Reçu ce dimanche 24 octobre, sur RTL, pour le « Grand jury », Éric Zemmour est sorti de ses thèmes de prédilection en abordant des sujets plus économiques et sociaux. Tout au long de l’interview, il s’est attaché à dénoncer la prégnance de l’État sur la route et dans l’économie.
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Permis à points, limitation de vitesse… Éric Zemmour, le candidat des automobilistes ?
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MARINE LE PEN : CONFIDENCES SUR ÉRIC ZEMMOUR
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Éric Zemmour : « Je suis le seul, dans l’espace politique, à utiliser l’expression “Grand remplacement”, et 67% des Français sont d’accord avec moi »
Eric Zemmour : « Moi, ce que je trouve vraiment inquiétant, c’est que la France soit en danger de mort. 67% des Français considèrent que le grand remplacement menace notre pays. » (FDesouche)
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États-Unis : le vent de la défaite souffle dans le camp démocrate
Les démocrates sur la sellette attendent pétrifiés les midterms de novembre 2022, avec la perspective de perdre la majorité dans les deux chambres (Sénat, Chambre des représentants) : voilà ce que véhicule la rumeur publique aux États-Unis. Les élus démocrates se tiennent à distance de Joe Biden et ne veulent surtout pas s’afficher avec son soutien, relèvent certains observateurs.
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Marine Le Pen : la fonction tribunitienne choisie par Eric Zemmour est probablement la plus adaptée pour parler aux abstentionnistes
Interrogée dans Valeurs Actuelles, Marine Le Pen déclare :
[…] Nous ne sommes plus dans un septennat mais dans un quinquennat. Cinq ans, c’est très court : il faut donc, au moment où l’on accède au pouvoir, que tout soit prêt pour être mis en œuvre dans les six mois suivant l’élection.Deux écueils peuvent entraver cette marche. L’écueil à la Sarkozy – la jouissance d’avoir été élu qui empêche de mettre en place ce qu’on a promis de mettre en place – et celui de l’impréparation. Les obstacles qui se dresseront devant nous sont énormes ; il faut les voir de loin et savoir précisément quelle stratégie adopter pour les sauter.
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2022 : Vers un ticket Laurent Wauquiez – Eric Zemmour ?
En 2019, Laurent Wauquiez, alors président de LR, avait invité Eric Zemmour et disait de lui : “Un des intellectuels qui font du bien à notre pays », « Une des personnalités qui secouent », « Son livre (Destin français) invite au réarmement intellectuel », « Eric est ici chez lui». Depuis son renoncement à se présenter en 2022, dernier obstacle à une candidature d’Eric Zemmour, Laurent Wauquiez reste bien silencieux sur le psychodrame qui secoue son parti LR. Laurent Wauquiez se contente de twitter sur sa politique régionale et de réagir sur quelques sujets sérieux.
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Philippe Chevallier a fait son choix : ce sera Marine Le Pen !
Des membres éminents du show-biz prêts à franchir le Rubicon et à rompre avec le conformisme de leur milieu professionnel, il n’y en a pas cent et même pas dix. Il y a, bien sûr, le cinéaste Claude Autant-Lara, élu député européen, en 1989, sur une liste du Front national. Alain Delon, ensuite, qui défend Le Pen père et fille un jour mais qui, l’autre, fait de même d’Anne Hidalgo, tel qu’en 2014. Brigitte Bardot, évidemment, quoique plus motivée par la défense animalière qu’autre chose. Et on passera rapidement sur l’humoriste Michel Roucas et l’acteur Franck de Lapersonne, éphémères soutiens de Marine Le Pen, lors de l’élection présidentielle de 2017.
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Des élus de gauche font la grève des parrainages
Le début de la campagne présidentielle montre une forte division dans le camp de la gauche, incapable pour le moment de présenter un candidat d’union.
Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Arnaud Montebourg, Fabien Roussel, Nathalie Arthaud : chacun pour le moment veut faire cavalier seul, mais aucune candidature ne semble se démarquer et avoir ainsi une chance d’accéder au second tour.
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Un président en campagne ? Macron sort le carnet de chèques
Pour le chef de l’Etat, la campagne présidentielle semble déjà engagée. Mardi dernier, dans la salle des fêtes de l’Elysée, Emmanuel Macron annoncé 30 milliards d’euros d’investissements dans le cadre du plan « France 2030 ». Officiellement, il s’agit de garantir la compétitivité industrielle du pays et de développer les technologies dites d’avenir. Pendant deux heures, le président a présenté son programme, notamment destiné à « faire émerger les champions de demain ». D’où cette injonction volontariste : « Mieux produire, mieux vivre, mieux comprendre le monde. » Les soutiens d’Emmanuel Macron ont distillé les éléments de langage du maître à commencer par celui qui ne veut pas opposer l’industrie classique à la « start-up nation ».
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SORTIE PROCHAINE DU NOUVEAU LIVRE : "POURQUOI ÉRIC ZEMMOUR, LA DROITE NATIONALE À L'HEURE DU CHOIX"
En avril 2022, à l’occasion de l’élection présidentielle, nous allons faire un choix crucial pour l’avenir de notre nation et celui de notre civilisation. Soit nous continuons dans la voie du mondialisme à outrance, avec toutes ses conséquences funestes, soit nous revenons à une politique véritablement nationale et identitaire.
En dix ans, la droite nationale, aveuglée par une chimérique quête de respectabilité, a perdu toute sa crédibilité. Le temps est sans doute venu d’envisager les choses autrement. Un sursaut s’impose…