoi cette mansuétude des juges lorsqu’un procureur décide de poursuivre mais que les juges ne condamnent qu’à des peines ridicules ou sans peine les auteurs des faits ?

De plus, partout en France, on entend les mêmes débilités de la part des grands médias ou d’une multitude de responsables politiques, principalement de gauche, mais aussi du centre (macronistes, etc.), à savoir qu’il y aurait un terrible danger fasciste qui menacerait la France et que de très nombreuses violences d’extrême droite seraient exercées à travers tout le pays par des hordes fascistes.

Il y en a marre de toutes ces affirmations plus mensongères les unes que les autres. Où y a-t-il des violences fascistes ? Qui en est à l’origine ? Qui sont les victimes ? À quelles peines les auteurs ont-ils été condamnés ? Personne ne répond à ces questions car ce ne sont que des inventions propagées par ceux qui justement agissent ainsi. C’est le cas tout particulièrement en Bretagne qui est devenue une région totalement vérolée par cette racaille d’extrême gauche qui ne connaît comme manière d’imposer son point de vue que la violence, verbale et physique. Avec la complicité de la presse régionale (Ouest-France, Le Télégramme et quelques médias plus petits). Tous ces gens sont prompts à parler de nazisme et à nazifier toute personne qui n’abdique pas devant leurs théories gauchistes et violentes. Par contre, il ne vient à l’idée de personne de se souvenir que c’est exactement ainsi qu’a fait Hitler pour parvenir au pouvoir en 1933. Avant son élection de 1933, il avait à sa disposition les sections d’assaut (SA) d’Ernst Röhm, qui agressaient et allaient même jusqu’à tuer ceux qui s’opposaient à Hitler, à sa volonté d’arriver au pouvoir ainsi qu’à ses théories notamment racialistes et antisémites. Leur étendard était le drapeau à croix gammée.

Ne nous y trompons pas. Aujourd’hui nous avons une nouvelle version des SA de Röhm. Ce sont ces groupes ultra violents d’antifas, leur étendard est principalement le drapeau palestinien et leurs méthodes, la violence et un antisémitisme ouvertement défendu (qu’au départ il appelaient antisionisme). Ces troupes roulent sans équivoque pour La France Insoumise de Mélenchon. La preuve : le chef des antifas de Lyon (Raphaël Arnault) a été élu député LFI. Quand aux autres forces de gauche (PS et PCF), elles font semblant de ne pas voir ce qui pourtant crève les yeux. Enfin, les Verts sont eux aussi des adeptes de l’ultra violence. Ceux qui en doutent n’ont qu’à regarder sur YouTube les vidéos de la manifestation contre les mégabassines à Sainte-Soline ou celles contre la construction de l’autoroute A69. Au passage, on n’oubliera pas de se souvenir de la terrible fermeté des peines qui tombèrent sur ceux qui ont été jugés responsables des énormes dégâts et des 59 blessés parmi les gendarmes : mercredi 17 janvier 2024, le porte-parole du collectif Bassines non merci, Julien Le Guet, a été condamné à douze mois de prison avec sursis et à une interdiction de paraître à Sainte-Soline et Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres) pendant trois ans. Joan Monga (connu sous le pseudonyme de Basile Dutertre) et Nicolas Garrigues (alias Benoît Feuillu), deux membres du collectif Les Soulèvements de la Terre, ont quant à eux été condamnés à respectivement neuf et six mois de prison avec sursis. Tous trois étaient notamment poursuivis pour l’organisation de manifestations interdites contre les mégabassines, au printemps dernier.

Les six autres prévenus de Sainte-Soline ont quant à eux écopé d’amendes.

Effectivement, un jugement impitoyable qui va certainement effrayer les futurs manifestants violents de ces organisations.

Le résultat de tout cela, c’est que quasiment partout en France nous vivons dans une ambiance totalement pourrie, victimes d’accusations imaginaires par ceux qui commettent ce qu’on nous reproche. Les médias sont complices pour l’essentiel d’entre eux, tout comme les hommes politiques. Et l’une des pires régions sur ce plan est la Bretagne. De Brest à Rennes en passant par Nantes, ces villes sont devenues une véritable fange. Trois villes dirigées par des maires socialistes. Trois villes submergées par les migrants, notamment clandestins, trois villes où la drogue est partout, trois villes où la délinquance a explosé. Trois villes où quiconque s’affirme de droite est pourchassé par les SA des temps modernes, les antifas et même des organisations comme SUD et la CGT. À ceux qui pourraient dire que j’exagère, je réponds : souvenez-vous du 17 juin 2023, lorsque Eric Zemmour est venu faire dédicacer son livre à Brest, dans un hôtel. L’hôtel a été attaqué par 250 antifas déchaînés parmi lesquels se trouvaient des membres de la CGT et de SUD, drapeaux de leurs organisations bien visible.

Le message de ces furieux est clair : vous n’avez pas le droit d’exprimer un point de vue qui est contraire au message de gauche. Et si vous refusez de céder, nous vous ferons taire par la violence.

Jeudi soir à Plouha, un petit village des Côtes-d’Armor, c’était la fête. Ce qui s’appelle Les jeudis en fête. Cela dure chaque jeudi de la mi-juillet à la mi-août. Et cette fois, il y a eu un sérieux incident qui confirme totalement les lignes qui précèdent. D’abord, durant le concert principalement animé par le groupe punk Les Ramoneurs de menhirs à la réputation vaguement sulfureuse (concert payé par la mairie), une certaine faune était présente. On a même vu un certain nombre de personnes arborer des drapeaux palestiniens. Mauvais signe…

Et ce qui devait arriver est arrivé. Une quinzaine d’antifas pro-palestiniens en déambulant et en pénétrant dans les cafés a reconnu une personne : Erik Tegnér (fondateur du média Frontière et chroniqueur sur CNews), en vacances à Plouha. Immédiatement les insultes ont commencé (nazi, facho, etc.) « un fasciste n’a rien à faire ici », « on connaît ton adresse », « on va te chasser d’ici », etc. Puis les coups. Il a été violemment attrapé au cou. Il a fallu l’intervention de la police pour qu’il évite de se faire écharper. C’est inadmissible. C’est insupportable.

À ce jour, sauf erreur de ma part, aucun communiqué de la mairie communiste de Plouha pour condamner ces faits. Et pourtant, le maire, Xavier Compain, n’est pas un débutant. Il a été un responsable national du PCF. Alors, comme je le disais plus haut, son absence de réaction sonne comme une approbation. Ne dit-on pas « qui ne dit mot consent » ?

Lundi, Erik Tegnér ira porter plainte à la gendarmerie. Nous allons voir ce que vont décider les autorités judiciaires. Dans un article du 11 février 2025, Ouest-France écrivait : « Arrivé début février 2025, Julien Wattebled, le nouveau procureur de la République de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), fixe ses priorités : lutte contre toutes les formes de violences, les trafics, les délits routiers et la délinquance environnementale ». Vous avez bien lu, « lutte contre toutes les formes de violences ». Le procureur est donc au pied du mur. Suite à la plainte qui sera déposée, il peut poursuivre ou pas pour ces actes inqualifiables commis sur la personne d’Erik Tegnér, dans le but évident de faire taire et de terroriser un journaliste qui refuse de hurler avec les loups antifas et LFI. Que va faire le procureur ? Se taire et classer sans suite cette nouvelle agression des antifas, comme son prédécesseur Rémi Heitz, ou ordonner une enquête et faire en sorte que ces nervis soient identifiés, traduits en justice et durement condamnés ?

Quant à nous, citoyens lambda, il est temps, plus que temps que plus personne n’accepte de tels faits. En présence de tels agissements, il ne faut pas regarder ailleurs, mais aller porter aide et assistance à celui ou ceux qui sont agressés. Sinon, que personne ne vienne pleurnicher si demain nos libertés les plus élémentaires nous sont retirées et qu’on nous impose le silence.

Bernard GERMAIN

https://ripostelaique.com/agression-derik-tegner-m-le-procureur-wattebled-vous-etes-au-pied-du-mur.html

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